Chapitre 21

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Elle ne m'a pas changée, en me libérant de la poussette. Ni même retirer les mitaines. Non, elle m'a simplement attacher à la chaise haute, et ceux même si je me débattait.

Pendant que la couche était à deux doigts de déborder, elle ne rabat pas la tablette mais le dossier, me mettant en position horizontal.

Puis elle part pour la salle de bain et revien avec deux autres couches, une aiguille et un trousseau de clés.

Et pas de lingettes, parce quon dirais qu'elle ne compte pas me changer.

Je m'explique (ou plutôt je décrit ces actes) : elle désenfile la culotte plastique en me la mettant sur mes genoux, perce la couche que j'avais jusque là en dernière épaisseur, en remet une couche (au propre comme au figuré, et même au sale), la perce, l'enrobe de l'autre couche qu'elle à du mal à refermer, puis recouvre le tout de la culotte plastique qui n'est passée que grâce à son élasticité.

Elle prend ensuite un petit cadenas de sa poche et ferme à clé la culotte.

J'aurais beau être aussi souple que je  veux, jamais je ne retirerai ça sans la clé. Et jamais je ne dormirais avec un tel truc entre les jambes.

Elle remet ensuite droits le dossier de la chaise, avant de poser les deux biberons sur ma table et de partir en cuisine.

Au bout d'un moment, elle vient avec le trousseau de clés et me libère la bouche et les mains.

Pour m'enfoncer juste après la tétine que je garde toujour dans ma sacoche (une tétine nuit extra fin de MAM), celle qui à un ruban comme attache.

- Et interdiction de la retirer sauf pour boire. Et si tu parle, je t'attache à nouveau le bâillon ! Alors t'es prévenue.

Mais quand elle à le dos tournée, j'ouvre la bouche en grand pour me détendre un peut les machoir... Et bailler par la même occasion.

Et comme le savent les AB, la tétine assèche vachement la bouche, alors je termine cul sec le biberon de lait fraise (c'est celui que j'aime le moin) avant d'entamer celui au chocolat.

Et ceux même si j'ai galérée à attraper le biberon avec ces mitaines de ***@*#$*.

Elle revien ensuite avec le set de couvert de bébé du magasin, ne m'attache pas les mains mais me réprimande sur la tétine que je n'ai pas en bouche. N'ayant pas envie d'aggraver mon état, je n'y répond rien.

Elle me fait ensuite manger de force et à la petite cuillère le contenu infecte de ces petits pots, avant d'elle même manger un bœuf bourguignon préparer par ces soins.

L'un des seuls plats que j'aime autant en forme humaine qu'animale, en plus. Et elle le sais pour couronner le tout !

Le repas terminer, elle part faire la vaisselle en me laissant poireauté sur la chaise haute dont je ne peut sortir qu'au prix des foudres de maman.

Et oui, je pourrais en sortir : je démet un peut la mitaines droite, qui à le pendentif anti-métamorphose, me transforme les mains en pattes dès que je ne le touche plus, arrache ENFIN ces deux mitaines de ***@#%@*$@**$ pour ensuite me libérer de ces sangles.

Ou sinon, sans métamorphose, agripper les mitaines avec les dents pour tirer dessus jusqu'à ce que ça se barre.

- Tu as exactement 7 minutes 45 pour essayer de te libérer, après je te met au lis comme ça. Et avant que tu me le demande, oui j'ai tout vu dans ta tête. Top chrono.

Eh bien, croyez le ou non, mais en à peine 3 minutes 10, les mitaines de **@%@$#%* sont par terre. Mais par métamorphose, donc vous auriez eu du mal, vous.

Le truc que j'avais oublié, c'est les ballerines. Je me suis retrouver assise dans la chaise sans possibilité de sortir, ne pouvant m'aider des jambes.

Eh ben ni une, ni deux, je retourne un peut mon genou en forçant sur la souplesse, pour me retrouver à genoux sur la chaise les jambes croisées, et pour me casser la figure par terre juste après.

À quatre pattes, je lui ai pris les clés des mains pour filer dans la salle de bain juste après.

Dans la salle de bain, je me suis acharner sur le trousseau pour trouver la bonne clés, avant de me débarrasser de cette maudite paire de ballerine, une à la fois.

Pourquoi, me demanderez-vous ? Pour m'enfermer à clé dans la salle d'eau, et ainsi arrêter le chrono. Àh oui, la porte était ouverte.

Je retire en passant cette ****@@$%$* de *@&#¥@€#& de culotte de ***@#$@&* et tout son contenu pour pouvoir me laver tranquillement.
Et ce même si maman tambourinnais à la porte depuis bientôt dix minutes avant d'abandonner.

Après m'être laver pendant plus d'une demi-heure, Je sort enfin de la pièce pour trouver une maman aussi déçue que furieuse.

- Bravo, t'as réussi ce paris, je te coucherai donc comme ça. Mais demain, et tout la semaine suivante, tu n'aura ni livre, ni téléphone, ni le drois de sortir ton doudou de la maison. Et je contrôlerais ton sac.

Il est donc 20 H 30, et maman m'envoie au lis. Sauf que j'ai (ou avais) des livres dans mon sac.

J'ai donc voulu lire jusqu'à m'endormir, comme tout les soirs ou presque, mais je n'en ai plus la moindre trace.

Alors je demande à maman mon téléphone pour me réveiller demain matin, prétextant que j'ai faillit être en retard au lycée, mais elle dis juste qu'elle me réveillera demain avant qu'elle ne parte.

Ce qu'elle fera, à 6 H 30.
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Voilà tant qu'à faire je me suis occupé des deux histoires prochain chapitre sûrement la semaine prochaine

Sûr ce bonne lecture et bonne nuit (espérons réussir à dormir)

Une enuretique qui part en sucetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant