Aminae : kidnappée par la mafia

Partie 1

J'sais pas pourquoi on me parle du cœur vu que moi je ressens tout dans le ventre.

Aminae

Je continue ma marche sans prêter attention à toutes ses grandes voitures, vitres teintées qui bloquent les voies.

Je sens une main qui se saisit brusquement de la mienne. Je tombe encore nez à nez avec cet homme effrayant.

Lui : Je vous le demande encore une fois madame. Veuillez me suivre.
—Lâchez-moi immédiatement ou j'appelle la police !

Il se met à sourire de façon sournoise.

Lui : Appelez donc.

Je me saisis rapidement de mon téléphone portable, qui sous l'effet d'un violent coup se retrouve par terre.

Je n'ai pas le temps de parler que je suis saisie par la taille par des bras puissants, et jetée comme une moins que rien dans un coffre.

—OUVREZ JE VOUS EN SUPPLIE, JE SUIS CLAUSTROPHOBE. JE VOUS EN PRIE. JE N'ARRIVE PAS À BIEN RESPIRER ! À L'AIDE!!!

Tout ce choc accumulé est tellement épuisant que mes yeux se ferment lentement.

Quelques heures plus tard

J'ouvre les yeux, et au même moment, je sens la voiture s'arrêter.

Le coffre s'ouvre, et je suis saisie et déposée à l'extérieur. Je tiens à peine sur mes pieds. Seigneur.

Nous sommes dans un grand jardin.

Il est sublime.

Le soleil couchant se reflète sur les magnifiques fleurs de ce dernier.

Une belle et grande maison se trouve au milieu de ce beau jardin.

Plusieurs hommes sortent et m'emmenent à l'entrée principale.

Les carreaux blancs accueillent mes pas, et un stress indescriptible envahit mon être entier.

Nous arrivons dans un grand salon très luisant.

Juste au milieu se trouve un homme, bien trop grand, bien trop effrayant.

Mon coeur se met à battre.

Il retient les bras de ma soeur, qui quand elle me voit a les larmes aux yeux. Il la retient fermement car bien trop grand, et bien trop fort.

—Fatima ?? Que fais-tu ici ? Qui êtes-vous ?

Fatima : Vladimir, j'accepte.. Ne lui fait pas de mal.

Sur le beau visage de l'homme apparait un sourire froid et angoissant.

Le fameux Vladimir prend la parole.

Vladimir : Aria , veuillez conduire la demoiselle dans la chambre que vous avez préparée.

La fameuse Aria vient vers moi, et me demande de la suivre.
Des larmes sortent de mes yeux, sans même que je puisse les retenir.