Une vie d'art et d'amour

Chapitre 43 (fin du tome 1)

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Et nous voilà pour le dernier chapitre de ce tome 1 ! Une page qui se tourne donc, ainsi qu'une ouverture sur un prochain tome que j'ai hâte de vous faire lire ! Je vous remercie d'avoir lu ce premier tome, c'est pour moi un tout nouveau monde et je suis très heureuse de m'y plaire encore à ce jour. Vous avez été nombreux à me donner vos avis et ces moments de partages, de réflexions étaient véritablement bénéfique et plaisants.

Enfin voilà, assez de blabla comme ça, je vous souhaite une agréable lecture et on se retrouve dans une semaine le mardi 26 Mars afin de vous présenter le chapitre 1 du tome 2!

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Mel.

Chapitre 43 :

J'arrive à l'aéroport Paris-Orly, je prends mon taxi qui m'emmène à l'adresse que m'avait donné la galerie. Je me retrouvai face à un grand immeuble assez moderne, je monte jusqu'au troisième étage, la porte 302. J'ouvre avec la clé que la concierge m'a donnée, heureusement que j'ai quelques notions de français ! L'appartement est magnifique, l'entrée ouvre sur un grand salon avec une cuisine ouverte (qui ne va sûrement jamais servir, soyons d'accord là-dessus). Il y avait deux chambres avec un lit double et une salle de bain. C'était assez spacieux, je retourne dans le salon et remarque qu'il y avait un chevalet posé dans un coin avec une note accrochée dessus :

« Chère Mady Torres,

J'espère que votre nouvel appartement vous plaît et que le vol n'a pas été trop long. En cas d'un éventuel problème avec ce dernier appelez-moi avec le numéro ci-dessous. Nous avons rendez-vous demain matin à 7 heures devant la galerie, je vous montrerai les locaux et votre nouvelle équipe.

Bonne soirée, signé Daniel Templon.

Wow, cet homme savait comment accueillir ses nouveaux stagiaires ! J'avais commandé chinois et mangeai devant la télé mes petits sushis et nems. J'avais quelque peu dormi, Alycia hantait toujours mes pensées, je me demandais ce qu'elle faisait ou si elle allait bien, si elle ne me détestait pas pour avoir fuit sans avoir eu de conversation toutes les deux. Non, moi aussi je devais la détester, elle m'a trompée !

Je me lève de mon lit et je me sers un bol de céréales, il est 6h02, je prends ma douche et m'habille, je retourne au salon et commence à peindre sur la toile qui était posée sur le chevalet. Toutes mes émotions étaient retranscrites à travers mes coup de pinceau, chaque mouvement signifie mon humeur, mes pensées. Il fallait que j'extériorise tout cela à travers l'art. Après bien 30 minutes à peindre, je me dirigeai vers la galerie, un homme était de dos devant la vitrine de cette dernière :

-Bonjour, êtes-vous Daniel Templon ?

-Oh Mady Torres, bonjour à vous ! Non je ne suis que son assistant, monsieur Templon vous attend dans son bureau. C'est sur votre droite après être entrée.

-D'accord merci ! 

Je rentre donc dans la galerie, les murs sont très épurés et blancs. L'ambiance épurée ne fait pas ressortir un côté hôpital mais plutôt quelque chose de sensible, de pur. Je tourne à droite et aperçois après de longs couloirs une porte avec marquée dessus « Bureau de Daniel Templon ». Je toque et une voix grave m'invite à entrer, j'ouvre la porte et tombe face à mon futur patron :