Chapitre 22

215 4 4
                                    

À 6 H 30, donc, Je me fait arracher du lis par la lumière dans ma gueule (j'ai dormie en forme animale). Et elle part sans me laisser le temps de lui dire « bonjour » en plus, la bougresse (féminin de bougre).

Je m'étire donc, pour faire passer un peut mieu le réveil brutal imposé par maman, mais sans grand succès. Je petit-déjeune en forme animale, vu qu'il y à toujours une gamelle de croquettes dans le salon (et une dans ma chambre), et part vivre ma vie de renarde.

Jusqu'à ce que je vois l'horloge indiquer 7 H 20, et entende mon réveil sonner (maman à oubliée de le désactiver), où je redeviens humaine, vais éteindre la sonnerie, mais vois mon tel à 8% de batterie.

Je le met à charger pour la journée, en espérant le remettre dans le coffre ce soir.

Puis je part en cour, avec juste le temps d'y arriver en forçant un peut le rythme, mais marchant déjà vite de base, c'est pas gagner.

Je serais quand-même arriver juste à l'heure, pas de retard, mais pas non plus de livre pour la journée.

À part des rires étouffés, je n'ai eu aucune remarque sur ce qui s'est passer hier. Le seul qui à voulu se moquer de moi étais tout seul, et personne ne l'a suivie.

Je regarde quand même ma tenue par acquis de conscience, mais ne vois rien d'anormal, à part mes chaussure Heelys, mais je les aient depuis la rentrée (et je vais bientôt devoir les changer).

Ce n'est même pas mon T-shir, puisqu'il est noir uniforme. La même chose pour la veste, noir à careau gris foncé. Et le pantalon est un jeans tout ce qu'il y a de plus simple.

Et m'a couche ne se voie même pas tant que ça, la seinture est dans le T-shir, lui même dans le pantalon. Et je n'ai pas oublier ma tétine autour du coup (retour que ça à faillit m'arriver...).

Il ne s'est donc officiellement rien passer pendant cette journée, sauf que j'ai dû marchander un peut avec le documentaliste pour qu'il me laisse emprunter deux livre en même temps, sachant qu'il s'est au passage bien payer ma gueule suite aux photos sur les réseaux sociaux.

Encore heureux, je quitte à 15 H 30, ce soir. Ça rattrapera peut-être cette journée autrement pourrie. Bon, d'accord, pouriTe si vous voulez faire les mêmes fautes que les bébés.
Enfin bref.

Je me retrouve donc à l'appart à 16 H 18, vu que j'ai traînée, et que j'ai acheter de nouvelles chaussures pour la route. Et je sais pas comment j'ai fait mon conte, mais elles sont elle aussi dépareillées. On dirais que j'ai la poisse...

L'une est noir, avec le H et les lacets en rose foncé, l'autre à les couleurs inversés. Et là vendeuse à aussi fait un scandale, comme 3 mois avant, et il s'est gérée de la même manière, en regardant les vidéosurveillances.

Et j'ai encore eu 10% de réduction sur leurs prix, comme la fois précédente. Et si vous vous le demandez, oui j'utilise régulièrement les roulettes aux talons. Très pratique pour les décentes ou dans les couloirs du lycée.

Sauf que, après être rentrée, je lis et oublie complètement que mon téléphone est à charger dans la chambre de maman, et que quand elle rentre, c'est presque la première chose qu'elle voit. Je crois que mon abonnement aux savons n'est pas encore résorbé...

Mais comme elle est rentrée à 17 H 30, et qu'en plus j'étais en train de lire alors qu'elle me l'avais interdis, je vous jure que je vais exploser le forfait en une journée.

Enfin, pas interdit. Mais... « Tu lis quois ? » « Journal d'un vampire », Et je lui montre la première de couverture. Et elle vois que ça vient du CDI. Et elle se rend bien compte que si j'en suis presque au quart, c'est que je l'ai lu en classe.

Une enuretique qui part en sucetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant