La vie d'Iris

chapitre 43

   

Je suis prête pour la réunion au sein de bioteck, je suis habillée en tailleur bleu foncé, chemise blanche et escarpins noir de sept centimètres. J'ai attaché mes cheveux en chignon flou et quelques mèches de libre. Le chauffeur de la limousine me conduit pour arriver à l'heure. Neuf heures pétantes, je suis devant l’accueil. Je me présente.

-Bonjour ! Iris McCallan !
-Bonjour ! O.…oui ! On vous attend mademoiselle !
Elle n’est pas à l'aise, ça peut se comprendre.
-Bien ! Détendez vous !
-O..oui ! Je vous ai annoncé au pdg monsieur Wash ! Il arrive tout de suite !
-Merci mademoiselle… !
-Fanny !

Je lui fais un signe de tête, au moment ou je m’éloigne, je la voie se détendre. Je n’aime pas les gens stresser, ils ne font pas du bon travail. Je me dis que ça doit être mon passage qui fait un tel effet.

Un homme arrive vers moi, grand blond aux yeux noisette, nez fin, mâchoire carré, environ la cinquantaine encore bien en forme. Costume noir, chemise blanche et cravate noire. Chaussures noir, propre sur lui.

-Bonjour Mademoiselle McCallan ! Wash Douglas !
-Bonjour Monsieur Wash ! Appeler moi Iris ! Je vous pris !
-Très bien ! Douglas !

On se sert la main et je le suis. Nous montons dans la salle de réunion ou tout le monde se lève au moment ou je rentre.

-Bonjour tout le monde ! Je me présente Iris McCallan ! Vous connaissez mon nom ! La réunion consiste à évoluer et ne vous inquiétez pas, je ne suis pas là pour foutre le bordel ! Tout fonctionne très bien comme ça ! Je fais juste un tour et me présente à vous ! J’étais absente lors de la soirée de septembre et je m'en excuse ! Mon souhait est simplement d'aidé les personnes qui en ont besoin ! Même les personnes les plus démuni !
Je vois des têtes bouche bée, je donne la chance à tout le monde.
-Un problème ?
-Quand vous dites démuni, vous pensez à qui ?
-Alors ! Ça peut être votre voisin ou un enfant d'un pays pauvre ! Tout le monde ! Je vais vous raconter une petite histoire ! J'ai visité un pays, le Taliban, comme vous savez il est en guerre, j'ai vue des enfants avec un bras ou une seule jambe. Croyez-vous que le laisser dans cet état est bien ?
Les têtes font non, on va être d’accord.
-Donc tout le monde ! N’importe quel pays ! j’ai ouvert une association, il a y peu et elle sera en contact avec vous !

Au bout de deux heures, je leurs souhaites une bonne journée et pars pour la techmeck. Je demande juste, qu'il me dépose devant un hotdog, j'ai faim. Je mange et me dirige vers ma deuxième entreprise. La réunion se passe dans l’identique, les autres suivent, présentation de ma personne et ce que j'attends d’eux. De retour à l’hôtel, je vais vers le restaurant demande une table seule et isolé. Je suis trop fatiguée pour supporter les commérages. Le serveur prend ma commande, une salade de crudité, un saumon et légumes et dessert un fondant au chocolat. Un régal. Je mange et un homme vient droit vers moi.

-Bonsoir ! Excusez-moi de vous déranger pendant votre repas ! Je me présente Davon Williams !
-Bonsoir ! Iris McCallan ! Je lui sers la main.
-Je vous ai entendu jouer hier soir au piano bar ! Et j'aimerais savoir si cela est possible ! Je fête l’anniversaire de ma femme et elle aime votre genre de mélodie que vous aviez jouer !
-Si cela peut faire plaisirs ! Se sera volontiers ! Dans quinze minutes cela vous va ?
-Oui ! Merci beaucoup !

On se sert la main. Je fini mon dessert et me lève pour rejoindre le piano. Je m’assois et commence à jouer. Pour son grand plaisir, je lui joue un joyeux anniversaire. Trente  minutes après. Je suis épuisée, la grossesse me fatigue et la solitude aussi. Je remonte dans ma suite. Je me douche et une pause sur le canapé. L’ordinateur sur les genoux et regarde mes mails. Je profite pour contacter une agence immobilière pour une maison avec jardin et minimum 4 chambres sûr Manhattan. Comme d’habitude rien de John. Je vais envoyer un texto à Juliette.

« « Coucou Juliette, comment vas-tu ? » »
Au bout d’une minute la réponse.
« «  je vais bien, tu nous manque à tous ! Quand reviens-tu ? « «
« «  beaucoup de chose a changé, je ne rentre pas à L.A. » »
« « pourquoi ? « «
« «  mon travail Juliette ! » »
« « oh ! » »
« « oui » »
« « bonne soirée ! » »
« « Bisous » »

Je ferme et vais me coucher.