Par la suite nous arrivons dans une autre salle un peu plus normale. Des escaliers, et des lianes géantes, le tout très sombres.- Je sens un présence nombreuse ici... dit Morgiana.
- Moi aussi, dit Aladdin
Et le chant s'éleva à nouveau. En baissant la tête, j'aperçus des bêtes, aux yeux rouges. Il y en avait beaucoup ! On descendit en courant les escaliers.
Nous marchions à présent sur des fleurs de lotus. Un très grand espace. Et Zagan nous réapparu. Immédiatement Aladdin l'attaqua
- Halharl Rasars !!
- Eh ? Vous n'avez pas besoin de mes pouvoirs ? Dit le djinn en arrêtant les boules de feu du jeune magi
- Qui es tu ? Demanda fermement Aladdin, si tu étais un vrai djinn, cette magie n'aurai pas du te blesser. Et pourtant, tu as sacrifier une partie de ton corps. Eh ! Réponds moi ! Qui es tu ? D'où viens tu ? Répéta notre magicien.
- Eh ben, c'est pas drôle. Moi qui espérais vous surprendre un peu plus. Comme l'a dit le magi, je ne suis pas un djinn. Je suis une créature du labyrinthe créée à l'image de Zagan.
Il nous tira la langue. Alors ce n'est pas le vrai djinn qui enlève les habitants ?
- Tu n'es qu'un faux et tu t'es amusé à enlever les villageois, s'énerva Ali baba, pour leur faire ces abominations !
- Ah non ! Répondit il, Pourquoi tu te prends tant au sérieux ? C'est juste une farce.
- Une farce... marmonna t il, ne te moque pas de moi. Si tu n'es pas Zagan, on a plus à t'épargner ! Annule tout de suite ton sort et libère les villageois !
- Seul l'auteur du sort en est capable. Si vous voulez le voir, trouvez la salle au trésor, répondit l'imposteur en souriant.
- Pas de problème ! On ira !
Et Ali baba fonda sur lui et lui trancha la tête. Un peu trop facilement. Car la tête de la créature revint immédiatement. Il se créa juste après des clones, en nous expliquant qu'il peut se ressusciter autant de fois qu'il le veut. Il mit hors d'état de nuire Ali baba et Hakuryuu. J'étais alors à côté d'Aladdin, qui propose une réplique stratégique.
C'est alors que le sol s'ouvrît sous nos pieds et nous tombâmes dans le vide. Sur le coup de la surprise, je lâcha mon écrin. N'arrivant pas à l'attraper, je sentais vraiment notre mort arriver. De plus, il y avait le vrai corps du monstre en bas. C'est alors que des chaînes me rattrapèrent. Morgiana ! Elle nous ramena intact à l'extérieur puis replongea pour exterminer la créature. C'est alors que quelque chose me vint à l'esprit.
- Elle ... elle n'aura pas assez de magoi !
- Hein ??
- Elle vient à peine de contrôler son lige ! Jamais elle ne saura maîtriser son magoi à la perfection... je vais l'aider !
Je sauta à mon tour dans le gouffre et appuya sur la gravité grâce à ma magie. J'arrive vite à sa hauteur. Elle venait de rencontrer son familier.
- Qu'est ce que tu fais là ? Demanda t elle ébahie
- Je viens t'aider ! Lui dis en lui tendant la main, tu n'auras jamais de assez de magoi pour le battre, laisse moi t'en passer un peu.
Elle regarda son familier qui affirma en un hochement de tête.
- Aie confiance.
Elle attrapa ma main.
Je ferma alors les yeux, transmettant mon propre magoi dans sa main gauche. C'est une technique appeler le ki. C'est une manipulation du magoi qui permet de transférer son énergie vitale dans un objet ou une personne dans le but de lui rajouter une puissance magique. Tout à coup, je sentis une violente douleur au cœur. Comme je le pensais, elle ne sait pas maîtriser sa force magique. Elle m'en aspire bien trop. Je serra les dents quand elle envoya son attaque ultime. Elle lança les bras en avant pour balancer ses flammes, et là tout mon corps se raidit. Je ferma les yeux. Pourquoi ai je fais ça ? Pour l'aider... mais pourquoi ai je eu envie de le faire ? Je pense... je pense que c'est parce qu'ils sont mes premiers amis. En tout cas, je les considère ainsi. J'entendais les cris du faux djinn en haut, et nos pieds touchèrent enfin le sol. Nous tombons toute les deux au sol.
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Il était une fois, une princesse Kō
Fanfic« Acclamez Koumio Hakumi Ren, 4 ème princesse de l'empire Kō, prétendante au trône. » « Dans ma famille, on est pas habitué à avoir des jumeaux. Alors évidemment, quand on en a, c'est difficile de les départager, car on dit souvent qu'ils sont là m...