Chapitre XI

122 13 4
                                    

J'étais devenue, une vraie misanthrope, je détestais les gens, ou plutôt, je me détestais moi, car tout ceux qui me touchaient, tout ce avec qui j'ai été en contact depuis mon arrivée à New York on eu des problèmes, je m'en veux. La solution, ne plus croiser personne. En plus mon frère, je ne lui parle plus, ne le regarde plus, ne le touche plus, il pourrait lui arriver quelques choses à cause de moi, parcontre Mikaela, elle pouvait me toucher me parler, etc.. ça ne me dérangerais qu'il lui arrive quelque chose. Et de plus en plus j'avais cette sensation de manque en moi, il me fallais ma dose, et je devenais de plus en plus aggresive. J'ai cherché dans mon sac à main, et j'ai trouvé le numéro du dealer. C'était Adonis, qui me l'avait donné, pour quand il ne serait pas là, il était imprévible, mais avait tout prévu, c'était une boule de contradiction. Je composa le numéro, de Dajan, c'était son nom, il décrocha à la deuxième sonnerie.

Dajan : C'est qui ! me lançat il sur un ton agressif.

Moi : Bonjour, je m'appelle Shaina, je suis euuuh la copine d'Adonis.

Dajan : Et tu me veux quoi?

Moi : Bah pourquoi j'appelle un dealer d'après toi. Dis je sur un ton exaspérée.

Dajan : Et tu veux quoi comme drogue?

Moi : Du crack.

Dajan : Tu es sur? Ce n'est pas pour toi ça petite.

Moi : Qui tu viens de traiter de petite, te fous pas de moi, si tu veux du fric, tu me vends ce que je veux et tu te la ferme. Pigé?

Dajan : Ahaha t'es une vrai Nana, tu honores bien notre pote Adonis. Okae

Tu en veux pour combien? c'est 45 € la dose.

Moi : Putain c'est cher pour une dose.

Dajan : les drogues de synthèse qu'on vous vends c'est pas ça moi ça, j'en vends de la pure moi. Après c'est toi qui veut donc tu assumes.Alors ?

Moi : Okae, prépare moi trois doses, mais laisse moi réfléchir comment je vais trouver de l'argent.

Dajan : Je t'attends poupée.

Moi : Ouais c'est ça.

Je veux essayer le crack, Adonis, n'a jamais voulu que j'essaye mais ça à l'air kiffant, c'est fort, donc je pense que ça me fera plus vite oublier. Maintenant un problème se pose où trouver de l'argent. Le chèque qu'Eyden m'avait fait je l'ai déchiré sous le coup de la colère après qu'il m'ai rembarrée. Je me mis à réfléchir, comment trouver de l'argent facilement, rapidement, car si je commence à travailler je ne serai payée qu'a la fin du mois. Bon alors... Je prends mon Mac et cherche. Finalement, j'ai trouvé. Un site de rencontre, ou tu peux rencontrer et te faire payer pour tes services vis à vis des hommes.

Etape 1 : Mettre un photo de soi sexy, ou mettre en avant ses atouts, le mien c'est mes fesses, je me prends en photo de dos, en boxer sexy. Elle est magnifique, je ressemble un peu à Nicki minaj s'en vouloir me vanter.

Etape 2 : Mettre un statut coquin et ne pas oublier mon prix, et mon numéro Salut, t'es prets à t'amuser avec une vrai africaine pendant 2 heures? je te promets tu seras pas déçu! ;) Prix deux heures : 250 €, OO 1 153 657 34 56

Oh moins avec ce prix, je suis presque sûr de ne pas me faire des pouilleux idiots. Ce ne sera pas trop dur, tu rentres tu fais ce que t'as à faire, et tu te barre en empochant l'argent. De toute façon avec ma poisse ils risquent tous de mourir.

Etape 3 : Télécharger l'appli sur mon phone pour que H24 je sois au courant si on n'a besoin de mes services.

C'est bon, je crois que c'est tout. Une heure plus tard, j'ai déja 3 demandes, je sens que je vais m'amuser et me faire l'argent facile, le premier m'a donné rendez vous demain à 16heures. Okay c'est bon, l'autre Oh merde le même jour la même heure, je lui dit donc que je suis déja prise. Deux seconde plus tard, il m'appelle, et me dit qu'il doublerai le prix pour passer devant, Mais sans soucis, il passerai en premier, et moi je me ferai 500 € au calme, je me désiste au près du premier. Et je vais me coucher, pas la peine de parler au 3e je suis trop fatiguée. Je me couche, je subis toujours ces spasmes à répétition, mais plus pour longtemps, je suis anxieuse, et je commence à me gratter la peau tellement j'en veux.

Montagnes RussesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant