Mon BOSS est un SÉDUISANT SALOPARD [ MBSS ]

| Partie 25 |

Une semaine plus tard....

PVD DANITSA

Je ne suis pas d'humeur à m'amuser aujourd'hui. Mais alors vraiment pas ! A commencer avec ma violente dispute avec Diego qui a été loin d'être géniale et la maladie de ma mamie. Eh oui, Diego et moi on s'est disputes, je lui ai tout avouer par rapport a cette relation que j'entretenais avec mon fameux boss. Diego etait dechaine et m'a meme confier qu'il s'en doutait. Il m'a traiter de tous les noms qui puissent exister au monde. Bien evidemment je ne me suis pas laisser faire et j'ai repliquer. Alors c'est partit en c***lles. J'en avais marre et donc j'me suis barrer de sa maison. D'une part je m'en veux un peu d'avoir fait ca, de lui avoir cacher tout ca mais d'un autre cote il fallait que cette histoire entre Diego et moi s'arrete un jour.

Je me demande bien si j'avais vraiment pu eprouver un reel amour a un moment de ma vie pour Diego. Peut etre que jai toujours eu un sentiment amical a son egard. Je regrette de m'etre embarquer aussi vite dans cette aventure avec Diego. J'aurais du refuser d'etre sa petite amie depuis le debut. Je suis attristee que les choses se terminent ainsi entre lui et moi mais j'y peux rien. Je ne pouvais pas supporter de vivre plus longtemps dans ce mensonge. D'ailleurs La vie est ainsi faite et qui sait...peut etre que je n'etais pas celle qui lui convenait.

De plus Figurez vous que J'ai encore quelques trucs à montrer à monsieur Jones avant qu'il ne parte ce soir et je dois faire signer certains documents au département juridique...pff comme si j'avais été embauchée pour ça. Je marche sur des sables mouvants. La conversation téléphonique avec ma mère revient sans cesse dans mes pensées.

J'entre dans le bureau de Mr. Jones en fixant les papiers que je tiens entre les mains. J'ai beaucoup de choses à organiser aujourd'hui : prendre des billets d'avion, peut-être même engager un intérimaire pour toute la durée de mon absence, qui va durer... je ne sais pas combien de temps.  Mr Jones est en train de dire quelque chose – à voix haute – et je crois qu'il me parle. Qu'est-ce qu'il raconte ? Il finit par venir se camper face à moi et j'entends la fin de sa diatribe : 

- Bradley : vous ne m'écoutez même pas. Bon Dieu, mademoiselle Aguilera, est-ce qu'il faut que je vous l'écrive ? 

- Moi : Est-ce qu'on peut laisser tomber ce petit jeu aujourd'hui ?

- Bradley : Le... quoi encore ? 

- Moi : La routine de mon salopard de boss. 

Ses yeux s'agrandissent, et ses sourcils se froncent : 

- Bradley : J'vous demande Pardon ? 

- Moi : Je sais que vous vous donnez beaucoup de mal pour vous montrer constamment odieux avec moi et je reconnais que c'est parfois assez sexy, mais je suis en train de passer une journée de merde et j'apprécierais beaucoup que vous évitiez de parler. De ME parler. 

Je suis au bord des larmes, ma poitrine se contracte douloureusement. J'ajoute : 

- Moi : S'il vous plaît.

Il a l'air extrêmement surpris. Il cligne rapidement des yeux, me regarde et finit par bredouiller : 

- Bradley : Euh...Qu'est-ce qui se passe ? 

Je déglutis, me reprends. Je regrette cet accès de colère. Tout se passe toujours mieux avec lui quand je garde mes pensées pour moi. 

- Moi : J'ai sur-réagi quand vous m'avez crié dessus. Veuillez m'excuser. 

Il se lève et marche vers moi, mais à la dernière minute, il s'arrête et s'assoie sur le côté de son bureau, se mettant à jouer bizarrement avec un presse-papier en cristal.