Je suis cachée sous mon lit, j'ai peur, il va revenir, je le sais. Au début, quand je suis arrivée à trois ans, c’était une ou fois par semaine et depuis quelques mois, c'est tous les soirs. Il ne me voit pas dans le lit. Il ne me cherche pas longtemps, la chambre est petite. Il y a un lit et une table de chevet, c’est tout. Ma guitare n'est pas là, il la gardé pour que si je la veux, je ne dois rien dire. Il sait que je ne peux pas parler. Donc je ne bouge pas quand ses mains me touchent. A trois ans, on ne sait pas. On ne comprend pas non plus.
-Je sais que tu es sous le lit !
Il m’attrape les pieds et me lance sur le lit, ma tête heurte le montant en fer. Ça fait mal. Je pleure à cause de la douleur.
-La prochaine fois que tu es sous le lit, je l’enlève ! Tu dormiras parterre ! T'as compris ?
Je fais oui de la tête. Je me débats.
Je hurle.
-Trésor ! Trésor ! Réveille-toi ! Tu fais un cauchemar ! Voila ! Doucement ! Viens !
Je cours au toilette vomir, encore et encore. John arrive derrière moi me tenir les cheveux, ils sont tellement long, je ne les ai jamais couper, il arrive sur mes fesses. Il m'aide à me relever et me glisse sous l’eau chaude, très chaude. Il me lave, je n'ai aucune force, me rince et me sèche. Je reprends mes esprits et me brosse les dents. Déjà le matin, tu as un mauvais goût alors après avoir vomi, tu as une haleine de chacal et beurkk, le goût. Je retourne dans la chambre prendre un grand tee-shirt Smiley et un boxer. Je regarde l’heure, il est à peine cinq heures.
-Viens ! Trésor ! Allonge-toi, il est encore tôt !
Je fais non de la tête et descend au séjour prendre mon carnet à croquis, m’assoie sur le canapé et commence à dessiner mon cauchemar et je le détail, je vois John s’asseoir à côté de moi. Il sait que je ne peux pas parler tout de suite. Il attend que je sorte de ma transe. J'ai la tête baissée. Je lâche le crayon et lui temps le carnet. Il regarde, ne dis rien et me prend dans ses bras, me serre fort pour me dire qu'il est là avec moi.
-Trésor ! Pourquoi dessine-tu ça ?
-Je dois vidé ma tête ! C'est la seule chose que je sais faire, je dessine ! Sinon c'est une balle ! Je ne tiendrais pas ! Je veux oublié !
-Je sais trésor ! Alors dessine autant que tu veux ! Je serrais toujours là pour toi !
Il me serre tendrement, il commence à m’embrasser sur le nez, les joues, le menton et la bouche. Il attrape le bas de mon tee-shirt et me l’enlève, m’agrippe les hanche et m'allonge sur le canapé. Se place sur moi. Entre mes jambes. Sa main descend sous mon boxer et commence à jouer avec mon clitoris.
-Je vais remplacé tes cauchemars en te faisant l'amour à chaque fois !
-Fais moi oublié ! S'il te plaît !
-J'y compte bien !
Il continu ses mouvements. Je gémie.
-Encore ! Fais-moi jouir !
Je tremble de partout, la jouissance monte à m'en brûlée les reins, des frissons sur ma colonne vertébrale. Les doigts de pieds repliés sur eux-mêmes.
-Jouie ! Maintenant !
Je jouie à ne plus en finir, je me lâche complètement. Un vrai pantin.
-Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii !
Il descend mon boxer et glisse sa tête entre mes jambes, me lèche et me pénètre de deux doigts d'un coup. La douleur est là mais le plaisir est plus fort. Je hurle de plaisir.
-Voilà ! C’est bon trésor !
Ce n’est pas une question, il sait comment mon corps réagit.
-Maintenant je vais mettre ma queue au chaud ! J'ai tellement envie de toi !
Effectivement, il remonte et glisse sa queue dans mon vagin.
-Oh ! Putain ! A chaque fois que ma queue est à sa place, tu es encore plus étroite ! Tu es tellement serré ! J'adore ça ! Serre encore trésor !
Je serre encore et je le sens gonflé encore plus, l'extase, j'en veux encore plus.
-Ouiiiiiii ! C'est bien ! Jouie avec moi ! Maintenant !
On jouie ensemble, il se déverse en moi, c'est chaud brûlant. Il reste encore en moi .
-Je veux resté comme ça tout ma vie, en toi !
-Je pense à la même chose ! Chéri ! Tu m'as fait oublier ! Je ne peux que te remercier !
-C'est peut être égoïste de ma part mais j'ai pris un pied d'enfer ! On remet ça quand tu veux !
-Mmmmm ! C’est tentant ! Mais là, j'ai faim ! De nourriture, je suis vidée ! Après je vais aller courir !!
-Je serais toi ! Je passerais un jogging avant ! Et je vais te préparer un café !
-Un thé ! Le café ne passe pas pour le moment ! Oui, je vais m’habiller !
Je remonte pour enfiler un jogging, une brassière et un débardeur, chaussettes et baskets. Je redescends, prends mon thé et file courir une heure. Snow me suit, écouteurs et musique à fond dans les oreilles et direction la plage. Je vois que au bout d'une heure Snow en peut plus donc je fais demi-tour. On rentre.
-Trésor ! Ça t’a fais du bien ?
-Oui ! Merci ! Mais Snow à soif ! Hein Snow ? Oui mon pépère ! Tu as bien couru ! La prochaine fois reste à la maison ! J'ai besoin de plus, mon gros !
-Viens manger !
-Je vais prendre une douche rapide et j'arrive ! Seule la douche !
-Pour cette fois !
-Je n'en doute pas !
Je remonte en rigolant. Une fois prête, je redescends manger, j'ai la dalle. Nous passons à table.
-Dis-moi, j'aimerais visiter l’orphelinat du coin !
-Pourquoi trésor ?
-Je ne sais pas ! Voir si ils ont besoin ou pour me rassurer que les enfants ne tombent pas sur des familles comme moi ! Je ne le souhaite à personne !
-Fais des recherches ?
-Oui ! Je vais lancer ça !
-Je te fais confiance ! Et je sais que tu feras en sortes que rien ne leurs arrivent quoique se soit !
-Tu as raison ! Avant je vais vérifier ou en est l’enquête de mon père ! J'ai peur d'avoir des surprises !
On range la maison ensemble. Tout y passe. L’aspirateur, les sols, les poussières, un ménage à fond. Le linge à laver donc un rituel qui commence ensemble le ménage à fond. Et avec un chien pas trop le choix, les poils partout. La maison enfin propre, je descends au sous-sol, je m’installe et épluche l’enquête. J’envoie mes résultats au commandant et à mon équipe. Déjà c'est à jour. Je lance une recherche sur l’ orphelinat du coin. Je lance un regard sur mon dossier.
-John ?
Je l'entends descendre les marches.
-Oui trésor !
-Regarde ? Aucun soucis sauf une mauvaise gestion ! Ou alors, ils ne reçoivent pas assez pour le nombres d'enfants !
-Je vois ça ! Que compte tu faire ?
-Je ne sais pas ! Je veux le visité avant !
-Et te connaissante, tu vas les appeler ce matin ?
-Oui ! J'aimerais qu'ils viennent sur la plage tantôt !
-Fais-le trésor ! Je sais que ça te tient à cœur mais tu ne peux pas aider tout le monde !
-Je sais bien !
Je prends le numéro de téléphone et appelle pour un rendez-vous ce matin pour dix heures. Juste une visite. Une chose de faite. Je profite pour regarder mes mails. Je réponds à mon trader et ma conseillère. Mon père pour me donner des nouvelles des enfants.
Mon ange
Tout se passe bien, pour Gabrielle. Elle commence lundi comme prévue et elle a hâte. Elle veut remarché avant thanksgiving pour te faire ce cadeau et pour Tristan, la cicatrisation est bien fermé et propre. Il retourne chez lui dès les premiers résultats que j'ai joints avec ce mail. Regarde et donne ton accord. Et nous tout va bien. Hâte que tu reviennes accompagné.
On t’embrasse mon ange
Papa et maman
Je regarde son dossier. Tout est bon, plus aucune trace de la tumeur, elle était bénigne. Super, il va pouvoir rentré chez lui et vivre sa vie de petit garçon.
Papa, maman
Je viens de lire le dossier de Tristan ! Tout est bon. Il a l’autorisation de rentrer, il n’a plus rien, les résultats sont bon. Pour la puce, je suis très heureuse. Moi aussi j'ai hâte de vous revoir accompagné.
Je vous aime
Iris
Je préviens John pour les enfants que j'ai opéré. Il est aussi content que moi. Je regarde l'heure neuf heures trente. On se prépare car John m’accompagne.
-Snow ! Va voir les chevaux et tu reste avec eux ! On reviendra te chercher !
Il part en direction du pré, il comprend vite ce chien. Obéissant aussi pas comme moi. Nous partons main dans la main. Arriver à la porte de l’orphelinat, nous sommes accueilli avec une sourire de la directrice madame Jones.
-Bonjour et bienvenue à Ste Cécile ! En quoi, je peux vous renseigné ?
-Bonjour, madame Jones ! Je vous ai appelé ce matin ! Iris McCallan et voici mon compagnon John Hills ! J'ai regardé votre site ! Je viens moi-même d'un orphelinat sur New-York ! Du temps où j'y étais, on ne sortait pas ! Je veux vous proposée une sortie plage ! Un petit spectacle va avoir lieu cet après-midi vers quatorze heures !
-Oh ! Venez ! Allons leurs demander !
On suit madame Jones jusqu’à une salle de jeu. Ils sont usés et cassés, bon à changer. Je regarde John, il pense comme moi.
-Les enfants ? Mademoiselle McCallan et monsieur Hills, nous propose une sortie à la plage cet après-midi ! Qui veut y aller ?
Tout les enfants lèvent la main, le rendez-vous est donné.
-John ? Regarde un piano !
-Tu veux en joué trésor ?
Je fais oui de la tête, madame Jones le voit et me donne l’autorisation. Je me dirige vers mon outil de pur bonheur. Je joue, je suis dans ma bulle, oh ! Pas longtemps, j'ai encore à faire même si je ne travaille pas. Nous repartons vers midi. On s’arrête au chinois pour emporter à la maison, on récupère Snow au passage. Nous mangeons vite fait et nettoyons pour repartir. On va chercher les chevaux, violon à la main. On monte à cru. Ils ont juste le licol et la longe. Arriver à quatorze heures tout le monde est là.
Je leurs demande juste de laisser beaucoup de place et laisser les petits devant. John sort son téléphone pour filmé. Je commence à jouer du violon et bien sur Black et Summy dansent et Snow saute sur eux. Cela dure presqu’une heure. Je suis dans ma bulle avec mon violon. Le vide autour de moi. De retour à la réalité, tout le monde applaudit quand les chevaux et Snow tirent la révérence. Un sacré trio. Nous discutons avec beaucoup de personnes et les enfants vont voir les chevaux, je les préviens de faire très attention, ils sont très gentils mais là, ça fait beaucoup d'un coup. Je vois une petite fille qui a peur de Black, je m’approche d'elle doucement.
-Coucou toi ?
Elle me regarde et regarde sa mère.
-Elle a peur ! Du noir !
-Black ? Oh ! Il est très gentil ! Veux-tu le caressé ?
Elle me tend ses bras. Je la prends avec moi et appelle Black.
-Regarde ! Montre-lui ta main ! Il va sortir sa langue pour que tu la touche ! Attention elle pue !
Elle rigole quand je dis pue. Black sort sa langue comme un chien, je rigole à chaque fois, un clown ce cheval. Je lui demande si elle veut monter dessus, elle ne veut pas. Je tente une expérience, je vais monté et après je lui demande. Elle ne refuse pas. On fait cinq minutes de balade, elle est très contente. Je la redonne à sa mère. Je descends et demande à madame Jones et aux enfants comment s’était. Ils ont tous aimé. Je prends la directrice à part.
-Madame Jones ! J'ai vue les jouets des enfants !
-Oui ! Je sais ! Ils sont bons à changer mais nous n'avons pas les moyens ! On n’a pas beaucoup d'aide et pas de donateurs non plus ! Et la ville ne fait rien !
-Je vois ! Vous aurez une donation en septembre ! Je fais une soirée caritative à New-York et je vais ajouté une demande de dons pour Ste Cécile ! Et pour les jouets, retirer les cassés ! Je vous envoie ça demain matin ! Ne me posez pas de question !
-Merci ! Pour eux ! Ils sont tellement gentils ! On va pouvoir refaire la structure !
-Non ! La donation est pour les enfants ! La structure pour la ville et je n'en occupe dans la semaine !
-Pourquoi faites vous ça ?
Je souffle, je ne veux pas en parler avec elle, personne même.
-Disons ! Mauvais souvenirs !
Elle hoche la tête, elle voit que je ne vais pas en dire plus. Je vais voir John.
-Chéri ! On ne va pas tarder !
-Quand tu veux ! Trésor !
Nous repartons avec nos clowns. A peine l'ouverture du pré, on a juste le temps d'enlever le licol que les trois se roule dans l'herbe. Nous nous regardons et on éclate de dire. Nous rentrons à la maison. Il est presque dix-sept heures. Je prends mon pc et demande le téléphone à John.
-Chéri ? Puis-je avoir ton téléphone ?
-Bien sûr ! Un problème ?
-Non ! Je veux juste envoyer la vidéo à mes parents !
-Vas-y ! Que veux-tu manger ce soir ! Même si je ne sais rien faire sauf le petit déjeuné !
-Commande ! Je n’ai pas le courage ce soir !
-Tu veux quoi ?
-Regarde dans le tiroir gauche du plan de travail ! Français et pas de dessert pour moi !
-Pas de dessert ?
Je souris. Je le regarde avec des yeux plein de désirs.
-C'est moi le dessert ! Trésor ?
-Devine !
-Je le vois même très bien ! Laisse-moi commander après je m’occupe de toi !
Il passe commande au traiteur français et fait livrer pour vingt heures, le temps qu'on s’occupe mutuellement. Je le rejoins dans la cuisine, il m'a promis le plan de travail.
-Oh ! Mais je vois que tu as très envie ! Trésor ! Approche ! Je vais te retirer ton débardeur ! Tu as trop chaud !
Je me lèche les lèvres. J'avance.
-Voilà !
Il glisse ses mains derrière le dos dégrafe mon soutif. M’embrasse en même temps.
-Tu n'as pas besoin de ça ! Regarde comme ils sont lourds et leurs pointes qui demande que ma langue ! Mmmm ! Je vais te lécher trésor !
Il commence à me lécher tout en déboutonnant mon jeans et passe une main sous mon boxer. Délicieux, il est doux.
-Oh ! Tu es prête pour moi, trésor ! Tu sens comme tu mouille ! Je vais prendre mon dessert en premier ! J'ai trop envie de toi maintenant que je t'ai senti trempé ! Continue à mouillé trésor !
Il lâche ma chatte et descends mon jeans et mon boxer en même temps, les chaussures et chaussettes suivent. Je suis nue devant lui. Il reste habillé mais je vois son membre bien gonflé dans son pantalon.
-Je t'ai promis le plan de travail ! Prête ?
-Oui ! Lèche-moi !
-J'y compte bien !
Il m'attrape par les hanches, me soulève et me pose sur le plan de travail. J'ai bien choisi sa hauteur .
-Reste assise trésor ! Recule tes épaules, bras en arrière ! Voila ! Maintenant approche que je te lèche ! Je vois ta cyprine qui coule ! Tu m'as ouvert l’appétit !
-Mmmm ! Oui !
Il me lèche, puis il joue à l’entrée de mon vagin sans me pénétré.
-Oh ! Putainnnnn !
Plus je le regarde, plus je mouille, je suis très excitée.
-Oui ! Mouille encore ! Je n’en ai pas assez !
Il continue, il me pénètre de deux doigts d'un coup.
-Jouie pour moi trésor ! Maintenant !
Je jouie. Toute tremblante. L'extase. Une vrai drogue.
-Oh oui ! Tu en veux encore ou tu veux ma queue !
J’hésite. Je regarde son membre avec gourmandise. Je me lèche les lèvres. Il ouvre son jeans pour me présenté sa bite bien raide comme de la pierre.
-C'est ça que tu veux trésor ?
Il commence à se branler.
-Ouiiiiiii !
Même en se branlant comme ça devant moi, ça m’excite énormément. Il me ferait jouir juste en le regardant. Au point ou je fais glissé ma main sur mon clitoris.
-Oh ! Je vois trésor ! Approche que je te donne ma queue !
J'approche près du bord, il met sa bite devant mon vagin et joue encore un peu devant l’entrée.
-Baise moi ! J'en peux plus !
-Regarde comment tu me fais gonflé ! Tu la veux ! Je vais te la donner et tu vas jouie aussitôt ! Trésor !
Il me pénètre d'un coup et je jouie.
-Johnnnn ! Ouiiiiiii !
Il fait des vas et viens de plus en plus fort. Je tremble de partout, je suis en sueur, mes cheveux me colle à la peau. Il gonfle encore, il se tend et je sais qu'il va jouir et moi aussi.
-Jouie avec moi !
Au bout de vingt minutes, il se retire. Me fais descendre. Je tiens plus sur mes jambes. Il me porte et monte à l’étage pour se glisser sous la douche. On se lave mutuellement. Je sors et me sèche, retourné a ma chambre et se sors une nuisette prune, nue en dessous. John passe son jeans. Il va falloir que je lui fasse une place dans mon armoire.
Nous descendons dans le séjour, je m’installe sur le canapé et sors mon carnet à dessin. Je gribouille. Vers vingt heures, on sonne à la porte. John va ouvrir et prend la commande. Nous passons à table et discutons de l’orphelinat.
-Dis moi ? Pour l’orphelinat ?
-Oui ?
-Ta vue comme moi que le bâtiment n’est pas jeune !
-J'ai vue ! Il tombe en ruine !
-A qui appartient il ?
-A la mairie de la ville ! Pourquoi ?
-Il serait temps qu'ils fassent quelque chose ! Tu ne crois pas ?
-Oui ou alors qu'ils les mettent ailleurs !
Je réfléchis un peu.
-Crois-tu que le maire peut faire quelque chose rapidement !
-Je ne sais pas ! Trésor !
-J'ai discuté avec la directrice ! Et j'ai proposé une soirée caritative pendant notre soirée en septembre ! Et… !
-Et ?
-Et la première chose qu'elle voulait faire, était de refaire la structure !
-Mais, tu ne veux pas ?
-Non ! Je veux que se soit pour les enfants ! Vêtements, nourriture et mobilier !
-Et les jouets ?
-Non ! Pour les remplacer ! Je vais passé une commande ! Avec la tranche d’âge, je pense qu’ils vont avoir ça !
-Tu veux le faire quand ? Je commence à te connaitre et je vais aller chercher le pc !
Je le vois repartir vers le buffet, revient et s’installe à coter de moi, ouvre et commence la recherche. Il trouve en ligne beaucoup de jouets pour fille et garçon. On regarde ensemble, on prend de tout en plusieurs exemplaires. Ils sont une petites vingtaine.
-Prend aussi deux ordinateurs pour les plus grands ! Jeux vidéo et tv ! Ça devrait être bon !
-Oui je pense ! Tu fais livré pour quand ? Non ! Ne dit rien demain matin première heure ?
Je lui souris, il comprend vite. On débarrasse et range tout. Mon téléphone sonne. Je vais dans le jardin.
-Allô ?
-Allô ! Doc ?
-Mon commandant ! Que me vaut ce plaisir ?
-Dans un mois le ménage commence !
-Bonne nouvelle ! Auriez vous besoin de mes services ?
-Je ne pense pas ! Doc ! Avec les preuves et le bon juge tout va bien se passer !
-Ok ! Médiatisée ou pas ?
-Je ne sais pas encore ! Je dois avertir mes supérieurs !
-Ok ! Tenez-moi au courant ! Et si vous aviez besoin de plus ! Dis-le-moi !
-Très bien ! Continue les recherches !
-La machine est lancée ! Elle s’arrêtera quand se sera terminé !
-Bonne soirée doc !
-Bonne soirée mon commandant !
Je raccroche et John m'a rejoint dans le jardin. Il a entendu la bonne nouvelle.
-C'est bon ! Ça va bouger !
-Oui ! Légalement ! Sauf si… ! Je fini ma phrase très basse au point qu'il ne l’a pas entendu.
-Tant mieux ! Je sais que tu dois être magnifique en treillis ! Mais je te préfère nu ! Prête pour moi !
-Tu as l’intention de remettre ça !
-Bien sûr ! Tu n’as pas prix ton dessert !
Je me lèche les lèvres et je le regarde avec un désir brûlant. Je me lève et me place entre ses jambes. Je commence à passer mes mains sur ses cuisses. Je vois la belle bosse qui se forme sous mon plaisir. Je le regarde en baissant sa braguette. Je fais sortir son membre, bien dresser comme une barre de fer, je passe ma main sur sa peau douce.
-Que veux tu faire ! Trésor ! La prendre dans ta bouche !
-Oui ! Je veux mon dessert !
-Alors vas y ! Suce-moi ! Bien à fond trésor !
Je commence à jouer avec ma langue sur sa veine et tourne autour de son gland.
-Oui ! Continue ! Prend moi en bouche !
J'ouvre la bouche et me glisse sur sa queue. Je sors ses couilles avec mon autre main.
-Oui ! C'est bien ! Serre moi fort ! Serre fort trésor !
-Comme ça !
Je sers et le pompe de plus en plus fort et j'accélère mes vas et viens.
-Oh ! Ouiiiiiii ! Je vais jouirrrrrr ! T’arrête pas trésor !
Je continue à le pompé jusqu’à la dernière goutte. Le lèche. Il est encore dur. Je me redresse, il m'attrape à la taille et glisse une main sous ma nuisette et il commence à m'écarter les cuisses, remonte jusqu’à mon entre jambe.
-Oh ! Tu mouille trésor ! Que veux tu maintenant ! Ma queue dans ta chatte ou dans ton cul !
-Et toi ! Ou veux-tu me la mettre !
-Mmmm ! Ta chatte trésor ! Viens t'assoir mais avant retourne toi ! Je veux voir ton cul ! Tu sais que ton cul m’excite !
Je me retourne et commence à joué avec sa bite, elle glisse sur mon clitoris jusqu’à mon anneau.
-Oh ! Putainnnnn ! Viens ! Je ne vais pas tenir trésor !
Il m’attrape et me positionne sur sa queue dur me faisant descendre doucement.
-Oh Ouiiiiiii ! Va doucement trésor ! Remonte jusqu’au bout et descend à fond !
Je fais ce qu'il me dit. Il passe une main devant pour frotter mon clitoris. Son autre main remonte sur mon sein pour me pincé mon mamelon.
-Vas y trésor ! Donne-toi du plaisirs !
Il pince plus fort.
-Ouiiiiiii !
Il descend sa main pour jouer avec mon anneau. Et Putain, c'est très excitant.
-Jouie avec moi ! Jouieeeee !
Je jouie en même temps que lui. Je reste assise encore un peu, juste le temps que mes jambes veulent bien me porter. Je me relève, regarde l'heure sur mon téléphone, vingt-deux heures, je sens la fatigue arrivé. John me rattrape juste à temps, une baisse de tension.
-Trésor ! Ça va ?
-Juste fatiguée !
-Monte te couché !
Je vais fermer et allumer l’alarme. Je l’embrasse et monte me coucher. Arriver devant mon lit, je m’écroule. Je sens qu'on me remonte le drap. Je plonge dans le noir.

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La vie d'Iris
Любовные романыLorsque Iris arrive à Los Angeles après son dernier déploiement a l'armée où elle exerçait en tant que médecin et soldat, elle décide de reprendre ses affaires en main. Orpheline depuis qu'elle a 3 ans, elle fut adoptée à 12 ans. Mais que s'est-il p...