CHAPITRE 28

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Je me réveil ? Mais je n'ai pas de souvenirs d'avoir dormis, seulement d'avoir voulu retourner dans l'appartement de mon (probable) altère-égale.

Sinon, je crois que je me suis quand même souillée dans mon sommeil. Ou évanouissemment plutôt. Bein, alors...

GGRRRRRLLWWWRRRWAWRR...

Ouah ! C'est quois ça ?! Aïe... J'ai mal au ventre... GGRRRWWOWWWOWRR... Ah bah c'est juste que je crève la dalle... Mais j'ai pas mangé depuis ce matin, en faite ! Et sûrement pas asser depuis mon enlèvement du... De... D'il y à moin de 3 jours...

Bah alors... EH ! Mon estomac prend le contrôle ! MAAANGEEEEEEEEER !!! Alors (Aïe) c'est parti pour un gros repas décongeler... Et vite !

Y a personne... Alors, qu'est-ce qu'il y a dans le frigo... Une part de tarte, je sait pas à quoi. Il en reste 3 parts. 2 pour le micro-onde et une pour maintenant. Trop faim pour me changer, pour l'instant. Je vérifie quand même si il n'y à pas autre chose...

Ark... J'aime pas le fenouille... Ni le saumon en tarte, il est trop cuit... Pourquoi il y a les recettes de ma mère ici ? Surtout ses recettes « secrètes » ?

Bref, je trouve un vieux plat de pâtes en sauce (indéterminé) qui part lui aussi pour le 'cro-onde . Puis je termine les part de tartes... qui ne sont qu'à peine meilleur chaudes.

Bref. Je me prend une assiette et des couverts, sort les pâtes du...

- CLAC !
- Ah, bonjours, tu es rentrée ?
- ...
... Ah... C'est le « Chéri » de la lettre de... Ce matin en fait. J'ai vraiment un problème avec le défilement du temps, C'est pas possible ! Où alors j'ai juste vécu trop de péripéties...

- Ouuh... Tu devrais peut-être aller te changer, ça sent d'ici.
... Effectivement...
- ... Bonjour ... ?
- Oui, mais s'il te plaît, vas-y.
- O-o-ok !

Ah oui, désolé, mais je me rend compte que j'ai oublié de vous dire que...

- Tu prends une douche ? (depuis la cuisine)

Eh, c'est pas bien de me couper !

- OUI !
- En humaine ou en animale ?
- En humaine ! Ma couche à fuit !
- Ok ! Tu veux de l'aide ?
- Non merci, ça iras !

Bon, je retire cette couche à saturation, la jette dans la poubelle à couche trouvée à côté de la table à langée, me nettoie vite fait aux lingettes et lance l'eau.
Puis je reprend là où j'ai été arrêtée. Je me suis téléportée dans l'appart de mon altère-égale. Sûrement quand j'y ai pensée tout à l'heure, dans l'arène.

Et l'évanouissement viens sûrement de la trop grande dépense d'énergie, quelque qu'elle soit.

Se passer un coup d'eau sur le corp, ça fait du biens. Mais je me rend compte que je ne vous l'aient pas décrit. C'est un Uski, mais il a les yeux marrons. Ne me demandez pas comment c'est possible. Il à un pelage... Bah, au pire, voilà sa photo ( http://www.furaffinity.net/view/637288/ celui de gauche en bleue).

Je ne m'y fait quand même pas, d'avoir un petit ami. Surtout si on sait que mon nombre d'ami(e) est de 0, et de 3 pour une vie. Par contre, je remet une couche, c'est obligatoire. Et des inserts, parce que c'est marrant.

Problème, je me suis rendu compte qu'il y en à de deux types différents, des couches. L'une des deux est classique, ou à tout le moin pour un humain, puisqu'il n'y a pas de trou ni de scratch pour la queue. C'est celles que j'avais mise avant. Les autres sont spécialement faites pour les furries.

- Tu veux que je t'aide à mettre ta couche ? Ou tu préfères les sans queues ?

Il est à la porte. Et il l'a ouverte. Sachant que j'avais fermée à clé. What.

- Ah, euh, oui, je veux bien de l'aide... Merci.
- C'est rare que tu accepte ! Tu veux me dire quelque chose ? Ou me faire une demande ?
- Non, c'est juste que j'ai un peut la tête dans le pâté, là...
- Et vu comment tu as vidée le frigo, je suppose que tu ne mangera pas ce soir ?
- Pourquoi, il est quel heure ?
- Il est 16 heure, ma chérie. Et oui, je peut dire que tu es perdue.

Pour moi, il est 20 heure... Au vu du soleil d'automne, j'aurais dit 20 heure. Mais après, c'est peut-être pas les mêmes règles ici, je sait pas.

Enfin, passons. Il me place la couche sous les fesses, me demande combien d'inserts je veux, je lui répond 2 qu'il place dans le fond de la couche, qu'il referme normalement juste après m'avoir talquée. Puis il me fait m'asseoir, va dans mon dos pour refermer le dernier scratch et m'enfourne une tétine dans la gueule.

Je l'accepte, mais garde un œil sur ses réactions.

- Depuis quand tu accepte ça ? Même si tu l'à prend presque toute les nuits, le jour tu me la jette au visage !
- Tsu pwéfèwewais qhue zhe the ya zhettse au vwizzazze ? (Je la retire) Ou que je te la face essayer ?
- Non merci. Ni pour me la prendre, ni pour la prendre.
- Alors...

Puis je me jette sur lui - pas méchamment - et lui enfourne un peut de force cette tétine un peut spécial dans la gueule. Mais il m'envoi par terre et se précipite dans le salon, celle-ci à la main.

Je sort et il me saute dessus, en m'immobilisant les bras d'une patte et m'attachant une tétine-bâillon de l'autre. Ne pouvant plus parler, mais me débattant toujours, il décide de m'emmener dans la chambre, dans un petit coin un peut spécial.

Même si je me tortille comme une anguille, il me menottes les bras ensemble puis accroche la chaîne à un crochet dans le plafond, crochet qui remonte un peut juste après. Sauf que, moi, je profite de ce point d'ancrage pour balancer mes jambes autour de son cou et de m'y cramponner fermement.

On à tout les deux le sourire aux babines, même si c'est plus un sourire de loup qu'autre chose. Et lui profite de la liberté de ses bras pour me chatouiller sans relâche, jusqu'à ce que les menottes ne retiennent plus mes pattes. (Je me suis un peu métamorphosée)

Et plutôt que de m'étalée par terre, je lui tombe dessus, le faisant tomber. D'un coup d'œil, je vois et attrape une paire de menottes, lui attachant les bras dans le dos après une pirouette.

Je vois bien qu'il se laisse faire, mais il n'aurais pas dû. Je me relève, le laissant sur le dos les mains dans le dos, attrape une autre tétine-bâillon dans l'une des étagères et lui attache juste avant qu'il ne se relève.

Il grogne, mais je m'en moque. je profite de mon ascendance pour l'attaché lui dans le fond de l'armoir via un mousqueton dans la paroi de celle-ci. Il grogne encore plus fort, mais je vois bien qu'il apprécie, non seulement par son attitude grâce à ma métamorphose, mais aussi parce que sa bite pointe sévère dans ce qui lui sert de caleçon.

Je retire enfin le bâillon, et me pavane devant lui, libérée. Lui, toujours aussi excité, n'attend qu'une seul chose, mais je n'ai jamais fait. Alors, je le regarde bien dans les yeux, lui baissé son caleçon et vois sa tête changer d'expression. Je crois que j'atteint la limite, là. Je lui rengaine son fusil, le détache, mais il en profite pour me sauter dessus.

Et pour m'attacher à mon tour. Sur le mousqueton. Après m'avoir bâillonnée à nouveau.

- Je croyais avoir été clair, là dessus. Pas de sexe avant là majorité. Et pour rappel, elle a 16 ans. Pas 15. Alors, tu sait ce qui t'attend.

Et il referme le placard.

MAIS QU'EST-CE QUE J'AI FAIT ENCORE COMME CONNERIES, MOI !...
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Voilà pour se chapitre je vais essayer de posté un peu plus régulièrement mais je ne promets rien les corrections à apporter à cette histoire sont bien plus longue que pour Louis ^^" j'espère que l'histoire vous plaît toujours autant et vous souhaite bonne lecture et bonne soirée ^^

Une enuretique qui part en sucetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant