chapitre 12

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J'ai froid, il fait noir, j'ai peur. Je sais comment ça va finir. Elle va encore me taper. Je n’ai rien fait de mal. Les coups de fouets sur mon dos me font horriblement mal. Je me suis mise au fond de la cave en chien de fusil. Je me suis endormie malgré la douleur sur tout mon corps. Un hurlement m'a réveillé.

Je me réveille en sursaut. Il est cinq heures. Je me lève en douceur, pour ne pas le réveillé, prend un tee shirt et un shorty. Je descends à la cuisine. Je prépare un café et va dans le jardin. Je prends ma guitare et commence à chanter «  I don't want to miss a thing «  aerosmith .

Je sens sa présence derrière moi. Je poursuis avec « when you're gone « avril Lavigne. Et la dernière «  Dressed in black «  Sia. Je suis en pleure. Il me retire ma guitare. Me prend dans ses bras, me berce d'avant en derrière comme pour calmer un enfant, au bout de quelques minutes, il met ses mains sur mon visage essuie mes larmes. M’embrasse avec une douceur.

-Dis-moi ! Je pourrais utiliser ton piano ce soir ? J'ai besoin de jouer !
-Bien sûr ! Il n’y a pas de groupe ce soir !
Je me lève. Je lui dis.
-J'ai faim ! On mange et une douche ! Seule !

Nous partons à la cuisine. Le temps que je prépare les œufs et le bacon. Il prépare le café et le jus d’orange. Nous mangeons dans un silence reposant.
Je débarrasse le plan de travail et direction la douche. Nous nous habillons après la douche et part à la plage avec ma guitare. Quand je dis qu’elle ne me quitte pas, la seule chose de mon père. Arriver sur la digue. On s’assoit, je commence à joue « my immortal »  Evanescence. Vers midi nous retournons chez moi pour déjeuner, un reste de bolognaise. Nous discutons une bonne partie de l’après-midi. Je lui ai dis que mes parents me manquaient. Vers dix-huit heures nous prenions la direction du bar.

Arriver au bar, Chris me voit, le sourire aux lèvres. Juliette me saute dans les bras, les larmes aux yeux. Barbie me regarde de travers, mais je m'en fiche. Chris me sert mon café. Je pose mes affaires derrière le comptoir. Je lance un regard à John pour lui signaler que je prends possession du piano. Je vois John s’installé devant la scène avec un téléphone. Je chante « hurt «  Christina Aguillera. « Great big world feat «  . Suivie de « Try de Pink «  , » Broken de James Morrison «  , «  The reason de Hoobastank «, «  Maman de Louanne »  . Après je prends ma guitare et me lance sur du Ed sheeran « Thinking out loud «  . Une autre au piano de «  Comment vivre sans toi de Caroline Costa « . Je suis en larmes. Je continue avec «  j’aimerais tellement de Jena Lee «. Suivie de » Believer de Imagine Dragons «  je suis vidée. Je suis en nage par cette dernière chanson.

Je me retourne et vois tout le monde se levé et applaudir. J’étais dans ma bulle. J’aperçois Rob et Dick à coter de John, il a un portable à la main. C’est le mien. Avec qui il était pendant ce temps-là.

-Tiens !
-Allô ?
-Mon ange !
-Papa ! Maman ! Je regarde John en même temps.
-Oh ! Ma puce ! On t'a écouté, on pleure de joie ma chérie ! C'est la première fois que je les appelle comme ça, je sens à leur façon de parler qu’ils sont émus.

Je renifle et essuie mes yeux du revers de ma main. On discute deux minutes et leurs souhaite bonne nuit. Je regarde les gars dans les yeux, je vois de l’admiration.

-‘lut ! Pourquoi vous êtes là ?
-Tu nous avais caché que tu jouais aussi bien !

Je hausse les épaules. Je regarde Rob. Il me tend les bras. Je lui saute dessus. Je l’entoure à la taille. Il me chuchote à mon oreille, qu'il sera toujours là pour moi. Au bout de cinq minutes s’est le tour de Dick de m’enlacer. Je prends place sur mon tabouret avec un café. Vers trois heures du matin, John me prend la main pour monter dans son loft. Je tombe de fatigue. Arriver à l’entrée, je demande.

-John ? Je suis fatiguée !
-Allons-nous coucher !

Nous nous dirigeons vers sa chambre. Je me déshabille entièrement et me glisse entre ses draps. Il fait de même. Il me prend dans ses bras. Ma tête posée sur son cœur et je m’endors.

J'espère que vous avez bien écouter ces musique, elles ont tous un sens à cette histoire.

La vie d'IrisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant