Chapitre XXXII

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Moi : Je veux travailler Eyden !

Eyden : Ça fait qu'un mois que tu t'es fait opérer.

Moi : Mais ça ne change rien, je m'ennuie à la maison.

Eyden : Tu ne sortiras pas! par contre tu peux organiser la fête pour fêter la naissance de Saba.

Moi : Mouais, ça me fera une occupation.

Arabella : Madame, Saba s'est réveillée, je vous l'apporte ?

Moi : Oui. Et... Arabella ?

Arabella : Oui Madame ?

Moi : Cesse de m'appeler Madame ça me rend vieille s'il te plait appelle moi Shaina.

Arabella : Oui Madame.

Puis elle sortit du bureau, Arabella est la nounou de Saba, c'est une jeune Portugaise de vingt-neuf ans, courte de taille et très mignonne avec des cheveux long et ondulés qu'elle attache en chignon, elle est aussi très disciplinée.

Eyden : Bon moi je dois aller travailler mon amour dit il en s'approchant de moi et en m'embrassant tendrement sur le bout des lèvres.

J'accepta son baiser puis j'aggripa ses cheveux pour donner de l'intensité à notre baiser qui devint de plus en plus passionné, au début il fut surpris mais il me le rendit et mis sa main sur mes fesses et m'attira vers lui.

: Elle est là.. Oh mon Dieu excusez moi!!

Arabella referma la porte en la claquant.

Eyden et moi on se regarda dans les yeux avant de rigoler à gorge déployée de la situation qui était vraiment drôle.

Puis Eyden me reprit et m'embrassa ardemment puis me relacha en me faisant un simple bisou sur le bout des lèvres.

Eyden : c'est bon Arabella, vous pouvez entrer.

Elle se mit à l'entrebaillemment de la porte, et passa la tête pour examiner la pièce, puis avança vers moi et me tendit ma fille avant de repartir le visage pourpre.

Eyden : N'ayez pas honte Arabella tout ceci est naturel.

Arabella : Oui monsieur McBride.

Puis elle repartis.

Eyden prit sur un tableau de vers accroché au mur la clé d'une de ses nombreuses Mercedes.

Ah les hommes et leurs jouets.

Eyden : Allez aurevoir mon coeur.

Puis il partit, je m'assois sur le fauteuil en cuir blanc qui ornait le grand bureau design de mon mari, et je commençais à allaiter Saba.

L'allaiter me faisait toujours un peu mal, mais à présent la douleur s'atténuait, ou c'était que je m'y habituais.

Quand Saba fut endormie je l'ai déposée doucement dans la chambre, en la regardant. Elle a beaucoup grandit depuis un mois, elle a les traits de son père, c'est son portrait craché. Cette enfant est tellement pure. On lui donnerai le bon Dieu sans confession.

Je descends dans la salle de réception qui se trouve au sous-sol et vais voir le déroulement des préparatifs de la salle.

Après avoir descendu les deux petites marches qui mène à la salle, je regarde s'affairer au travail mon amie décoratrice d'intérieur qui s'occupe de placer l'immense bouquet de fleur qui pronera au centre de la pièce lors de la réception.

Moi : Aimée, comment ça va ?

Aimée : Oui, ça va et toi?

Moi : Bien et la décoration?

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