La fille au sang bleu

Chapitre 35

24 mai 1430

Voilà, ça fait plus d'un an que mon frère est roi maintenant j'ai vingt ans. Et je suis toujours avec Mélodie et Jeanne, mon satané frère est devenu jaloux de Jeanne depuis que monsieur est roi. J'avais oublié cette partie de l'Histoire, depuis l'assaut à la porte Saint Honoré à Paris, mais Jeanne a été blesser et les français on perdu la bataille. Charles VII a dissout son armée et Jeanne sait retrouver à combattre des brigands à la noix qui avait été chassée de France, sauf que la campagne n'a pas fonctionné. Enfin tous ça pour dire que tous est de la faute de mon frère, qui m'avait demander de revenir au château mais je lui es clairement dit merde. Heureusement qu'il reste des chevalier fidèle et elle a réussi à trouvé des mercenaire. Puis on a tous été à Melun pour avoir des renfort, le peuple a acclamé Jeanne, mais les renforts ne sont jamais venu. Mon envie de tuer mon frère est au maximum. Maintenant, nous sommes à Compiègne pour défendre la ville contre les anglais d'ailleurs l'assaut va bientôt commencer.

- Vous êtes prête les filles ? nous demanda Jeanne.

- On va arriver Jeanne, lança Mélodie.

- Les troupes vous attende, dit Jeanne avant de sortir de la chambre.

- J'ai jamais vu autant de guerre avant d'arriver ici et pourtant j'ai bien regardé des films et des séries, exprima Mélo.

- C'est sur que nous avons eu notre dose, dis-je en sortant

Nous rejoignons les troupes après avoir mis notre armure, oui encore deux femmes en armure moi je dis qu'on fait la révolution sexuelle bien avant mai soixante-huit. Jeanne et les troupes s'avance. J'avoue que nous restons derrière mais en même temps, on a une tête à tuer quelqu'un ? J'aurais tellement de mal, mais on garde une épée au cas où. Au bout de quelques minutes de marches on arrive enfin près des anglais.

- On est loin de la ville non ? questionna ma meilleure amie.

- Un peu mais bon tous se passera bien, enfin j'espère... lançais-je a Melo.

Le combat commence et on peut dire qu'il est bien violent, plus le combat avance et les français domine.

- Je pense qu'on va gagner, exprimai-je

- On à l'avantage pour l'instant, donc ça devrait aller.

Tout à coup, une autre troupe arrive. Tient je me souviens plus de ça.

- Les bourguignons ! hurla un soldat français.

- C'est qui eux ? demanda Mélodie.

- Des alliés des anglais.

- C'est la merde ?

- C'est une énorme merde qui arrive.

Au bout de quelques minutes de combats, la retraite est sonnée et tous les soldats français partent en directions de la ville seul Jeanne reste encore sur son cheval à se battre comme une lionne.

- Jeanne il faut partir, lui criais-je

- Nous aussi faut partir, lança Mélodie.