Chapitre 6

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Josie 

 Je rentrais à peine dans le hall d'hôtel. Les mouvements d'ailes diminuaient doucement dans mon bas ventre. Contrairement à mon aigreur grandissante contre mon paternel. Je l'appelais une première fois mais n'attendis même pas la deuxième sonnerie. Il essaya de me contacter plusieurs fois ensuite mais c'est comme ci mon orgueil me commandait de ne pas lui répondre. Ce soir je le voyais par mon prisme comme un terrible baratineur. Il m'avait caché la mort de la mère de Penelope et j'en étais persuadé, avec les contacts qu'il avait avec l'école de magie belge, il le savait, certainement le jour même ou cela c'était produis. Mais il c'était bien garder de m'en informer. Je commandais une boisson et me décida à regarder un Air Bnb pour la semaine suivante, car le quottât de nuit que je pouvais me payer allait être atteins à la nuit prochaine. À 2 heures du matin j'étais pris d'une insomnie telle que mon corps refusa tout contact avec le tissus du drap soigneusement repassé. Je faisais les cents pas, comme torturer entre mes attirances renouvelées pour la fille aux cheveux corbeau et savoir combien de secret mon père pourrai encore nous cacher. Un énième coup de fil de Virginie fis vibrer mon téléphone à l'autre bout de la pièce. Affichant le contact Maman mais cette entourloupe ne fis qu'accentuer mon état. Je décrochais dans un excès de sévérité. 

 "Oui c'est moi !" 

 "Josie j'ai bien senti que quelque chose se passait" 

 C'était bel et bien la voix posé de mon très chère père. 

 "Non pas vraiment, à part que je viens d'apprendre la mort de la mère de Penelope quelques heures plus tôt !" 

 "Tu l'as revu ? Mais pourquoi ?" 

 "Papa répond immédiatement à cette question sinon je te jure de ne plus jamais te répondre : Pourquoi ne m'avoir rien dit ?" 

 "Josie, tu étais passé à autre chose et Penelope elle... Elle ne se souvenait plus de toi, c'était le mieux à faire pour vous deux" 

 "Épargne-moi ton baratin ! Combien de fois des mensonges ont coûté la vie de personne qui t'était chère. Les malédictions tombées sur les familles de Mystic Falls ne t'ont donc jamais apporté de leçon ! Et dis à Maman qu'elle peu elle aussi oublier mon numéro pour quelques semaines encore" 

 Je raccrochais sans vouloir entendre une quelconque réponse de sa part, car aucune n'aurait suffi. Je n'avais pas été là pour elle dans ce moment difficile. Cette pensée m'attristait au plus haut point. Cela aurait été le minimum que j'aurais pu faire afin de réduire cette pente sur la balance, ou siégeait le poids de tout ce qu'elle avait pu faire pour moi. Et pourtant au fond de mon être la pensée claire que je n'aurais rien pu faire de plus à part peu être l'importuner dans son chagrin. Mais je n'entendais pas cette pensé, je traduisais mon ignorance par le rejet démesuré de mes parents. 

 ... 

 Penelope 

 C'était le dernier vendredi avant les vacances de Pâque. C'est la raison que je donnais au silence balayant les couloirs, ainsi qu'aux valises s'entassant dans le hall. Cette école c'était de grandes colonnes impressionnantes qui de leur aplomb soutenaient les étages au nombre de quatre. Elles étaient apparentes dans ce hall ou elle côtoyait du mobilier contemporain. Un mélange que j'avais appris tant bien que mal à apprécier au fil des années. C'était au troisième étage que je me rendais. La convocation de la directrice ce matin avait attisé ma curiosité, j'étais loin d'être étrangère à son bureau. Je traversais le long tapissé d'une couleur claire contrastant avec le parquet de bois sombre. Au fond de celui-ci de grandes portes françaises (deux portes) taillées dans le chêne. Mes talons résonnèrent jusque la, quelques mètres avant de l'atteindre elles c'étaient ouvertes sans un grincement, et sans aide humaine. 

One year leftOù les histoires vivent. Découvrez maintenant