Des lumières dorées.
Des draps blancs et des couvertures.
La chaleur. La douleur.
Lena entendait des voix, mais elle était incapable de se réveiller.
- Comment va-t-elle ?
- Toujours inconsciente.
- C'est mauvais signe ?
- En tout cas, ce n'est pas bon. Mon Dieu, regardez-la !
Quelqu'un lui prit la main et lui chuchota à l'oreille.
Une aiguille.
Le silence.
Poussant un halètement, Lena ouvrit les yeux. Ses paupières semblaient collées et lourdes.
Sa vision s'ajusta lentement, elle ne voyait que du blanc.
Un lit blanc.
Une lumière blanche qui perçait à travers des rideaux de même couleur. Et des murs...tout aussi blancs.
Chaque centimètre de son corps la faisait souffrir.
Lorsqu'elle se passa la langue sur les lèvres, elle se rendit compte qu'elles étaient gonflées et fendillées.
Elle voulut parler, mais sa bouche était trop sèche.
Elle mourrait de soif !
Au prix d'un grand effort, elle tourna la tête sur la droite.
Aïe !
Stefan était endormi dans le fauteuil à côté d'elle, les bras croisés sur le torse.
Il avait l'air jeune et vulnérable.
Quand elle tendit la main vers lui, la douleur la transperça et elle poussa un gémissement.
Stefan ouvrit les yeux et ses prunelles couleur émeraude la fixèrent.
- Lena ?
Il s'approcha et saisit sa main valide, la droite.
- Tout va bien, tu es en sécurité.
Lena éprouvait un curieux sentiment. Elle avait l'impression de se trouver dans un immense cocon... et de revenir de très loin.
- Tu as eu un accident, expliqua Stefan.
- Je sais, chuchota-t-elle.
Ses paroles étaient confuses, comme si elle avait la bouche pleine de gaze.
- J'y étais, poursuivit-elle.
Un sourire de soulagement s'étira sur le visage de Stefan. Il se pencha pour lui embrasser le bout des doigts.
- Docteur ! appela-t-il par-dessus son épaule.
Une femme en tenue blanche apparut, et la scruta.
- Bonjour, Lena. Ne bouge pas, s'il te plaît.
Elle s'approcha et lui prit son poignet entre les doigts, vérifiant son pouls tout en observant sa montre. Puis à l'aide de sa baguette, elle fit apparaître un écran remplit de chiffres qu'elle consulta et nota les résultats sur une fiche.
- Comment te sens-tu ? demanda la médicomage
- J'ai mal partout... et je meurs de soif.
- Je vais te donner quelque chose contre la douleur.
Elle tendit à Stefan un gobelet avec une paille.
- Ne la laissez pas trop boire... et seulement à petites gorgées. Je reviens bientôt.
Stefan lui tint le gobelet devant la bouche. L'eau tiède était délicieuse, elle aurait voulu terminer le verre d'une traite mais Stefan l'écarta bientôt.
En fait, c'était aussi bien comme ça. Boire lui faisait mal à la gorge.
Elle chercha le regard de Stefan.
- Que fais-tu là ?
Stefan pâlit.
- Ne parle pas, Lena. La médicomage ne veut pas que tu t'agites. Nous discuterons plus tard.
Soudain, la panique la saisit et le moniteur cardiaque à côté d'elle émit un bip strident.
Qu'est-ce qu'il fait là ?
Stefan se levait déjà.
- Docteur ? appela-t-il
- Je suis là.
La doctoresse approche, une seringue à la main.
- Ne bouge pas, Lena. Tu dois rester tranquille.
Elle injecta le contenu de la seringue dans le goutte-à-goutte, pendant que Lena l'observait, désespérée.
Quelque chose clochait, mais quoi ?
Elle n'eut pas le temps de s'interroger davantage. Un voile noir descendit sur ses paupières.
Quand Lena s'éveilla, il faisait nuit. Son lit était baigné d'une lumière dorée. Albus lisait une pile de documents, assis dans le fauteuil à côté d'elle. Ses lunettes en demi-lune lui glissaient sur le nez.
Lena voulut l'appeler, mais sa gorge était de nouveau trop sèche.
Cependant, le sorcier avait dû sentir qu'elle s'était réveillée, car il posa ses papiers et se pencha vers elle.
- Lena, tiens, dit-il en lui présentant un verre d'eau.
Lena but quelques gorgées.
Son visage lui semblait toujours enflé, mais la douleur avait diminué. Avec précaution, elle tourna la tête. À part Albus, il n'y avait personne.
- Stefan n'est pas là, l'informa-t-il.
Lena se raidit tout de suite et pâlit en se demandant comment il savait.
- Je l'ai envoyé dormir un peu, Lena. Ça fait des mois qu'il te veille. Il est épuisé, continua-t-il indifférent aux réactions physiques de Lena.
- Des mois ? demanda Lena d'une petite voix en choisissant de croire qu'il avait peut-être raconté une fausse histoire pour être présent. Depuis combien... ?
- Tu es restée inconsciente six mois. Tu avais des blessures sévères, dont l'une à la tête. Ton bras gauche est cassé. Tu es passée par-dessus le balcon, quand tu t'es évanouie après avoir été victime de la malédiction.
Lena hocha lentement la tête, pour lui faire comprendre qu'elle n'était pas surprise.
Puis elle soutint le regard d'Albus.
- Tu connaissais déjà Stefan, n'est-ce pas ?
Un silence s'installa, puis Albus s'adressa à elle d'une voix étrangement trop douce, comme s'il s'était préparé à cet instant.
- Stefan ne s'est pas retrouvé dans le groupe de mangemorts que tu as attaqué par hasard. Ce n'est pas non plus par hasard qu'il porte le même nom que ton ancien amant ni qu'il a la même apparence physique. Bien sûr tu ne te rappelles plus de lui car pour t'aider à avancer Lellyena te l'a fait oublier, Katerina.
À l'entente de son véritable nom, la jeune femme se raidit encore plus et s'éloigna le plus possible d'Albus, de peur qu'il ne lui fasse quelque chose.
- Ne t'inquiètes pas, je ne te ferai rien Katerina, la rassura-t-il en voyant son mouvement de recul. Pour l'instant laisse-moi te raconter une histoire.
N'ayant pas d'autres choix que d'écouter, Katerina hocha la tête.
- Bien, alors il était une fois, une magnifique petite fille qui possédait une immense joie de vivre. Elle était dotée d'une curiosité qui lui faisait souvent défaut, elle était quelque peu naïve mais très intelligente et futée. Cette jeune fille vivait en dehors de la société, recluse dans une forêt abandonnée où aucun humain n'osait s'approcher car de l'extérieur cette forêt avait une apparence sombre alors qu'à l'intérieur elle était lumineuse, grâce à une illusion pour repousser les humains, et car il y'avait toutes sortes d'histoires tragiques sur elle, toutes fausses sans aucun doute mais pas moins sombre que la triste réalité.
Cette jeune fille vivait avec sa famille dedans. Une famille assez spéciale même chez les sorciers. La mère de la jeune fille était une demi-elfe à la beauté renversante qui était tombée follement amoureuse d'un sorcier devenu vampire sous le coup d'un mauvais sort. Après qu'ils eurent leur petit rayon de soleil dans leur vie, ils savaient qu'ils n'avaient plus très longtemps à vivre. Pour avoir leur enfant ils avaient dû y mettre le prix car sans cela il était un possible à des espèces aussi différentes l'une de l'autre de procréer ensemble sans que l'enfant ne subissent d'affreuses malformations.
Lena pâlissait à vue d'œil tout au long du discours d'Albus.
- Ainsi, ils savaient qu'ils n'avaient plus longtemps à vivre mais ne regrettaient pas un seule instant leur choix, continua ce dernier. Ils s'étaient mis tous deux d'accord pour ne mettre au courant leur enfant que quand elle serait assez grande et mature. Seulement l'arrivée de deux petites filles ressemblant comme deux gouttes d'eau à la leur, renversèrent complètement et totalement leur plan. Ces deux petites filles avaient été envoyé ici en offrande aux soi-disants esprits qui vivaient dans la forêt pour qu'ils restent tranquilles, et malheureusement ces deux petites filles était aussi les deux nièces du vampire. Ainsi par leurs venus, elles déclenchèrent leur malédiction car si elles ne s'étaient jamais rencontrées, la malédiction aurait été présente dans leur organisme mais ne se serait jamais enclenchée. Comme tu as pu le deviner cette histoire raconte la vie de Katerina Petrova, de toi en l'occurrence.
Katerina lui lança un regard noir mais fut obliger de continuer à écouter son histoire.
- Ne pouvant pas les rejeter, les parents de Katerina les accueillir et ainsi elles grandirent toutes ensembles plus ou moins, reprit le sorcier. Katerina ne s'entendait qu'extrêmement bien avec Lellyena, laissant de côté Elerinna. Elerinna dans un premier temps ne le prit pas à cœur car sa sœur était toujours là pour elle, mais au fur et à mesure du temps, Lellyena délaissa Elerinna pour n'être qu'avec Katerina. Elerinna se sentit trahie et commença à éprouver une haine profonde pour Katerina qui avait osé lui voler sa sœur jumelle. Toutefois elle continuait de faire semblant d'être heureuse. Et un jour, le malheur les frappa une nouvelle fois. Le père de Katerina mourut en protégeant Katerina d'un humain qui l'avait aperçu à la frontière de la forêt, l'humain avait tiré une flèche pour tuer le démon qu'il croyait avoir vu. Il se prit donc la flèche pour la sauver. Toutes pleurèrent sa perte, Katerina était inconsolable se maudissant de n'avoir jamais écouter les conseils de son père. Elle garda tout au long de sa vie la mort de son père sur la conscience. Elerinna qui avait aimé cet homme comme son père se promit qu'elle tuerait Katerina pour venger sa mort, elle qui lui avait encore enlevé une personne qu'elle aimait.
Peu de temps après Elerinna les quitta. La mère de Katerina qui avait trop de souvenir de son défunt époux décida de masquer son apparence elfique et emmena Leillyena et sa fille dans une petite bourgade pas très loin de la forêt. Elles refirent leurs vies, et la mère de Katerina se remaria avec un homme. Quelques années passèrent, Katerina tomba un jour en disgrâce et fut reniée pour que l'honneur de la famille demeure. Lellyena préféra l'accompagner que de rester avec eux.
Elles partirent donc de la Bulgarie pour aller en Angleterre où elles s'adaptèrent rapidement et rencontrèrent deux sorciers tout à fait charmants mais elles ne savaient pas qu'ils les avaient approchés pour faire des expériences par curiosité sur elles quand ils apprirent leur malédiction. Bien évidemment elles le découvrirent et les fuirent, retournant en Bulgarie.
En arrivant là-bas qu'elles ne furent pas leurs surprises en découvrant toute leur famille tuée. Malheureusement ne pouvant pas s'apitoyer sur leur sort aux risques d'être attrapés, elles fuirent de nouveau pendant soixante-dix ans. Un jour elles découvrir comment arrêter les deux frères et décidèrent donc d'apprendre la magie. Quelques années plus tard, elles trouvèrent leurs descendants à leurs places qui avaient les mêmes ambitions qu'eux et les tuèrent. En fouillant dans leur maison, elles découvrir tout un livre intitulé Petrova qui racontait leur passé. Trouvant trop dangereux de le laisser là-bas, elles décidèrent de le prendre. Elles voyagèrent avec lui jusqu'à rencontrer en 1864, Stefan et Lorenzo Samigliante avec qui elles passèrent du temps, tombant amoureuses d'eux un peu plus chaque jour. Malheureusement un jour ils découvrir que c'étaient des sorcières avec d'étranges caractéristiques. Effrayés, ils entreprirent d'en parler à leur père afin de décider quoi faire d'elles. Leur père leur fit croire, qu'elles allaient simplement être bannies. Mais derrière leur dos il convoqua le conseil du village et ils décidèrent de les tuer. Elles furent capturées et les deux jeunes frères comprenant ce qui allait réellement leur arriver décidèrent de les sauver. Malheureusement, elles ne crurent pas un mot de ce qu'ils dirent et elles les abandonnèrent. Toutefois, quelques années après ayant la curiosité de ce qu'ils étaient devenus, Katerina alla les voir mais elle découvrit à sa stupéfaction qu'ils étaient morts le jour même de leur fuite. Katerina devint folle de chagrin et disparut pendant presque cent ans. Elerinna de son côté avait réussi à rentrer en contact avec moi et Grindelwald. Elle nous proposa qu'on se serve des deux filles comme des armes. Je choisissa Leillyena et Grindelwad te choisissa. Vous tuâtes beaucoup de monde pour nous et quand je me rendis compte de ma folie je vous contraignis Leillyena et toi à vous battre pour arrêter Grindelwald. Malheureusement vous réussirent grâce à votre amour commun, à briser l'imperium, et vous furent libres de vous enfuirent.
- Pourquoi me raconter cela ?! s'énerva Katerina quand Albus eut fini l'histoire. Pourquoi me rappeler ce passé ?! Tu t'amuses à me torturer avec mes erreurs ?!!
- Katerina ! Je n'ai jamais voulu vous faire souffrir toi et ta cousine, ce n'est donc pas maintenant que je vais le vouloir. Mais te le rappeler est un mal nécessaire...
- Comment ça ? demanda la sorcière après quelques minutes de silence.
- Si je te l'ai rappelé c'est pour que tu comprennes bien que maintenant, j'ai ta vie entre les mains. Si le ministère de la magie découvre qui tu es réellement... Un seul faux pas et cela en est finit de toi.
Katerina était dégoûtée du personnage en face d'elle, elle ne pouvait pas s'empêcher de se maudire de ne pas avec avoir fait plus attention à ses arrières et d'avoir pu commencer à apprécier cet individu. Alors qu'il exposait ses conditions et son plan pour qu'elle continue de vivre, il attaqua un point qui révolta Katerina.
- Tu ne devras plus jamais t'approcher de Severus, tu le déconcentres et cela est mauvais pour la mission que je lui prévois.
- Quoi ?! Tu es un monstre !! Même tes amis, tu les traites comme des pions !!
- Allons, calme-toi Katerina. Rappelle-toi, c'est toi qui m'as appris cette leçon, toujours mettre ses sentiments de côté. N'ai-je pas raison ?
Si les yeux de la Petrova pouvaient le tuer, il serait mort sur place.
- De plus, reprit Albus, ce ne sera pas très difficile de vous éviter, après tout tu as failli le tuer... Si ce n'est pas toi qui le fuis, ce sera lui. Quel dommage, tu n'as jamais su être aimer comme tu aimes. Après tout tu n'es pas humaine, tu es un monstre.
- Ça suffit !! cria-t-elle en se relevant d'un coup afin de sortir du lit et de se positionner devant lui en le regardant droit dans les yeux.
- Regarde-toi, une personne normalement constituée n'aurait jamais pu se rétablir aussi rapidement alors que toi, tu es de nouveau en pleine forme. Tu pourrais même te battre sans aucune difficulté.
- Assez, dit Katerina d'une voix froide à faire peur. Je suis Katerina Petrova. Je suis remplie de défauts, je suis égoïste, impulsive, rancunière, je suis une manipulatrice, j'ai menti presque toute ma vie. Je suis peut-être vu comme un monstre, une sorcière morte d'innombrables fois, une mi-elfe mi-vampire vivant depuis 500 ans. J'ai trahi tellement de fois que je n'ose même plus compter. Mais je suis tout sauf une personne bonne à soumettre à des règles pour rester en vie.
Au fur et à mesure de son discours, la jeune femme reprenait confiance en elle, elle avançait un peu plus vers Albus qui reculait à chaque fois jusqu'à rencontrer un mur derrière lui, le piégeant.
L'air autour d'eux commençait à s'intensifier, les rideaux bougeaient au grès du vent, les feuilles volaient et les lumières clignotaient sans cesse.
- Dans votre histoire, reprit la sorcière en lui caressant doucement la joue, vous avez oublié un détail, mon cher ami.
Elle enleva sa main et déclara avec un grand sourire qui fit pâlir le directeur.
- Je ne suis plus depuis longtemps Katerina Petrova, sinon je n'aurai jamais pût survivre. J'ai dû m'adapter, changer, je ne suis plus cette petite fille naïve. Je suis Katherine Pearce, je suis une survivante. Et vous avez oublié une leçon des plus importantes mon cher : toujours avoir un plan de secours. Vous croyez sincèrement que je n'aurai pas un plan b, et s'il ne marche un plan c, puis un plan d... enfin bref vous connaissez l'alphabet. Non ? Et pour l'instant à quelques détails presque tout fonctionne à merveille.
- Que vas-tu faire ?
- Tu ne poses pas la bonne question...
- Qu'as-tu fait ?
- Tu m'as fait de nouveau rencontrer Stefan mais je l'ai hypnotisé pour que s'il m'arrive quelque chose, il tue Harry. Et pouf !! Tes projets s'envoleront, expliqua Katherine en rigolant de la stupidité du sorcier et accompagnant son geste à la parole.
- Tu n'aurais pas osé, tu aimes cet enfant.
- Non je l'apprécie mais je mets mes sentiments de côté pour ma survie, rappelle-toi. Et d'ailleurs en parlant de ça, je dois partir mais ne t'inquiètes pas je m'assurerai de ton sort plus tard, lui promit- elle.
Elle lui enleva ensuite, tout l'oxygène de ses poumons pour qu'il s'évanouisse d'une seule aspiration.
Puis elle se rhabilla avec des affaires destinées à son attention disposées sur une commode en face du lit, enjamba le corps d'Albus et quitta la pièce pour transplaner vers Poudlard une fois dehors.
- Severus ?! appela-t-elle en entrant dans les appartements de celui-ci.
- Oui ? Où étais-tu je ne t'.... commença le potionniste en sortant de sa bibliothèque mais fut coupé par une paire de lèvres qui l'embrassa doucement.
- Chut, dit Katherine en se reculant et en mettant un doigt sur ses lèvres pour l'empêcher de parler. Écoute-moi bien, quoiqu'on te dise à mon sujet ne les crois pas. Même Albus, d'accord ?
Severus ne put qu'acquiescer complètement perdu.
- J'ai fait beaucoup d'erreurs et d'horreurs dans ma vie. J'ai menti d'innombrables fois et trahi pour ma survie. Je t'ai menti à toi aussi, tout le temps et je n'arrêterai certainement jamais. C'est dans ma nature..., dit-elle en souriant tristement tout en caressant le visage de son bien-aimé.
- Lena... qu'est-ce qui se passe ? Qu'as-tu fait ?
- Si tu savais... écoute, la vérité est que je ne m'appelle pas Lena mais Katherine Pearce. Je suis celle pour qui je devais me faire passer...
- Quoi ?!
- Severus, regarde-moi s'il te plaît... ce que je vais te dire est une grande première dans ma vie. Probablement le truc le plus égoïste que je n'ai jamais dit de ma vie.
- Le...Katherine ne fait pas ça ...
- Non, non ne t'inquiètes pas je le dirais qu'une seule fois, tu n'es pas obligé de dire quelque chose.
Katherine prit une grande inspiration et se lança :
- Je t'aime Severus. Et c'est parce que je t'aime je ne peux pas être égoïste avec toi, ça met impossible. Ni te laisser ce souvenir. Je ne te mérite pas. Mais une autre, certainement...
Elle s'approcha de lui l'embrassa une dernière fois et lui fit oublier tous leurs moments de bonheurs, son attaque au bal, ainsi que cette conversation, puis parti à une vitesse surnaturelle en une seconde, après avoir caresser une dernière fois son visage.
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Secrets of Hogwarts : La Sorcière Légendaire
Fanfiction𝗧𝗢𝗠𝗘 𝟭 Harry a maintenant quatorze ans et entame sa quatrième année à Poudlard, mais que se passerait-il si on rajoutait une personne ?... Une personne qui ne change pas d'apparence au fil des ans. Une personne ayant fréquenté Tom Riddle. Une p...