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Dimanche, 20 décembre 2019
8h12:

Le noiraud était déjà debout, n'appréciant pas rester trop longtemps endormi, ça lui évitait de rester enfermé trop longtemps dans ses cauchemars nocturnes.

Sa mère aussi était déjà debout, entrain de préparer le déjeuner pour son fils unique, quand elle le vit arriver dans la cuisine un sourire tendre se colla à son visage.

Le jeune homme bientôt âgé de 17 ans, s'approcha doucement vers sa génitrice et la pris dans ses bras.

Un rituel qui c'était installé entre eux deux.

La femme lui embrassa le front et respira l'odeur de lavande qui émanait des cheveux de son fils, lui, nicha sa tête dans le cou de sa mère respirant à son tour le parfum maternel qu'il l'avait bercé toute son enfance, il ne saurait la décrire.

Il lève la tête et regarde ça mère, pour un garçon de presque 17 ans faire à peu près 1 mètre 60 était peu commun, mais malgré sa taille des plus étonnante certes, cela n'enlevait rien à la beauté du garçon.

Il se retira de l'éteinte de sa mère pour aller s'asseoir, la femme lui posa son assiette devant lui, des tartines beurrées avec des fruits, il n'avait jamais très faim le matin mais il faisait un effort pour sa mère.

« Tu as bien dormi mon chéri ?, demande la femme au long cheveux noir.

_ Comme d'habitude, dit-il beaucoup trop normalement le noiraud.

_ Encore des cauchemars ?, sa mère posa le torchon qu'elle avait dans les mains et soupira un peu, tu es sûr que tu peu encore supporter ça mon chéri ?

_ J'ai vécu pire que de simple cauchemars maman, il dit cette phrase avec douceur qui lui était propre, certainement pour rassurer sa mère, je te promets, je vais bien.

_ Je t'aime Livaï ne l'oublie pas, la mère caressa la main de son fils.

_ Moi aussi maman, ayant fini son assiette le noiraud la débarrassa et embrassa sa mère sur le front, plus que tout. »


La mère sourit à son fils, le laissant repartir dans ça chambre, parlons de sa chambre d'ailleurs.

Les murs étaient bleus nuit, quelques posters de groupe de rock type Metallica & Guns N' Roses recouvrant le mur où se trouvait le lit deux places ornés de draps noirs, une armoire grise foncée était juste à côté de la porte regroupa les vêtements sombre du dit Livaï.

Mais c'est qui était le plus marquant dans cette chambre était le bureau et les innombrables étagères sur les mur regroupant des cinquantaine de livres, sans compter ceux dans le grenier, d'ailleurs sa mère avait dû batailler avec son fils pendant plus de deux mois pour qu'il se sépare d'une vingtaine de ses bouquins.

Sur les étagères, le bureau, la table de chevet et même des piles formant des mini tours près du bureau, tout rangé dans un bordel organisé.

Car oui,  notre Livaï était un grand maniaque, et ce pour le plus grand plaisir de sa mère qui l'était elle même.

Parlons de la mère du noiraud, Kuchel Ackerman, une femme d'une beauté si forte que même les hommes mariés et fidèles au possible se retourne juste pour pouvoir l'admirer.

De grandes jambes élancées fines, une peau laiteuse et pâle, de long cheveux noirs jais lui arrivant au milieu du dos et des yeux en amande laissant voir un gris bleuté dans ses iris.

Livaï étais son portrait craché, avec bien sûr des traits plus masculins, ses cheveux en undercut lui recouvrant souvent les yeux ne laissais jamais vraiment deviner la couleur de ses dernier, qui étais semblable à un gris orageux.

A S O C I A L E   ᴇʀᴇʀɪ [𝘙𝘦𝘦𝘤𝘳𝘪𝘵𝘶𝘳𝘦]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant