chapitre 24

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Désolé, un réveil lemon.

Je me réveille vers neuf heures. John dort encore. Je le regarde. Je commence à le caresser sur ses abdos et glisse ma main vers le sud. Il bande déjà. Je descends entre ses jambes. Oh Putain ! J'ai faim ! je joue avec ma langue le long de sa bite, et la tourne sur son gland. Il a un goût salé, j'adore ça. Je le prends en bouche et descend à fond. Je fais des vas et viens avec ma bouche et une main qui monte et descend avec lenteur. Avec mon autre main, je la remonte vers sa poitrine et le caresse. Il gémit. Sa main posée sur ma tête pour m’accompagner. Sa queue gonfle de plus en plus. Il va jouir dans pas longtemps.

-Oh ! Que s’est bon ! Continue comme ça ! Ralenti ! Je vais jouirrrrrr !

Son liquide chaud au fond de ma gorge, j'avale jusqu’à la dernière goutte. En remontant, je me lèche les lèvres. Il m’attire à lui, la main derrière mon cou. Il m’embrasse, sa langue joue avec la mienne. On tourne. Je suis sur le dos et lui au-dessus, il descend sa main pour me caresser le clitoris et il sent bien que je suis trempé. Les sensations d'excitations que j'ai eue en lui faisant une pipe.

-Oh ! Ma douce prête pour moi ! Tu es trempée ! J'ai faim ! Je vais te goûter encore et encore !

Effectivement, je jouie deux fois consécutive. Il remonte entre mes cuisses. Se présente devant et d’un coup de rein il est entré. Je jouie d’un coup.

-Johnnnn ! Ouiiiii !

Je lui mords l’épaule et ça déclenche sa jouissance. On est à bout de souffle. On reste cinq minutes blotties ensemble. Mon ventre se met à faire du bruit, j'ai faim mais bien de nourriture.

-J'ai faim ! Je vais préparer quelque chose ! Tu viens ?
-Moi aussi j'ai faim !
-Oh non ! J'ai besoin d’énergie si tu veux que j'en dépense !
-T'es sûr ! Je peux encore te lécher ta belle petite chatte !

Je sors du lit avant qu'il m'agrippe par la taille. J’attrape sa chemise et cours en direction de la cuisine. Je l'entends se marrer. Je sors de quoi manger, un petit déjeuner à dix heures une première.

-John ! A table !
-J'arrive ! Et c'est toi mon dessert !
-Non ! Non !

Je recule un peu. Lui donne son assiette. Nous mangeons dans un silence sans gêne, tout se dis dans les yeux. Je commence à débarrasser la table, place le tout dans le lave-vaisselle. Je sais qu'il va venir par l’arrière. Pas loupé.

-Maintenant mon dessert !
-Tu es insatiable !
-J'ai tout le temps envie d’être en toi ! Je ne sais pas ce que tu m'as fait ! Je veux jouir en toi ! Te baiser partout ! Enfoncé ma queue dans ta chatte et ton cul. Te caressé partout !

Il commence à déboutonner la chemise et comme je n’ai pas de bas tout va aller très vite. La chemise parterre, il me caresse, enserre ses mains autour de ma taille et me soulève pour me poser sur le plan de travail. Il avance mon cul au bord et glisse sa queue devant moi.

-Oh oui ! Baise moi dur et fort !

D'un coup de rein, il entre. Il va dur et fort comme promis, glisse sa main sur mon bouton rose et l'autre derrière.
-Jouie ma douce ! Tu es tellement étroite et tu sers bien ma queue ! J'en veux encore et encore !
-Ouiiiiiii ! Ouiiiii
Je cri ma jouissance. J'en veux encore.
-Encore John ! Encore !

Il me prend par la taille, toujours en moi, il nous monte vers la chambre. Ah non ! la douche, miam, miam.  Il met l'eau en route. Il nous place sous la poire d'eau chaude. Il reprend ses vas et viens. Ma tête tombe en arrière. Lui offre mes seins.

-Oh oui ! Tes seins regarde comment ils pointent ! Je vais te les lécher et mordiller !

Effectivement, il les mord fort et je jouie sous cette morsure divine. Il continu à me pilonner jusqu’à sa propre jouissance. On finit par se laver. Je sors enrouler dans une serviette autour de ma poitrine et une dans mes cheveux. Je m’habille d'un legging noir et un grand tee shirt, sous-vêtements noirs en dentelle. Je sèche mes cheveux, la tête en bas. Je sens sa présence. Je me redresse doucement. John avance et se place derrière moi. Embrasse mon cou, ses mains sur ma taille. Il me donne chaud. Je penche la tête pour lui laisser l’accès, tellement s'est bon. Ses mains commencent leurs descentes vers l’élastique de mon legging. Je l’arrête tout de suite en mettant ma main dessus. Il me retourne pour faire face. Je vois dans ses yeux lagon qu'il en veut encore.

-John ! J'ai encore des choses à faire !

Je l’embrasse et pars dans la salle de bain pour me brosser les dents et me coiffer.

-Moi aussi ! Mais j'ai tellement envie de te prendre surtout que je suis sûr que tu mouille encore ! Et j'ai aussi du boulot donc je vais retourner au bar ! Sache que je n'en ai pas fini avec toi ! Me dit John avec un sourire ravageur.

John m’embrasse avec gourmandise et s'en va. Je commence à faire le ménage en haut. Ouvre les fenêtres, profiter du soleil. Je descends et fait de même.
Au bout d'une heure la maison est propre et sent bon, je remonte pour fermer les fenêtres. Je prépare mon dîner vers dix-neuf heures. Pomme de terre douce à la crème à l’oseille avec un filet de saumon, en dessert un tiramisu au chocolat et un grand verre d’eau.

Vers vingt et une heures, il fait encore chaud. Je vais faire un tour à la plage avec mon violon. Je me dirige vers les dunes. La mer est paisible, me donne une sensation de bien-être. Je sors mon violon et commence à jouer, surtout du Lindsey Stirling pendant presque deux heures. Des promeneurs se sont arrêtés pour m’écouter. Certains sont debout et d’autres assis sur le sable. À la fin de ma séance, je le range. Je relève la tête et au même moment les gens applaudissent. Un homme s'approche de moi et me demande.

-Bonsoir ! Je vous ai déjà entendu ici mais avec une guitare !
-Bonsoir ! Oui ! C'est bien moi !
-Je vous écoute à chaque fois ! Votre musique me plaît ! Je suis venu avec quelques personnes, pour vous entendre jouer !
-Oh ! Merci ! C'est juste comme ça ! Un plaisir de jouer !
-Je le vois mademoiselle … !
-Iris !
-Iris ! J’aimerais vous enregistrer et faire montrer à un groupe de musiciens !
-Oh ! Vous savez quand je joue, je suis dans ma bulle donc je pense qu'on m’a déjà prise en vidéo !
-Est-ce que vous jouez d'autres instruments ?
-Oui ! Du piano, je joue un peu au bar « Chance « pas loin d'ici ! Quand j'en ai envie !
-Quand ? Je veux vous écouter !
-Demain soir ! Vers vingt heures, j'y serais déjà !
-Excellent ! C'est quoi comme bar ?
-Un bar ! Calme où se produit quelques groupes que j’accompagne à l’occasion !
-Je viendrais demain soir ! Merci et bonne fin de soirée !
-A vous aussi !

Je rentre chez moi. Je me fais un thé à la cannelle. Prend mon ordi et continue mes recherches sur mon père.

-C'est quoi ça ! Putain !

Je détaille les noms. Je vois des hauts gradés et quelques fonctionnaires, des cartels, des soldats aussi. Je suis tombée sur une bombe. Je continue la liste pour voir si mon commandant est impliqué dans cette affaire. Je ne le vois nulle part. Ouf ! Je mets tout sur clé USB. J'appelle d'urgence mon commandant.

-Urgence. Dimanche midi barbecue.

Et je raccroche. Il a compris. C'est un code depuis mes débuts. Je contacte quelques hommes de mon unité et leurs donne rendez-vous pour dimanche en leur précisant en civile. Vers midi pour un barbecue. Je referme le dossier et attaque celui de l’orphelinat. Je leurs lance un virus pour y accéder. Je vais attendre deux jours pour les recherches. Je vais me prélasser sous la douche tiède. Au bout d’une demi-heure et me couche et m’endors.

La vie d'IrisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant