Chapitre 1

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C'était un lundi matin comme les autres, enfin pas vraiment... c'était la première journée de ma dernière année de secondaire! Je commençai à me préparer en vitesse. Mes parents étaient partis il y a quelques minutes et ma sœur dormait, j'alla la réveiller pour lui dire de se dépêcher à se préparer, car je ne l'attendrais pas.

Ensuite, je me préparai en mettant mon uniforme lorsque je reçu un message de ma meilleure amie Véronique.

~De: Vérofolle 💖:

Hey ma belle prête à commencer notre dernière année de secondaire? Savais-tu qu'il y a un nouveau qui arrive à l'école aujourd'hui? J'espère qu'il est beau... 😜

~À: Vérofolle 💖:

OUI!!!! J'ai foule hâte de commencer!!! Et j'ignorais qu'il aurait et un nouveau.... En effet j'espère aussi qu'il est beau, mais n'oublie pas que tu as un chum 😉

(Et oui Véro sortait avec Philippe un ancien gars du Rando-Camping (la concentration dans laquelle j'étais du secondaire 1 à 4))

~De: Vérofolle 💖:

T'inquiète Einstein j'vais pas le tromper mon chum je l'aime trop pour ça!! C'est plus pour toi que je parlais 😉

~À: Vérofolle 💖:

Hahahaha t'es drôle toi tu sais que je suis très difficile dans mon choix de gars 😂😂

~De: Vérofolle 💖:

Je croise quand même les doigts ✌️ on se revoit à l'école!! 😘

//fin de la conversation\\

À cette Véronique! Elle espère encore que je finisse par sortir avec un gars... Il faut dire que je n'avais jamais été vraiment chanceuse avec les gars, mais bon ça ne me dérangeait pas vraiment!

Après cette petite conversation, je criai à ma sœur d'arriver pour qu'on puisse enfin partir. Je dois dire que ma relation avec ma sœur n'était pas très amicale je ne l'aime pas vraiment elle est trop collante.

J'arriva enfin à l'école et alla tout de suite rejoindre ma gang.

Nous parlions depuis un moment déjà lorsque quelqu'un mis ses mains devant mes yeux.

«Devine c'est qui, dit une voix que je reconnus immédiatement.

- Hum Jacob!

- Gagné, dit-il en enlevant ses mains.

- Qu'est-ce que j'ai gagné? lui demandais-je.

- ÇA! me répondit-il en me prenant en poche de patates.»

Je lui criai de me poser par terre immédiatement, mais il ne voulait rien savoir. Je me mis à marteler son dos de coups, mais tout ce qu'il faisait ses rires de moi et les filles aussi riaient.

You can't sit with usOù les histoires vivent. Découvrez maintenant