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“ La mesure de l'intelligence est la capacité de changer.”
“ La civette dépose ses ordures, à la source où elle a bu.”
“ Ne me méprise pas tant ! Je ne suis pas pauvre. Le pauvre est plutôt celui qui désire beaucoup de choses.”
Je monte sur le lit et continue à l'observer. Mes larmes coulaient toute seule. Un moment, je pense que il à sentir que j'étais l'à parce-que il à commencer à bouger, j'ai commencer à descendre du lit en vitesse, mais je n'en ait pas eu le temps parce-que il m'a retenue, en m'attrapant par le bras.
Mon cœur battait tellement fort, et j'avais tellement peur, que je ne voulais pas le regarder, même me retourner.
Il m'a obligée à le regarder, on se regardait droit dans les yeux sans rien dire jusqu'à ce qu'il décide de rompre le silence.
Madhi : Tu fais quoi ici ? Il n'y a pas longtemps tu m'a dit que tu ne voulais plus de cette relation, donc dit moi ce que tu fous ici Safiya.
Au lieu de lui répondre, je me débattait pour qu'il me lâche. À vrai dire je ne veux pas y répondre.
Madhi : Je ne vais pas te lâcher tant que tu n'auras pas répondu à mes questions.
Moi : Je ne veux pas y répondre.
Madhi : Je m'en ballec ok ? Pourquoi t'es venue dans cette chambre !? Ce n'est plus la tienne...
Moi : D'accord, je vais y aller alors.
Il m'a encore plus attraper fort pour que je ne bouge pas. Ça m'énervait tout ça, et dire qu'il y à moins de cinq heures on était encore un couple.
Madhi : Répond putain...
Moi : Je voulais savoir comment tu allais, et tu à l'air d'aller bien, même très bien. Donc maintenant je vais y aller...
