La vie d'Iris

chapitre 18

  

Plusieurs jours pour finir cette maison et aucunes nouvelles de John. J'ai fait appel à un service d’alarme pour la maison. Je commande un billet d’avion pour ce soir. Pour Houston Texas. Je préviens mes parents l'heure d’arriver.

Je prépare un sac pour le séjour. On sonne à la porte. Je descends et ouvre au technicien pour l’alarme. Il m’explique comment ça fonctionne. Je l’arrête tout de suite. Je lui dis qu'il me le fixe et je m’occupe du reste. Je le paie et boujoute. Je modifie les codes.

J’envoie un sms à Rob pour le prévenir que je pars en vacances et de retour bientôt. J’appelle un taxi. Je fais le tour des pièces, ferme les volets et les portes, descend ma guitare au sous-sol comme la porte est sécurisé. Le taxi klaxon.

-J'arrive ! Il m’ouvre son coffre et dépose mon sac.
-L’aéroport svp !
-Bien mademoiselle ! Il met un fond de radio et direction le Texas.

Arriver à l’embarquement, je donne mes papiers et mon billet. Trois heures de vol, donc arriver pour vingt-deux heures. J’envoie un SMS à mes parents pour leur dire que je louerai une voiture.

Arriver à Houston, je vais louer une voiture. Un 4x4 noir. Passe partout ce genre de véhicule. Je place mon sac dans le coffre. Je m’installe au volant du 4x4, et démarre. Je sors du parking et direction la maison de mes parents. Je ralenti dès que j'arrive aux abords du chemin, je ne roule pas trop vite, j'ouvre ma vitre pour prendre un bon bol d'air frais, pas un nuage, une belle nuit étoilée. Je vois la maison en haut de l’allée, je prends la direction et d'un coup, je vois mon cheval au pré, je m’arrête prêt de la maison.

Je descends de la voiture et me dirige vers mon étalon black tout noir, la particularité qu'il a sont ses yeux, ils sont d'un bleu pâle. L’éleveur d'étalon n'en a pas voulu à cause de ça, pour lui, il ne rentrera pas pour un pur-sang. Arriver à la barrière, je le siffle et il arrive en faisant le fou comme à son habitude. Pire qu'un chien quand il voit son maître. Il est d'une tendresse avec moi. Un caractère fougueux et d'une rapidité. Je le caresse sur sa tête suivie de son cou.

-Il t’attendait mon ange ! Je me retourne et je vois le grand sourire de mon père.
-Papa ! Je lui saute au cou, l’entoure de mes bras et le lâche au bout de cinq minutes.
-Comment va mon ange ? Il me sert de ses bras.
-Je vais mieux maintenant ! Pourquoi black est au pré ? Dis-je
-Quand je lui ai dit que tu arrivais ! Il ne tenait plus dans son box ! Comme tu sais mon ange ! Personne ne peut le monter sauf toi ! Laisse-le pour la nuit sinon ! On ne va pas arriver à dormir cette nuit !
-Ok ! Je reste un peu avec lui et j'arrive !
-Prends ton temps ! Je vais te préparer un café !
-Merci papa ! Il repart à la maison. Je vois qu'il est heureux de me voir, alors quand je vais voir maman, je sens qu'elle va pleurer.
-Coucou toi ! Demain une promenade mon grand ! Une bonne course ensemble ! Je le vois dans son regard de malice qu'il me réserve quelque chose.
-Allez ! Profite bien mon grand !

Je passe vers la voiture pour prendre mon sac et je vais rentrer à la maison. Ma mère me saute dans les bras à peine entrés. Je lâche mon sac et sers ma mère dans les miens.

-Maman ! Ça va ! Je vais bien !
-Tu m'as tellement manqué mon trésor ! Te serré dans mes bras ! Je veux que ça pour le moment !
-Dis moi ! Peux-tu me laissé respirer un peu ! Tu serre un peu fort !
-Oh ! Désolée ! Oui ! Oui ! Viens prendre ton café ! Tu as vu black !
-Oui maman ! Je l’ai vue !
-Tu sais ? Quand tu nous as appelé papa et maman ! On était les plus heureux ! Et le fait que tu rejouais du piano et ta voix ! Un bonheur ma fille car tu le sais que pour nous ! Tu es notre fille !
-Je sais maman ! Papa !
-Tu dois être fatiguée ! Au mince ! Il est déjà vingt trois heures ! On va aller se coucher ! On discutera demain !
-Bonne nuit ! J’embrasse mes parents sur leurs joues.

Je prends mon sac et je monte dans ma chambre. Je la regarde, elle n'a pas changé. Un grand lit avec une couette prune, sur mon chevet un livre sur la science et sur l'autre une photo de mes parents. Mon armoire en chêne et du côté de la fenêtre mon bureau pour plus de lumière. J'en ai passé des heures sur cette chaise prune, entre mes cours et mes dessins. Je prends la direction de la salle de bain. Je rentre pour me doucher. Avant je sors mon tee shirt et un shorty. Je sors de la douche au bout de vingt minutes pour me détendre, je ne suis pas stressée mais je sais que la discussion de demain va être difficile. Une fois doucher, habillé, je sors mon ordinateur que je dépose sur le bureau. Je rentre dans mon lit et m’endors.