Chapitre V : Première fois

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Moi : ça te plait ? dis-je génée

Eyden : A fond ! T'es tout simplement magnifique mon coeur. Mais cette tenue, c'est en quelle occasion ?

Moi : Hmm, peut être pour fêter une soudaine rentrée d'argent, ou peut être parceque mon charmand petit copain trouve que je ne me fais pas assez belle pour lui. Ah au fait mon rouge à lèvres est à la cerise!

Eyden : Approche donc, que je goute.

Je me baissai, et il me donna un long baiser pleins de tendresses.

Eyden : Ah oui, c'est bon.

Après cette phrase il me regarda longuement en se mordillant la lèvre inférieur de la façon la plus sexy qui soit.

Eyden : Et peut être bien qu'il y a autre chose chez toi qui est encore meilleure.

Je vire à l'écarlate.

Eyden : ça me fait tellement rire, le fait qu'une seule de mes phrases puisse te faire un tel effet.

Puis aussitôt, il me prit par le bras, m'emmena dans la chambre très rapidement.

Il continua à m'embrasser, nos n'étions plus que passions, lèvres, chaleur et sentiments, pour une fois, je n'avais pas envie de réfléchir,  et quel était le problème, je passerais toute ma vie avec cet homme, car je l'aime et il m'aime. Je sentis ses lèvres descendrent dans mon cou se qui me fit frissoner. Et je lui dit en haletant.

Moi : Eyden... c'est daccord.

A ces mots,  il m'enleva ma culotte, je m'assis sur le lit en le regardant se déshabiller, il était tellement beau.

Eyden : J'espère que cette fois ça va marcher.

Il se mit devant moi en libérant son érection immense, et me demanda de le lubrifier, j'hésitais avant de le faire. Celà n'avait pas très bon gout, mais au fur et à mesure je m'habituais et ça devenait comme un jeu pour moi. Quand soudain, il attrapa ma main, la prit, respira un grand coup, Il me retourna, détacha ma guêpière, et la jeta à terre, je ne portais plus que mes bas, il me contourna, s'assit sur le lit, et m'observa.

Eyden : tourne sur toi même mon coeur.

Je m'éxecuta,

Eyden : Très jolie tout ça, et ne n'avait jamais remarqué à quelle point tu étais callypige, allez viens vers moi.

Je m'approchais craintivement, il me prit par le bras, et me fit asseoir à califourchon face à lui, il prit mon sein en main, et suçota, je fus de plus en plus haletante, puis il me prit et me posa délicatement sur le lit, il s'approcha de moi, mon coeur battait la chamade, il remonta mes jambes vers sa taille, et il se glissa en moi, ce fut légérement douloureux, puis il me demanda si ça allait, je lui fit mine que oui, il commença à se mouvoir en moi, se fut encore plus douleureux, mais plus le temps passait, plus je renssentais un plaisir, qui venait du fond de moi, pour prendre de plus en plus de place en moi avant de me possèder entièrement, je ne savais que faire de ce sentiment qui me submergait, et d'un coup j'explosais en mille millions de particules autour de lui, puis il me rejoignit quelques secondes après. Il me regarda dans les yeux, avec une telle tendresse et de façon à vouloir me remercier, il m'embrassa longuement, puis il se retira de moi ce qui m'arracha une grimace, il me demanda comment je me sentais, je lui répondit que j'allais bien, j'étais exténuée, tellement fatigué je n'ai pu me lever pour aller prendre une douche. Je sentis mes paupières devenirs de plus en plus lourdes.

Moi : *baillement* Bonne nuit Eyden, je suis fatiguée.

Je n'eus le temps d'entendre sa réponse que déja je sombrais dans un sommeil profond.

Montagnes RussesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant