La vie d'Iris

chapitre 23

Des scènes lemon sur ce chapitre.

Un cauchemar immonde, ses mains partout sur moi, je cours en direction des toilettes et je vomis. Je vomis encore et encore. Je me brosse les dents car c’est bien connu après on a une haleine de chacal et le goût beurk. Je me douche. Au moment de sortir, on sonne à la porte. Je m'habille en vitesse. Je descends et ouvre. John devant moi tout sourire. Je lui claque la porte en plein nez en lui disant.

-Dégage !
-Iris ! Ouvre ! Je dois te parler !
-Non ! Tu as eu une semaine et aucunes nouvelles ! Alors DÉ_GA_GE ! Je hurle
-Iris ! Mon amie à eue quelques soucis et elle avait besoin de moi !
-Tant mieux pour elle ! En lui ouvrant la porte. Je vois qu'il est peiné. Je lui fais signe d’entrée en lui indiquant la cuisine. Décidément je suis faible avec lui.
-Un café ?
-Oui merci ! Tu n'en prends pas ?
-Non ! Un thé à la cannelle ! Ta faim ?
-Stp ! Je vais t’expliquer ok ?
-Je t’écoute ! En lui donnant sa tasse, je pars m’installé sur le canapé.
-Voila ! Mon amie à eue quelques soucis financiers et il fallait que je sois sur place !
-Et un petit message ! Non ! Un mail ! Non plus. Aucune nouvelle de TOI ! Je mets la tête sur mes genoux que j'ai remonté.
-Iris ! Je suis désolé ! J'aurai dû au moins te dire où j’étais ! Il s’approche un peu. Commence a posé sa main sur mon genou. Je relève la tête. Il voit que je pleure.
-Iris ! Je suis tellement désolé ! J’ai essayé plusieurs fois et je n'ai pas eue une minute à moi ! Tu me manque !

Je le regarde, à moi aussi, il me manque et il le sait. A son contact, j’ai un courant électrique qui parcours mon corps.

-Tu me manque aussi John ! Ne me laisse jamais sans nouvelles stp ! On m'a déjà enlevé mes parents et je ne supporterais pas de te perdre !

Il approche encore un peu de sorte que nos visages se touche. Front contre front. Les yeux dans les yeux. On se dit tout au travers de notre regard. Il s'avance jusqu’à ce que nos lèvres se rejoignent. Il m’attire à lui. Je me mets à califourchon. Tout en continuant avec nos langues, nos mains s’agitent. Je lui enlève son tee-shirt, le mien suit. Le soutif aussi. Je le touche partout et commence à descendre vers le sud, je suis la ligne de duvet, je déboutonne son jeans. Et glisse ma main dedans. Il bande. Je fais des vas et viens. Il gémie. Il m’arrête  d'un coup et me demande de me lever. Il commence à déboutonner mon jeans, il le descend en même temps le shorty qui suit le même chemin. Une fois nue devant lui, il fait de même. M'allonge sur le canapé. Il se place au-dessus pour m’embrasser goulûment. Il commence à descendre vers mon sein gauche. Il le titille et caresse la droite, le pince de temps en temps et mordille l’autre. Je gémis. Il sait que ça me rend folle. Il continue vers le sud en s’arrêtant au nombril, il reprend sa descente. Arriver devant mon sexe, je le vois se lécher les lèvres. Je mordille les miens en le regardant dans les yeux. On dit qu’on voit l’âme dans le regard. Je vois tant d'amour et de désir dans les siens. Il commence à me lécher le clitoris avec tendresse. Il active sa langue de plus en plus fort et de plus en plus vite en mordant de temps à autre. Il insère un doigt suivi du deuxième et son autre main, il empoigne mon sein gauche et pince mon mamelon durement. Je jouie d'un coup. Il retire ses doigts et s’assoit sur le coter en m’attirent sur lui. Je me place à califourchon. Posez sur sa queue, je fais des vas et viens. Il glisse sa main sur mon bouton rose. Ça m'excite énormément et lui aussi, il gémit.

-Vas y ! Donne-toi du plaisir ! Jouie pour moi maintenant !
Je jouie dans un cri. Pourquoi quand il demande de jouir, c'est automatique.
-Ouiiiiiii ! Encore, baise-moi !
Je m'empale sur sa bite d'un coup. Je hurle d'une jouissance fulgurante. Oh ! Putain ! C'est un pur plaisir.
-Ralenti ! Je ne vais pas tenir longtemps ! J'ai tellement envie de toi !
Je ne peux pas ralentir. Effectivement il n’a pas tenu. Il jouit.
-Hmmm ! Je n’en ai pas fini ma douce ! Je vais te prendre toute la journée. Je ne peux pas me passer de toi !

Il me soulève et me lâche pas. Mes jambes cramponnées autour de sa taille. Les bras autour du cou et ma bouche sur la sienne. Il monte vers ma chambre. Ensuite, il prend la direction de la salle de bain. J'étire le bras et fait couler l’eau chaude.

A peine dessous que je sens sa queue se redressée. Il me glisse lentement dessus, entre petit à petit. Arriver à la garde, il commence à bouger doucement avec tendresse. Je sens une chaleur montée jusqu’à mes reins, mes seins pointent au point d’être douloureux. Je jouie. Toujours ma bouche sur la sienne. Il avale ma jouissance. Il me dépose au sol, me retourne. Il s’abaisse, sa tête entre mes cuisses. Embrasse mes fesses. Descend sa langue sur ma raie, joue un peu avec mon anneau.

-Oh putainnnnn ! Encore ! Je ne vais pas tenir !
-Oh ! Que si et je commence seulement ! Je vais t’épuiser, tu ne te rappelleras même pas ton nom !

Il continue à passer sa langue sur mon anneau jusqu’à une jouissance différente. Il glisse sa langue sur mon clitoris et avec sa main, il me tripote les fesses. Il passe sur mon anneau avec un doigt. Comme s'est bon. Sa langue sur mon clitoris plus un doigt qui va et viens sur mon anneau qui de temps en temps le rentre doucement et de l'autre main, il rentre un doigt dans ma chatte. J'ai le souffle rapide, le cœur au galop au point de sortir de ma cage thoracique. Je tremble de partout.

-Johnnnn !
-Jouie pour moi ! Putain que t’es bonne et ton goût de miel ! Mmmm ! Jouie encore ma douce !

Il continue en ajoutant un deuxième doigt sur les deux et joue encore avec sa langue. Un pur plaisir, l'extase total, l'abandon de soi. Je jouie encore et encore. Il retire ses doigts et se colle à moi. Dos à moi, il présente sa queue à l’entrée de mon anneau. Il s’insère doucement.

-Oh Putain ! Tu es tellement étroite !
Il continue d’entrée, de son autre main. Il remonte mon dos avec des caresses. Passe devant et pince mon sein. Je cri de jouissance.

-Ouiiiiiii !
-Encore ! Tu en veux encore ma douce ! Penche-toi encore un peu !

Je me penche ! Lui présente bien mon cul. Il arrive le plus loin possible et commence-les vas et viens. Sa main descend vers mon mont de Vénus. Il caresse mon clitoris tout en pilonnant mon derrière.

-Oh ! Je ne vais pas tenir ! Tu es tellement étroite ! Jouie encore maintenant !

Je jouie. Je ne suis que sensations, je plane totalement. Il est ma drogue.

-Je vais jouir ! Jouie avec moi !

On jouit ensemble une dernière fois. On sort de la douche, il ne me lâche pas, j'ai plus de jambes. Il me sèche et me pose sur le lit. On a remis ça toute la nuit. On s'endort vers cinq heures qui habituellement est à l'heure où je me lève.