Un désir assourdissant [tome1] ° playboy saga ° Terminée

Chapitre 8

La soirée battait son plein, les invités habillèrent tous élégamment. Graziella, la mère de Damon, devint hôtesse accomplie veillant au bien être des invités qui se pressait chez elle. N'ayant pas pour habitude ce genre de soirée mondaine, Damon resta a l'écart. Visiblement mal alaise de ses faunes qui l'adulait uniquement pour sa fortune, son rang sociale.

Le grec, dévia son regard sur les lieux si familière et ne vit Déborah. Il resta les yeux cloitrés, espérant que la jeune femme lui avait pas posé un lapin.

-je dérange, fit Nicholas accompagné du cheikh Rachid qui était dans toute sa forme.

Ces trois hommes faisaient battre les coeur plus d'une. Rachid quand a lui reflétait la beauté d'un jeune guerrier sous les dunes du désert. Ses cheveux étaient d'un noir de jais, ses yeux étaient si intense et des bourrasques de muscle ruait sous sa tenue habituelle.

Damon vit lui donner une accolade amicale, son amie l'avait incroyablement manqué. Il se souvenait comme si c'était hier de leur combats, comme de leur soirée entre pote. Les femmes, l'alcool, ses souvenirs gisaient encore des ses veines. Ses moments là étaient loin derrière eux. Quand le trio infernal fut divisé. Rachid quand a lui,  parti   a Elsagar,  succédant ainsi a son titre de cheikh
et Nicholas avait pris le flambeau en succédant a son père. Le conte Arturo Van Zaal. Égal a lui même, Damon était devenu un bourreau du travail après la mort de son père

- je croyais que tu étais en voyage d'affaire.

-il a du entrer pour vivre ta vie amoureuse de près avec la petite Déborah, fit Nicholas alors que Damon sèmerait sidéré.

Damon tétanisa, Nicholas était un vrai commère. Toute la Grèce était peut-être en courant de son accord avec Déborah, il leva les yeux d'exaspération. Nicholas quand a lui éclata d'un rire si intense que toutes les têtes convergèrent dans sa direction.



(Nicholas)

 
Damon le fusilla d'un regard et dévia son regard sur la foule cherchant la délicieuse Déborah qui était introuvable.

- que cherches tu Damon ? Fit Rachid en lui suivant du regard

- je parie qu'il cherche la délicieuse Déborah, répondit Nicholas en lui gratifiant d'un sourire au coin des lèvres.

Le regard de Rachid s'illumina. Au si loin qu'il se souvienne , il n'avait jamais vu son ami pressé de voir une femme. Son sourire de béat s'étira sur ses lèvres. Son ami était amoureux et il avait hâte de faire la connaissance de celle qui avait volé le coeur de Damon.

Il continuèrent leur discussion,  quand  le temps s'arrêta, ainsi que les murmures.

Déborah était là !



Sa beauté dévastatrice balaya toute la salle qui s'était figée en la regardant quand a Damon, il était entrain de baver sur elle. Il Darda un regard intense sur Déborah qu'elle se senti quasiment nue sous son regard.

Le coeur de Déborah rata un battement. Elle se sentie asphyxier sous le regard brûlant de Damon. Elle ne s'imaginait pas qu'il pouvait être aussi beau.



Des millions de frissons perturbateurs lui parcourra l'échine. Ses mains étaient devenues toutes moites, ses jambes s'entrechoquèrent quand le milliardaire s'avança dans sa direction. Ses lèvres s'assechèrent subitement sous le poids de son regard qui devint insistant.

Sa main vint vagabonder sur sa joue, il se pencha et son souffle lui carressa sa joue. Sans plus attendre, ses lèvres se soldèrent au sien d'un baiser enivrant. Consciente d'être le centre d'animation, elle le repoussa violemment.

  -Qui est cette femme??
Déborah entendit une femme âgé s'offusquer, elle déchargea un regard de haine sur elle.

Déborah entendit avec effarement les murmures de la foule. Damon venait de l'humilier devant ces invités. Des grains de larmes s'étalaient sur sa joue, elle jeta un coup d'oeil circulaire sur la salle et alla partir quand Damon la prit dans les bras quand la même femme parvint dans leur direction.

- Damon, tu ne vas quand même pas partir et laissé nos invités, dit-elle en jetant un coup d'oeil furtif sur Déborah qui présageait qu'elle n'était pas la bien venue

- c'est ta soirée mère et non la mienne. J'ai le droit de partir a ma guise, souffla t-il d'un ton non chaleureux

Il se fit un chemin dans la foule qui les regardait complément stoïque. Le coeur de Déborah battait sauvagement qu'elle entendit les battements de celui-ci. Elle était devenue le centre d'animation a potin. Touts les regards étaient centrés sur elle.

Ils parvient a sortir enfin

- tu es content de m'avoir humilier ainsi, fit-elle en lui faisait face alors qu'ils étaient seuls dans le jardin

- non je tenais a les faire savoir que tu es mienne, grogna t-il en l'embrassant a nouveau.

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