Mon BOSS est un SÉDUISANT SALOPARD [ MBSS ]

| Partie 17 |

~ PVD BRADLEY JONES ~

Je n'ai pas arrêter de penser à elle de toute la nuit et pourtant j'étais avec barbie. Après son départ d'hier soir presqu'en sprintant, deux scénarios sont maintenant envisageables. Soit elle me fait les yeux doux après notre petite incartade d'hier soir ou soit elle me fait la peau en me dénonçant. Mais je doutes fort qu'elle puisse agir de la sorte. Elle m'a l'air d'une femme digne de confiance et loyale malgré son comportement assez rebelle.
D'ailleurs ca m'étonnerait qu'elle puisse m'ignorer totalement aujourd'hui.

Ah ! La voilà qui avance dans un trench coat beige à hauteur du genou. Il cache ce qu'elle porte dessous. Je l'a dévisage pendant qu'elle pend sa veste dans le placard. Elle s'assoit a son bureau et se met à travailler. Elle ne m'a toujours pas accordé le moindre regard. Soit elle ne m'a pas vu ou soit elle m'ignore. Je me détourne d'elle et je me précipite dans mon bureau en claquant la porte derrière moi. Pourquoi me fait elle tant d'effet ? Rien ni personne ne m'a jamais autant distrait dans mon travail. Danitsa est bien la première.

Une part de moi ressasse le souvenir de son expression de victoire quand elle m'a laisser hier haletant à deux doigts de la supplier de me faire jouir. Cette fille a un sacré culot !

Il est temps que je me focalises sur ce que j'ai à faire et arrêter de penser à elle. Je marche jusqu'a mon bureau et je m'assieds en tentant de fixer mon attention sur n'importe quoi. Tout sauf la scène d'hier. J'ouvre mon ordinateur portable pour vérifier mes rendez vous du jour. Mes rendez vous...Merde alors ! Cette garce en a une version plus récente dans son ordinateur. Avec un peu de chance, je ne manquerai aucune réunion ce matin.

Je passe en revue une feuille de calcul quand on frappe à ma porte.

- Moi : Entrez !

Une enveloppe blanche s'écrase sur mon bureau comme une gifle. Mes yeux se lèvent jusqu'à Mademoiselle Danitsa qui m'observe les sourcils relevés. Elle sort de mon bureau sans explication. Je fixe l'enveloppe, inquiet. J'espère que ce n'est pas une lettre officielle détaillant ma conduite et m'indiquant son intention d'entreprendre des poursuites pour harcèlement sexuel.

Je saute de ma chaise et sors du bureau, presqu'en courant derrière elle. Elle se dirige vers la cage d'escalier. C'est parfait ! Nous sommes au quinzième étage, personne à part peut être elle et moi n'utilise jamais les escaliers. Je pourrais crier aussi fort que je veux, en toute impunité.
La porte se ferme avec un bruit métallique et ses talons résonnent alors qu'elle descends les marches juste devant moi.

- Moi : Mademoiselle Danitsa ! Ou est ce que vous comptez aller comme ça ?

Elle continue à marcher sans se retourner.

- Danitsa : Nous sommes a court de café monsieur ( siffle t-elle ) et en tant que secrétaire je descends en chercher. Je ne vais tout de même pas vous laisser manquer de votre dose journalière de caféine.