Chapitre 13 : Porte Malheur

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Elle me les a fait manger, ces 2 petits suisses. Même si elle à raclée mon bavoir pour ça. Et elle à tout essayer : l'avion, le train, la peluche qui donne la cuillère, boucher le nez avec une pince (j'ai serrée les dents) et même les chatouille, qui n'ont fonctionner que par surprise.

Quand elle en à eu mare, elle m'a dis que si je ne les mangeais pas, elle m'enverrais au lycée en poussette, avec une couche si énorme que la robe body aura du mal à se refermer et j'ai pas écouter au delà, seulement ouvert la bouche et manger.

Quand elle a ENFIN daigner me libérer, elle étais partie depuis 10 minutes, en train de ranger la table et la cuisine. Et elle n'a pas retiré les mitaines de forces et m'a en plus forcer à enfiler le collier anti-métamorphose de mes deux.

Collier que je ne peut pas retirer toute seul parce que la chaîne est juste assez longue pour rester autour de mon cou sans me faire mal... et la sanction tombera si je la brise.

Je peut enfin aller lire. Ou dès que j'aurais retirer ces mitaines de forces. Soit avec les dents. J'essaye d'arracher les gants par les bracelets, mais ces trucs sont trop solides.

J'essaye ensuite de desserrer le bracelet par la fermeture, Soit un cadenas serrant deux petite anses de tissue. Deux cadenas à code. Code : 412; l'autre code : 193. Avec la langue parce que j'ai pas de doigt...

Je retire enfin ces mitaines de... **@$£$€^... Force. Et les posent devant ma porte pendant que je vais lire. Après une petite heur, je prend ma tétine, mon doudou, et retire ce collier. Je vais le poser sur la table de la salle à manger. Ou ma mère me retrouve avec les mitaines.

- Bon, comme ça ne sert à rien, tout comme le collier, je te change et tu peut aller dormir.

Je crois avoir encore plus mouiller ma couche en entandant ça. Mais la suit tête baissée pour ne pas tremper les draps cette nuit. Et, après le change, me retrouve avec la « turbullette » comme l'appel ma mère.

Au bout de bientôt une heure, je ne dormais toujours pas. Trop chaud. La faute à cette barboteuse, mais en même temps, je n'ose pas la retirer par peur des conséquences.

Et Après tout, pourquoi me casser la tête ? Étant hyperlaxe, j'atteins sans gros problème la fermeture éclaire dans le dos (le ''point intouchables''), même si elle est bloquée dans une sorte de petite poche qui devrais m'empêcher de la dézypper.

Après m'être cogner contre mon oreiller, mon réveil m'indique l'heure d'aller manger. Vous est-il déjà arrivé une nuit où vous avez l'impression de vous réveiller juste après avoir posez la tête sur l'oreiller ?

Une de ces nuits où on en ressort presque plus crevé après qu'avant ?C'est une de ces nuits là que j'ai passer. Et c'est pas agréable du tout.
Malgré tout, je dois aller au lycée. À 8 H. Youpi.

Ma mère dort encore, je ne sait pas comment elle fait. Sauf que sur la table, je vois un biberons de lait, nature comme je les aimes. Avec à côté une boîte de biscuit et un mot :
« Comme tu as retirer ta barboteuse, je n'ai pas eu besoin de te réveiller.

Prend ton petit-déjeuner comme ça puis va changer ta couche. Tout est près à côté de la table à langer. Avant de partir, pense bien à fermer la porte à clé.Et aussi, prend un des body et des couches de rechange, tu en aura peut-être besoin.
Ta Maman »

Elle me prend vraiment bour une bébée ...?

Bon, tant que le biberon est là, autant le prendre pendant que je me change. Alors, je déboutonne mon body, je retire ma couche, quelques gorgées de biberon, quelques petits coups de lingettes, d'autre gorgées de biberon, le talc est ici, pas de crème, c'est trop galère à mettre bien si on ne vois rien, encore un peut de lait, pas de goût suspect (je lis trop), une nouvelle couche, avec des motifs de bébés c'est parfait, je referme la couche et le body, je termine le biberon et je peut manger pour de vrai.

Un demi petit dej' à cause du biberon, mais ça devrais être suffisant. Et je ne me lave pas toujours après avoir dormis, les lingettes retire bien assez l'odeur et je n'aime pas trop me laver le matin.

Après manger, je m'habille d'un autre body, un neutre plutôt, pas de T-shirt ni de pulls, un jeans camouflage roseau trouver au rayon châsse de Décathlon et ma veste noir que j'ai depuis bientôt un an (elle à une capuche).

Je passe devant la glace et me rend compte que le T-shirt n'est pas une mauvaise idée.

Un T-shirt camouflage plus tard (acheté en même temps que le pantalon), mon cartable sur le dos et je suis prête à y aller. Mon tel sonne 10 minutes plus tard pour me dire d'y aller, me rappelant ma sacoche (je lisais) et de ranger mon bouquin dans mon sac.

Je vous passe le trajet et la recherche de ma classe pour arriver au moment où je vois Arthur. Oui, Arthur Fessedefoque le fils du vendeur. Son nom me fait toujours sourire, mais sa présence me terrifie : il sait pour ma métamorphose, et même pour mes goût pour infantilisation...

Je profite d'un moment où personne ne fait attention à nous pour lui proposer un deal : Je demande au prof de ne pas donner son nom de famille mais il ne dis rien sur moi de ce qu'il à vu à la boutique. Et il accepte. OUF !

Quand le prof arrive, après quelques minutes, Je lui demande immédiatement si il peut ne pas prononcer le non de famille d'Arthur.
Il me demande pourquoi puis le lis sur Scolinfo et accepte ma demande.

Il me dis ensuite d'aller rejoindre mon petit ami, ce à quoi je ne répond rien.
Je prend la place la plus proche de la porte, à la première rangée je sais pas pourquoi, sort ma trousse, quelques feuilles et mon livre pour commencer à bouquiner. C'est seulement quand il fait l'appel que je réagi à mon prénom :

- Plaît-il ?
- On dis présent.
- Oui je suis là.
- On dis présent.
- Présidente parce que je suis une fille.

Toute la classe éclate de rire puis je retourne à mon livre, interrompu tout de suite par le prof qui engagé de me le confisquer.

- Mais monsieur, les livres ne sont pas interdit par le règlement !
- Mais l'insolence si.
- Les téléphones sont interdits mais pas les livre, si vous voulez confisquer quelque chose, c'est à eux 2 qu'il le faudrai !
- Exacte. VOUS DEUX ! Rangez vos téléphones tout de suite.
- Mais pourquoi un simple avertissement alors que vous m'avez pris mon livre sans prévenir !?
- C'est moi le prof c'est moi qui décide. À moin que tu ne veuille faire le cour à ma place ?
- Vous êtes prof de quoi ?
- Ça suffit, donne-moi ton carnet !
- Si je pouvais récupérer mon livre, c'est d'accord, mais je n'ai pas de carnet.
- Si il est là.

Il m'en à fourrer un dans les mains, pendant que je retourne à ma place pour y rajouter mon nom, prénom et classe.

Je lui donne ensuite mon carnet et en profite pour sortir un autre livre de mon sac (j'en prend toujours 2 où 3) Je vois bien que le prof enrage, mais s'il veux être injuste, je vais l'être aussi.

Il essaye de me prendre le livre des main, alors que je vien de voir les mêmes que tout à l'heure sur leurs téléphones. Je laisse mon livre au prof mais prend l'autre et lui signale que les accro du tél les ont ressorti.

Il les averti encore une fois, certe en criant, mais ne les mélasse jamais de leurs confisquer leurs téléphones. Je sent que je vais A-DO-RÉ ce prof, moi. En plus il est prof d'EPS, une matière que je n'ai jamais vraiment apprécié.

En plus, il baratin sur des trucs complètement inutile jusqu'à 12 H 15, soit la sonnerie alors que les autres ont pu quitter vers 11H 30. Comment je le sait ? Ceux près de la fenêtre l'on gueuler au prof, qui leurs à mis une heur de colle.

On aura quand-même reçue notre emploie du temps : 8 H - 17 H 45 tout les jours, sauf le lundi où on commence à 9 H et le vendredi où on finit à 15 H 30. Et on à EPS dès le lundi aux deux premières heures.

Avant de rentrer chez moi, je passe à l'infirmerie pour me changer ma couche presque trempée. Elle m'acueil beaucoup mieux que le @*#% de @%#&$ d'@#$^@%@ de @##%@$ qui me sert de prof prins' (principal).

Et elle me propose même de me changer pour m'habituer à elle. J'accepte et suis dans une couche propre en moin d'une minute. Nouveau Record !

Je finit enfin par rentrer chez moi, sans passer par les ruelles cette fois-ci. Il n'y a pas grand monde à 12 H 25.
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Voilà pour aujourd'hui les deux histoires ont eu leur chapitre sorti.

De mon côté j'ai pas beaucoup avancer sur la correction fautes a un début de rangement de chambre long et pénible ^^". Bonne lecture et bonne soirée à tous

Une enuretique qui part en sucetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant