∆ une promesse ∆

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Alors déjà c'est sûr que je vais essayer de me calmer avec elle enfin avec toutes mes conneries, parce que le problème n'est pas que je n'aime pas faire ce que j'aime avec les femmes mais je le fais pour mes potes, pour les sons et pour les concerts. Je ne veux pas mettre mes potes à dos juste pour une histoire de pulsions sexuelles.

Je retourne dans la cuisine où je retrouve Alicia assise sur le bar avec un verre de jus d'orange à la main, elle regarde fixement sont verre en le faisant tourner machinalement. Putain que c'est stressant, elle casse les couilles.

L: quest'a ? Dis-je d'un air blasé

Elle ne prend même pas la peine de me regarder qu'elle me dit d'une voix timide :

A: j'ai l'impression de vous déranger, ça me gène d'être au milieu de vos vie privée...

Quesque j'aimerais lui la fermé en la faisant sucé ce genre, avec sa gueule de vierge. Rien que d'y penser je sens que mon caleçon devient beaucoup trop petit.

L: et tu pense que je vais te laisser partir alors que le soir ou je t'ai rencontré tu étais prête à te jeté dans un ravin ?!

Je tape du poing sur la table ce qui la fit sursauter, yro me jette un regard rapide depuis la terrasse, je fais signe avec ma main pour lui dire que ça va, il me répond donc avec le signe "doucement".

Je pense que j'ai fait peur à Alicia parce qu'elle n'a pas bougé d'un poile, j'aime l'emprise que j'ai sur elle..

L: tu resteras ici jusqu'à ce que tu iras mieux.

Elle commence à pleurer *nan mais c'est pas vrai* elle fait que de chialer putain.

Je décide alors de la prendre dans les bras et elle pleure de plus belle *pourquoi je fais ça moi déjà ?* Je suis entrain de lui donner une image de moi qui n'est pas la bonne.

Elle se retire de moi et essuie furtivement ses larmes. Merci maintenant mon magnifique sweat noir et mouillé de partout.

A: désolée mais j'ai pas l'habitude que l'on s'inquiète pour moi.

*T'inquiètes c'est juste pour préserver la marchandise* me dit m'a conscience. Un léger sourire s'affiche sur mon visage après cette pensée.

Elle me sourit à son tour. Pff pauvre fille, si elle savait ce à quoi je pensais.

A: désolée mais il faut que j'aille m'habiller. Dit-elle timidement en fixant le sol.

J'aime quand elle n'ose pas me regarder dans les yeux.

Je la regarde marcher devant moi. Elle a les formes là où je les aimes. Sans m'en rendre compte que je suis entrain de me mordiller la lèvre inférieure, Théo me fusille du regard, je me stoppe et lève les main en guise d'innocence et Théo soupir exagérément.

bonne destination [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant