CHAPITRE 27

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- ET C'EST PARTI ! QUe le combat comm...

Et là je n'entend plus que mon adversaire me foncer dessus, le marteau en position de frapper. Je lance le Kunaï de travers, tout en reculant un peut sur le côté, et il trébuche sur la chaîne, le rendant à ma merci. Je dégaine un sabre, m'approche mais il se relève aussi sec et son point me remue les moustache (Je suis en forme semi humaine, les armes y sont mieux adaptés).

Il gronde beaucoup. Et fort en plus.
D'un saut, je tire sur la chaîne, toujours emmêlée dans ses pattes, et le fait tomber à nouveau. Cette fois-ci, Je balance la chaîne dans sa gueule pour approcher de manière « safe » et chatouiller sa nuque avec la pointe de mon sabre. Sauf qu'aucune cloche ne retentit. Il continue de gronder.

Il se relève brusquement, manque de se décapiter sur mon sabre, et ne bouge plus quand la lame rencontre un os. Je sait que je n'ai qu'un mouvement à faire pour le tuer, mais jamais je ne le ferais. Et ceux même si toute la foule s'égosille et me hurle d'en finir.

Aucune cloche se retentit. Même pas de signale quelconque. Il gronde toujours.

- ALLER TUE-MOI QU'ON EN FINISSE ESPÈCE D'ATTARDÉE!!!
- Non... Je ne suis pas une assassin... (en chuchotant)

Et là, toute la salle se tait. Un silence irréel après le brouhaha que j'avais entendue peut avant d'être « coupée » du monde tombe comme un rideau.
Je rengaine ma lame, en reculant un peut pour ne pas me prendre de contres, et attend qu'il se relève. Sauf qu'il me charge dessus. Je saute sur le côté droit et lui plante la lame dans son jarret gauche. Il s'étend et ne se relève pas.

Les quelques clameurs qui s'étaient élevés quand il m'a attaqué se sont tuent juste après. Je récupère le Kunaï-chaîne et vais pour sortir de la cage qui sert d'arène, mais là porte est toujours fermée.

- Il faut tuer son ennemi pour sortir !

Tu connais pas les règles ou quoi !?

- Non ! On ne m'a pas laisser l'occasion de le faire, depuis qu'on m'a assommée.
- Eh bah va tuer ton ennemi pour sortir, alors !!
- Non...

Et voilà que monsieur gros marteau se relève sur une patte et une main, ayant justement poser son gros joujou pour se relever. Je me rapproche de lui, un sabre au clair, et saute sur sa jambe d'appui pour frapper l'os de sa patte gauche.

Il s'éfondre à nouveau et ne se relève plus que sur les coudes. Il ne gronde plus, il hurle des borognymes inintelligible. Je me rapproche de la grille, mais elle est toujours fermée. Aucune cloche n'à retentit.

Alors, je fait ce que je sait faire de mieux, glitcher les règles. Je me métamorphose en humaine, passe mes doigts dans les mailles de la porte grillagée et ouvre la poignée de l'intérieur. Plus de la moitié de la salle est bouche bée, ou bec bée pour les furries d'oiseaux. Les autres sont figés, sauf deux ou trois qui me regarde l'air de dire « mais pourquoi tu l'a montrer ?!? »

- REVIEN ME TUER ESPÈCE DE PLEUTRE LÂCHE !!!
- En quoi suis-je lâche de laisser la vie à quelqu'un ? Surtout si il n'en gardera aucune séquelles ?
- TU M'A COUPER LE TENDON ESPÈCE D'ENFOIRÉE !!!
- Non, ma lame a rebondir sur l'os. Deux fois.

Puis je suis repartie vers le couloir d'où j'étais arrivée... Et passe par une chatière pratiqué dans la grille en forme animale. Je ne l'avais pas vu avant.

Sauf qu'une compagnie de garde occupe le couloir. Et qu'ils m'attrappent en m'assommant bien. Et que je me réveil dans une cellule sombre, n'ayant pour seul aération qu'une grille trop petite pour même passer ma tête.

Et j'ai les pattes menottées dans le dos, mais ce n'est pas un problème. Et une muselière un peut spécial où je n'ai que deux tuyaux plantés dans le museau pour respirer. Je ne peut pas me métamorphoser, sinon j'y perdrais soit mes mains, soit ma gueule (les pattes sont plus fines que des bras. Et les tuyaux sont bien ajustés.).

Une enuretique qui part en sucetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant