Chapitre 16

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Je ne vais pas vous embêter avec ma punition à coup de mitaine de force, de menotte aux lis, de tétine-bâillon et de laxatifs... Zut j'en ai encore parler !
(Message personnel : ne pas dire que je je veux pas parler de quelque chose)

Donc, maman à utiliser sa breloque de paralysie, m'a attacher à la chaise haute avec les gants de forces, m'a fait manger une purée de patate (j'aime pas ça), et tout ça en me faisans un discours moralisateur sur ma métamorphose en extérieur et devant les personnes de mon lycée.

Comme si ce n'était pas suffisant, elle l'à aussi fait manger des petit suisses ou je ne sait quelles yaourts. Cerise sur le gâteau, elle réutilise son pendentif pour m'emmener dans ma chambre, et elle en profite pour me menottée en Jésus sur mon lis (les bras écartés et les pieds ensembles).

Sans les clous, heureusement, mais il s'en est fallu de peut.

Elle me change. « Pour pas bousiller le lis une fois de plus » d'après elle. Et d'une couche conséquente, avec une couche + 2 inserts, enrobée une autre couche par dessus, plus une culotte plastique pour couvrir le tout.

Elle me fixe une tétine avec un drôle de collier, l'empêchant de parler, puis elle me laisse comme ça sans autre forme de procès. Le problème, c'est que je m'étais déjà rendue compte par le passé que je ne pouvait pas me métamorphosée si mes bras (ou jambes) ne prenais pas une place naturel sous forme animale.

Si c'est pas clair, je ne me métamorphose que dans une posture entre debout, les bras le long du corp, et à quatre pattes. Et je ne sais pas si vous avez déjà essayer d'écarter les pattes avant de votre chien ou chat sur le dos, mais il n'aime pas DU TOUT. MAIS ÇA FAIT SUPER MAL D'ÊTRE COMME ÇA, BORDEL !! Oups, désolé.

Le pire, c'est qu'au bout de 20 minutes, les laxatifs font effets. Même Si je ne le saurais que le soir. Ils mettent biens 35 minutes à gagner la bataille entre eux et ma volonté, mais je finit par exploser. Et c'est répugnant.

Je ne sait comment, mais après quelques minutes, je me métamorphose. Le coller se transforme en muselière juste après, mais je me suis quand-même transformée en animale. Et bordel de **@*$#@*€£% de **&@%#*@%$ de *@$*@%($¥@€#&$, C'QUE ÇA FAIT MAAAAAAAAAAAAALLLE !!!!

Je me retransforme en humaine et file me changer au toilettes. Sauf que la culotte plastique est fermée avec un fuking cadenas de ***@&%&@* ! ET QUE j'ai toujours les mains prisonnières de ces ***@&#%$% MITAINES de ****@^#%&%^ ! ET QUE MA CHAMBRE EST FERMÉE À CLÉ !!

Bon. Tout n'est pas perdu, j'ai encore de quoi retirer ce gros paquet malodorant. Pour ça, je dois retirer ces gants. Tirer dessus n'est pas la solution. Et si ils ne se sont pas retirer, c'est qu'il doit y avoir une sorte d'élastique ou quelque chose du genre.

J'essaye quand même de redevenir animale, et me rend compte qu'il me suffirait juste d'arracher ça avec les dents. Mais pas avec cette muselière. GRHAAAAAAAH !!!

Je sent que je vais galérer... Ou non : je le coincé sous un pied de mon lit, soulever à la force des quatre pates. Parfait ! J'en est plus ! Maintenant, comment retirer cette merde...
Mon cartable est... resté dans le couloir. MERDE !

Mais j'ai plein de truc dans mon bureau. OUF ! Mais elle à vider le bureau. MERDE ! Sauf un tiroir. OUF ! Mais il n'a que des feuilles. MERDE ! Mais elle ne l'a pas fouiller entièrement. OUF !

Mais elle à pris le cutter qu'il contenait. MERDE ! Elle l'avais fouiller. DOUBLE MERDE !!
Bon, bon, Bon. Qu'ai-je d'autre pour couper ça à part mes griffes... Rien, dommage.

Et comme je suis sûre qu'elle à mis la clé un peut tournée dans la serrure pour pas que je la force... Ah non, même pas ! Je vois la pièce derrière !

Ma mère à beau être un peut sadique sur les bord, je suis quand même bien en chaleurs à être comme ça. Et je suis sûre que maman en est consciente.

Je ramène une chaise avant de me métamorphoser (la demi forme, je la maîtrise pas) Et force enfin la serrure. Même si j'ai une muselière pour ça.

Les clé sont sur la table. Aussi bien ma chambre que le bâillon que la culotte plastique. EENFIIIIIN !!

Je file me changer, sans le bâillon, et me fait flasher en ouvrant la porte. Je vois un système de fils qui appuient sur le déclencheur de l'appareil photo de la famille, et me rend compte qu'elle espérait que je m'en sorte. LA SALOPE !! Oups... désolé maman.

Je me change fissa, malgré tout, retire ma couche (et garde la propre) puis fille sous la douche après m'être empoisonner le nez à essayer de retirer ça avec les bord de la couche.
Je remets la couche propre les deux et vais jouer à mon jeu.
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Voilà pour le chapitre et je m'excuse d'avance mais je ne vais très certainement pas pouvoir posté avant jeudi prochain. Je pars quelque jours en vacances et a l'hôtel la connexion est loin d'être top sur place

Sûr ce bonne lecture

Une enuretique qui part en sucetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant