Chapitre 30

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On sort du centre commercial pour revenir chez eux, avec toutes les fournitures dont nous avons besoin. À commencer par des couches parce que je n'en avais plus beaucoup. Elles viennent d'un magasin d'ABDL, considéré comme un sex-shop, dans un centre commercial qui ressemble un peu à la Cité Europe, dans ses plants.

Oui, je sais, on est plus d'une semaine plus tard (une des miennes, pas des leurs), et j'ai fait une grosse ellipse. Mais en même temps, je n'avais pas envie de vous dire qu'ils... Que... Attendez, je vérifie un truc sur mon dictaphone... «(Message personnel : ne pas dire que je je veux pas parler de quelque chose)»

Ah... Bah on dirais que j'ai bien fait de vérifier, sinon j'aurais encore dit qu'ils m'ont habillée en ABDL pour la sortie (j'avais oubliée de le préciser) ainsi que pour toutes les autres sorties jusqu'à... Merde. Juste merde à mon dictaphone. IL SERT À RIEN CE TRUC DE MEEEERDE !!!! (un bruit d'objet violemment jeté au sol et qui se brise en milles morceaux) !

Bah il me reste l'hypnose pour vous faire oublier ça... VOOoooOOUUUus AAaleEEEZ OOubliIIIER tOOOOOOOOUUUUUUUT ce que J'AAAaavais écriIIIit... Ah Bah zut, ça fonctionne pas si vous êtes pas en face... Vous pouvez venir chez moi, c'est au... Pas non plus envie de voir débouler l'asile, alors non.

Revenons à nos moutons. À nos papillons, comme dirais Bénabar . Alors, je disais donc (non, j'écrivais) qu'ils m'ont « adoptés », en faisans comme si j'étais vraiment sa petite amie, sauf en privé. Mais je me suis rendu compte que, en faite, je préfère Florian à Jérôme. Et qu'ils s'en sont plutôt bien rendu compte.

Pour dormir, je vais dans l'autre chambre, qui dispose en fait d'un lit classique, quoique avec des draps enfantins, et d'un lit à barreaux à ma taille. Ainsi qu'un panier pour pouvoir dormir en forme animale, Mais je ne l'ai pas encore utilisé.

Sinon, la pièce est aménagé comme celle d'un bébé ayant une grande sœur et un chien, et dont les deux enfants ne sont toujours pas propres au moins la nuit. Il y a aussi une poussette à ma taille, que j'utilise pour une bonne partie de mes déplacements, Ainsi qu'une grande armoire disposant d'un étage pour les jouets en bas, d'un autre (non, de deux autres) étages pour les couches, un autre pour les fournitures de bébé et un dernier pour les jeux de bébé bondage.
Et mon altère-égale est connu sur des réseaux sociaux (Pattartage, Corbeauteur et BouquÉtendar, respectivement les égaux de Twitter, Instagram et Facebook) comme LA représentante du monde ABDL. Sauf que je ne sait même pas comment fonctionne tout ces réseaux sociaux, vu que je n'en ai aucun chez moi.

Eh oui, je suis bien une ermite finie (Dans mon monde seulement... Mais aussi en vrai IRL).
Je n'ai donc que peut de regard méchant quand je sort dans mon headspace (j'ai 32 mois, soit un peut plus de 2 1/2 ans). Et ceux même si mes deux colloques en rajoutent une couche, au propre comme au figuré... surtout que je ne suis jamais propre très longtemps.

Je ne serais jamais retournée au FightClub de je sait pas quoi dans mon ancien lycée, même si j'ai reconnu une fois où deux un des gestionnaire de ce club illicite. Et je ne leurs en aurais même pas parler.

Ah oui, Florian est lui aussi un peut ABDL, mais plutôt Daddy/grand frère que véritablement bébé. Genre, son headspace est à 5 ans, et il n'est propre ni la nuit, ni le jours (enfin si, mais en parti seulement, il a pas mal d'accident). Il à donc systématiquement une couche, même fine, sous lui.

Je reprend avant de m'être moi même coupé la parole. On sort du centre commercial, moi dans la poussette, Florian juste derrière, sur une petite plateforme à roulette accroché à l'arrière de celle-ci. Et la Drynites de Florian venais juste de fuir en plein milieux du magasin, alors que la mienne se mettais presque au même moment à émettre une puanteur caractéristique bien connu et haï des parents.

En bref une journée comme les autres. Sauf que je me suis faite reconnaître par le « maître » du club de combat, et qu'ils se mettent à nous courir après. Et pour ne rien arranger, ils sont au moins une dizaine à nous encercler.

Je sait que je pourrais me téléporter à la maison, mais je n'ai aucune idée de comment ça marche. Ni de comment ça cours. Et encore moins de la porté de ce pouvoir.

Quoi, la blague était nul ? Ah désolé, je sort... Ah non, je peut pas, c'est moi qui fait l'histoire !
Bref. On se fait GENTILLEMENT escortés jusqu'à mon lycée dans cette univers, sans être ni détacher ni changer, pour se retrouver dans le bureau dudit maître. Et ceux même si on se débattait bien. Florian s'est fait attaché les pattes avant sur les poignées de la poussette et les pieds sur la plateforme à roulette. Et, pour info, on à pris un ascenseur (où j'aurais fait une crise tellement on était à l'étroit).

Je me rend compte que je n'ai aucune idée d'où ils ont emmené Jérôme.

- Alors comme ça, parce que tu es une star des réseaux sociaux, tu croyais pouvoir nous échapper. N'est-ce pas ?
- Du tout. (j'ai ma tétine autour du coup, alors essayer de lui faire peur ne sert à rien)
- Par contre, j'aimerais bien savoir comment tu as fait pour partir, la semaine dernière. Je me suit retourné et tu n'étais plus là.
- Si je vous le montre, vous pourriez les libérer ? Merci.
- Jamais de la vie. Moi, je suis honnête, je te dis clairement ce qui arrivera.
- Alors allez vous faire foutre.
- Ha ha ha ! Mais c'est qu'elle à de la répartie, cette petite challengeuse ! Surtout pour une bébé !

Et le mâle, alors. Comment ce bébé va ?
Pour info, répondre lui est impossible, vu que la punition pour avoir fait fuir sa couche, surtout en ayant fait un caprice pour ne pas en avoir en partant, est à coup de tétine-bâillon.

- Ah, on dirais que les filles ont évoluer plus vite que les garçons, dans cette famille... Dommage, il à l'air de ne pas vouloir retirer sa suçusse, le petit bébé. Bah !... (aux vigiles :) Foutez-moi ça en cellules. Et sans les libérer.
- CHEF ! Oui, chef !

Je me retrouve donc, alors que je voulais retourner chez moi, attachée dans une poussette, elle même enfermée dans un placard à ballets d'où je ne vois pas la porte, et dont les roues ont été bloqué. Je peut à peine me libérer du harnais qui me plaque dans le fond de la poussette.

- Mmmmphfffff ...!
- Mmphf Mmphf ! MMMMFFFFHHHPH !

Ah oui, j'ai oublié de préciser qu'ils ont pris la liberté de m'attacher dans la poussette par les menottes (oui, elle en a), et de m'attacher ma tétine-bâillon dans le filet sous la poussette. (désolé de donner des précisions au compte-goutte).

Je préfère attendre de voir ce qu'ils comptes faire de nous, plutôt que d'entreprendre une libération qui durerait plusieurs dizaines de minutes, en plus de faire un boucan du diable. Surtout que je ne suis même pas sûre de réussir ma tentative, au vu de l'exiguïté du trou à rat où ils m'ont enfermée.

Désolé à Florian si tu lis ça, je t'a un peut oublié. Le cagibi où ils NOUS ont enfermés. Quoique, ça ne change pas grand chose, on est prisonnier.

Jusqu'à nouvelle ordre, en tout cas.

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voici pour ce chapitre j'essaierai de sortir le prochain au plus vite mais je suis vraiment fatigué en ce moment beaucoup de boulot j'ai déjà fait 1h supp cette semaine et je risque de devoir en faire une autre probablement tellement le rayon est vide X)

J'espère que le chapitre vous aura plus et je vous dit à bientôt pour la suite

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 26, 2020 ⏰

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