Un désir assourdissant [tome1] ° playboy saga ° Terminée

Chapitre 34🍀

Damon arriva enfin a l'hôpital où avait été conduit Virginia. Il y emergea dans la sale d'attente et surpris  se constater que Déborah et   sa famille était venu leur soutenir dans ces moments difficiles . Un sourire de soulagement s'échappa de ses lèvres. Il avait passé plus de deux jours a l'éviter. Ils ne se voyaient plus depuis leur dispute. Il avait beau s'eloigné d'elle, il avait beau la fuir cela n'empêchait d'être assailli par une vague de tristesse indomptable.
Sa vue même l'en temoignait. Une soudre l'avait galvanisé au point de se sentir blasé par ses émotions. Son amour pour la jeune femme n'avait cessé d'accroître au fur et a mesure que ce dernier s'éloignant d'elle.  La jeune femme vint a sa direction le coeur battant a rtyme saccadé, ses jambes refuserent de la porte, tant elle était fébrile de le revoir a nouveau

Déborah se demanda pourquoi l'avoir évité de la sorte. Qu'avait t-elle bien pu faire pour nécessité ce mépris ? Enfermée dans sa petite chambre, cette dernière avait passé le plus clair de son existence a pleurer.  Elle était devenue maigre, fade, refusait même de manger. Elle étudia son homme de très près et vit qu'il était en piteux état. Arrivé dans sa direction, la jeune femme le gifla violemment , au même moment, une ribambelle de larme tarissait sur sa joue. Cette dernière eclatait en sanglot.

-Qu'ai fait pour mériter tout ça Damon? Pourquoi ne m'avoir pas appeler, pourquoi ne m'avoir pas donner de nouvelle. Tu me déteste tant que ça alors que tu m'avais déclaré ton amour et même demandé ma main, déclara t-elle alors que ses larmes se jetèrent a profusion sur sa joue humide

Ce fut un choc pour Damon de la voir ainsi, ce dernier la prit par la main et sortit de l'hôpital avec elle. Des larmes intarrisables se mouvait sur la joue de Déborah d'un revers de main, elle les essuya avant de rentrer dans le petit restaurant se trouvant juste a côté de l'hôpital..

Damon la fit s'assoir et la regarda de très près. Il essuya a l'aide de son pouce ses larmes, ce geste electrisa la jeune femme ce qui lui a valut un sourire de l'homme

-pardonne moi, chérie. Pardonne moi te d'avoir laissé seule. J'ai été un con, plus jamais je ne te ferait souffrir de la sorte.

Chamboulée par ses mots d'une sincérité incontestable, Maya ne pût réprimer le désir ardent de se faire cajolé dans ses bras. Il l'avait tant manqué, ses baisers l'avait manqué. Elle adorait cet homme, ne vivait que pour lui plaire. Son coeur bondit contre sa poitrine. Un sentiment inexplicable vint la contracter, un sentiment de pure bonheur. Elle lui envoya un sourire

-ô je t'aime tellement Damon si tu savais a quel point je t'aime

Le coeur de Damon prit une folle course. Il adorait lui aussi Déborah. Il ne pouvait définir la limite de ses sentiments. Qui pouvait croire que lui Damon Doukakis tomberait amoureux d'une femme? Personne ne pourrait le prédire

-comment as-tu fais pour la retrouver ? Demanda la jeune femme en l'extirpant de ses songes.

Un sentiment inexplicable vit la tenailler cette fois ci. La mâchoire de ce dernier cripa a en devenir douloureuse. Un étau indisolvable vint resserrer son sa gorge déjà noué par la profondeur de sa tristesse. Déborah remarqua la lutte qu'il se faisait a l'intérieur. Elle lisant la colère, le chagrin, la tristesse dans ses traits. Ses lèvres se mirent a frémir dangereusement tandis que la jeune femme prit peine a le scruter. Elle en découvrit tout l'horreur qu'il avait subit durant la captivité de sa soeur.

Une soudre douleur vint propager son être, elle aurait voulu être là pour partager sa tristesse, son désarroi. Une autre larme roula sur sa joue si bien qu'elle ferma les yeux, inspira imperceptivement tout l'air retenu au fond de sa gorge.

-j'ai reçu un appel de ravisseurs, ils ont exigés 10 millions afin de la libéré sinon ils l'a tueront

Déborah se figéa d'horreur. Elle exhala un soupir tremblant et accueilli cette révélation a coup de poignard. Comment pouvait t-on être aussi inhumain? Cette jeune fille n'avait commis aucun mal pour se retourner dans cette histoire

-je suis.... Si désolé, parvint t-elle a dire d'une voix tristesse.

Damon eu l'esquisse d'un sourire. Cette femme était sans doute hors du commun. Comment ne pas aimer une telle femme ? Luttant contre ses démons qu'il peinant a refouler, Damon quitta se terrain obscure pour commander. Le serveur arriva et la jeune femme commanda des frites, un hamburger. Elle ne voulait manger mais Damon ne l'entendait pas de cette oreille.

Monsieur disant qu'elle s'était amaigri et voulait qu'elle mange a nouveau. De nature gourmande, cette dernière englouti son hamburger sous le regard amusé de l'homme. Sur ses entre faites, ils entrèrent a l'hôpital quand l'improbable se produisit sous leur yeux.

La vielle de Graziella qui faisait son numéro.

-virginia n'est pas une femme de ta condition. Mais toi cela en tête une bonne fois pour toute. Si tu l'avait laissé tranquille, elle ne serait pas aujourd'hui dans cet état. Tu es content maintenant, s'écria Graziella

Damon sentit ses muscles de raidir. Une honte la submergea a cet instant précis, sa mère était en de faire un scandale. Bon sang! L'homme se sentit honteux devant cette famille

- madame ce n'est pas la faute de mon fils si votre fille s'est enfui le jour de ses fiançailles. Nous sommes peut-être pauvre jamais nous ne toleront d'être insulté par vous. Sachez que suis fière de mes deux enfants. Et si votre précieuse Virginia n'est pas pour mon fils. Sachez que votre fille ne le mérite guère. Je vous interdis de leur parler sur ce ton. Et je ne plaisante pas! Decreta la mère de Déborah

-Maman, souffla Déborah qui ne voulait aucune altercation avec Graziella. Elle avait peur d'elle, cette femme se relevait dangereuse. Elle en avait été témoin

-vous n'êtes qu'une bande d'opportunistes. A cause de votre fille, mon fils a annulé son mariage avec Johanna une femme qui lui allait a merveille. Vous êtes que des parasites. Demandez a votre charmante fille comment est-elle devenue la pute de mon fils?

Ce qu'elle redoutait le plus fini par arriver. Ses parents la jaugeait du regard qu'elle cru s'étouffer avec son air. Graziella avait frappé au bonne endroit.

-Ils ne sont ni opportuniste, ni parasite. Hakim vient d'acheter toutes les possessions que j'avais pris a sa famille, cette action dont je regrette amèrement. En ce moment même, il devint aussi l'un de nos actionnaires les plus importants de notre entreprise

Grazielle pâlit. Elle fut frappée par la foudre. Son coeur rata un battement. Associé avec ces....
Elle ne sut définir l'entendu de sa haine pour cette famille. Ils furent interrompu par le docteur

-La patience est réveillée. Grâce a Dieu , elle se porte a merveille toute fois lui avons fait une lavage pour lui retirer une grande quantité de drogue qu'on lui avait injecté. Soyez patient avec elle!

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