Aime-tu tout ce qui est Classique!sans x reader, ou bien Cross!sans x reader, ou encore plus fou Ink!sans x reader et tout ça en français. Bien évidemment ces certifier fait par mon cerveau dérangé. Enfin ! ce livre remplis de petites histoires "Lec...
Autres :Rester à la fin, j'ai plusieurs choses d'important à vous dire.
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Un silence tombait lentement dans le petit village. Le temps était à la nuit laissant le chant des hiboux rompre ce silence nocturne. Cependant après quelques secondes un cri se fit entendre, un cri de douleur. C'était une jeune femme allongée dans un lit entouré de deux bonnes sœurs. Cette personne allongée était tout simplement en train de donné la vie. Un homme était près d'elle lui tapotant le front d'une serviette humide.
« Tu t'en sors bien. Courage. » La femme sourit à son mari, repartant dans un long cri alors qu'elle essaye de pulser la petite vie encore en elle.
« Je vois la tête madame. » Une des bonnes sœurs avait dit cela alors qu'elle l'aider à faire naitre ce petit être.
« Pousser, pousser ! » Un cri déchirant se fit, puis le silence s'ensuivit avant qu'un pleure ne le brise. La fidèle de dieu nettoya le nourrisson avant de le draper dans une épaisse couverture et de le poser dans les bras de la mère. Celle-ci passe son index sur la petite joue menu du bébé alors qu'elle pleure de joie.
« Te voilà enfin (P/p) »
Tout n'était que bonheur, bonheur aux yeux de ses parents. Jusqu'à ce que le drame vienne les prendre en grippe. La maladie avait emporté la mère dans son sommeil, laissant derrière elle s'est deux raisons de vivre. Déboussolé, le père avait tout fait pour subvenir au bien-être de son enfant. Travaillant dur pour qu'elle ne manque de rien, néanmoins le malheur repasser toujours par le même chemin. Venant enlacer ses victimes de ces doigts maudit.
Le verdict était tombé, l'enfant, le fruit de leur amour avait accumulé le diabète et hélas le père n'avait pas les revenues pour les soins et la nourriture seine. Prenant un choix déchirant alors que l'enfant était à peine âgée de deux ans. Il l'abandonna au couvant, voulant qu'elle soit prise entre de bonnes mains.
La petite fille était maintenant seule, ayant seulement le couvent comme famille (orphelinat à l'époque des bonnes sœurs).
(Auteur) PDV :
Assise sur le banc de la cantine, tu manges parmi tes frères et sœurs adoptives. Tu étais en ce moment la plus âgée des leurs. Une des bonnes sœurs s'approcha de toi, te faisant un sourire désolé.
« C'est l'heure de ta piqûre. » Tu lâchas un soupir alors que tu terminas ton canard à l'orange et aux endives. Te levant tu suivait la femme draper de noir et blanc, allant dans l'infirmerie. Ici, tu t'installes assise sur le lit, regardant la femme remplir la seringue d'insuline avant de descendre ton pantalon. Tu étais habitué à tout ça, la femme désinfecte la peau de ta cuisse, l'aiguille de la seringue mord ta chaire puis, injectant le produit. Ce geste était répété toute les jours, après le repas du soir. Tu mis un pansement remontant ton pantalon avant de lâcher un soupir. C'était lassant, toujours la même chose, toujours, encore et encore.
