{oui je mets le titre du roman comme nom de chapitre y'a quoi ?! Bonne lecture :) LISEZ LE NDA A LA FIN}
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Maison des Dumont, lundi 15 juillet 1940, 06h45.
Mon réveil est plutôt agréable je dois l'avouer. Des petites caressent sur le bras, puis sur la clavicule et enfin sur le menton. Un sourire se dessine sur mes lèvres et j'ouvre les yeux sur le beau visage de l'allemand, qui sourit également. Eh oui. Je me suis faites prendre pour la première fois un 14 juillet, et par dessus tout par un occupant germanique. Si ce n'est pas se fouttre littéralement de la patrie française ça, je ne sais pas ce que c'est alors.
-Bien dormi, fraülein ? Un frisson me parcourt l'échine sous sa voix rauque du matin, accompagné de son accent, il est parfait.
Enfin, ça dépend, je vais pas me réjouir d'un seul coup non plus.
-Pas assez. Effectivement, nous nous sommes endormis en pleine nuit, vers une heure, ou deux heures du matin je ne sais plus. Le général Rintenlberg a passé la nuit à me prendre sans vergogne, il y a eu quelques instants de douceur, je l'avoue, mais la plupart du temps il y allait relativement fort.
Mon sexe se contacte à cette pensée et je refoule une grimace de douleur face à cet élancement qui me fait souffrir.
-Je crains devoir t'anoncer que c'est de ta faute. Surprise, je hausse les sourcils.
-Tu es tellement, douce, étroite, magnifique, sexy, succulente.. Je détourne le regard en rougissant face à ses mots, quel charmeur.
-C'est pour cela, que c'est de ma faute ?
-Totalement. Sourit-il en m'embrassant avant de se lever, discrètement, j'observe son derrière lorsqu'il s'habille.
-N'oublies pas de changer les draps, petit coeur. Le général Engel me fait un clin d'oeil et quitte discrètement ma chambre en prenant soin de refermer la porte derrière lui. Les draps ?
Je retire alors la fine couverture pour comprendre que quoi veut-il me parler et là je vois les 'dégâts'. Une tâche de sang recouvre mon drap bleu, je remarque également que j'en au sur mes cuisses à petite quantité. Hélèna m'avait déjà expliqué que j'allais saigner lors de ma première fois, je n'avais pas voulu l'écouter mais bien évidement, elle s'était obstinée.
Heureusement pour moi d'ailleurs, sinon j'aurai frôlé la crise cardiaque en ne sachant pas ce qui a causé ma perte de sang. Mes monstruations ne devrait pas arrivée avant au moins plus de trois semaines, normalement. Je décide enfin à me lever et je gémis, mon entre-jambe ainsi que la plupart de mes muscles sont engourdient et me font affreusement mal.
-C'est une bête. Pense-je à voix haute en souriant nerveusement tout en avançant en direction de mon miroir, je me détaille longuement.
Mes lèvres rosées sont gonflées, ma peau est sensibles, mes jambes se sont transformées en coton tandis que, aïe, mon postérieur est recouvert de petites traces rougeâtres et de quelques bleus à peine visibles, mais bel et bien cuisants. À plusieurs moments, il m'a fessé sans aucune raison apparente, il avait la main lourde, je peux vous l'assurer.
C'est peut être une des règles étranges lorsque nous faisions l'amour ?
Je chasse ses idées tordues de mon esprit pour aller choisir une paire de sandales à talons ouvertes sur le devant, de couleur rouge, ainsi qu'une jolie de la même couleur avec des motifs blancs sur le décolleté en coeur. Rapidement, je vais prendre une douche pour détendre mes muscles puis je descends à la cuisine, de bonne humeur.
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Romance ou violence ? [Nv T1]
Historical FictionLes allemands sont arrivés le mardi 11 juin 1940 dans ma ville : Reims. Accompagné des réquisitions, des restrictions, de la violence sur civils. Beaucoup de personnes les voient comme des monstres sanguinaires, personnellement, mon avis est assez...