Il n'y à rien d'autre à dire sur le reste de la journée, à part que j'ai réussi à shutdown le PC de mon prof (P.S. : ça m'étais vraiment arriver de le faire IRL, et le prof n'a toujours pas compris à cette date), La technique ?
La voilà :
Windows + R ; on tape « cmd » dans la fenêtre qui viens de s'ouvrir ; Dans MS-Dos, on rentre « shutdown /i » ; On rentre l'adresse IP du PC à éteindre, on joue avec les conditions pour ne pas avoir à mettre de justification, et c'est bon.Le problème, c'est que ça ne fonctionne qu'en intranet. Et que le prof m'a grillée... Je sais pas comment il a fait, mais il m'a grillée. Et je me suis fait engueuler par celui-ci en plus de devoir moi-même empêcher les élèves d'aller sur MS-Dos. À la place de ma récré, le bougre, sous prétexte que je l'ai déjà prise en lui fermant son ordi.
Heureusement, il ne va pas le rapporter ni à ma mère, ni au directeur, sinon j'étais morte. Et j'ai réussi et obtenu un 14/20 parce que j'avais rajouter une backdoor, soit un moyen pour moi de retourner sur MS-DOS Malgré tout.
Mais, bref. Je rentre donc à la maison le soir à 18 H 23, devant une maman furibonde qui m'attend avec une cuillère en bois, assise sur une chaise une jambe par dessus l'autre et les bras croisés. Et assez d'envie de meurtre dans les yeux pour me tuer sur place si son regard avais la moindre consistance.
Je vous jure que je me serais métamorphosée sur le champ si elle ne m'avais pas retirer le contrôle de mes muscle d'un regard encore plus furieux qu'il ne l'était déjà... Même si ça paraissais impossible sur le coup.
Elle se lève et m'attrape par l'oreille pour me tirer jusqu'à la table à langer (qui à une ceinture anti-chute, j'avais oublié de le dire) et m'y attache, avant de me menottée les points à un des pieds.
Elle me fait ensuite un discours moralisateur pendant qu'elle cherche je sais pas quoi dans l'armoire à pharmacie, discours qui continue même pendant la séance de change.
Un change où elle va me mettre une couche avec 2 couche droites, enrobée, d'une couche d'une taille au dessus aux motifs enfantins, le tout recouvert d'une culotte plastique.Ais-je oublier de préciser que les couches utilisés ici sont les plus épaisses qu'elle ai pu trouver au fournisseur ?
Et j'ai bel et bien ressue les deux suppositoires à la glycérine (ce qu'elle cherchait). Mais je n'ai pas le temps de m'en formaliser, parce qu'elle part et revient avec mes affaires ABDL et là tétine-bâillon promise...
Et me paralyse avant que j'ai put ouvrir ma bouche (ou gueule, je vous laissent décider). Elle m'attache ensuite à la poussette grâce aux (ou, pour moi, à cause des) bracelets prévu à cette effet, après m'avoir affublé d'une robe ultra-courte, d'une paire de collants non reliées à la culotte, ressemblant à des savates (je sais pas comment ça s'appelle) et de la suce, et de m'y laisser croupir pendant une dizaines de minutes face à la porte.
Pendant ce temps là (même si je ne le voie pas), elle me prépare un biberon de lait au chocolat et un autre de lait-fraise, en plus d'un sac de chande Hello Kitty dont la poche est « judicieusement » couverte d'un rabat transparent, et me donne mon doudou.
M'ou plutôt me le pose sur les genoux avant de l'attacher avec une chaîne d'attache-sucette, reliée à ma robe, vu que je ne peut pas le tenir. Robe qui recouvre à peine plus loin que la ceinture de la couche, en prime.
Ah oui, pour couronner le tout, elle reprend le pendentif anti-métamorphose et l'enfonce dans une mitaines de force, dont la paire viens orner mes mains peut après.
Le pire, c'est que je me rend compte que je ne peut rien faire, quand je reprends le contrôle de mes... du peut de mouvement qu'il me reste.
- On va faire quelque courses, pour le lait et les biscuits. Et on n'à rien à manger pour après-demain, et toi pour ce soir, on va passer à Carrefour. Mais il va falloir y aller en bus, c'est trop loin pour y aller à pied.
Petite précision : maman à une voiture, et un siège bébé à ma taille dans celle-ci. Et elle fait habituellement les courses au drive.
On sort de l'appartement, qu'elle ferme à clé, pour aller dans l'ascenseur qui est juste asser grand pour qu'on y passe toute les deux avec la poussette. Et je précise que je suis un peut claustrophobe sur les bord...
Mais honnêtement, dans la poussette, ça va, j'ai pas l'impression d'être écrasée ou enfermée. L'un des seuls avantage de la poussette, avec celui de n'avoir rien à faire pour avancer.
C'est quand on arrive dehors que je me met vraiment à flipper...Je vous laisse imaginer le tableau : une fille manifestement trop grande pour être en poussette, avec une énorme couche apparente, dans une robe de bébé évidente, avec un doudou sur elle, qui lui est attaché par une chaînette en plastique, et une mère avec un sac de change Hello Kitty, au rabat ne cachant pas plusieurs couches, ni même quelque biberons.
Qu'en dirais vous, si vous étiez à ma place, vous ? Ou à celle des observateurs ?
Et on ne peut pas parler d'exhibitionnisme, puisque j'ai des « collants » et une robe faisant que je suis considérée comme habillée. Ah oui, mes chaussure...
Des ballerines à semelle plate, avec un tapis de micro-billes acheter sur Internet, l'assemblage étant fait maison. Les semelles et les billes sont remontée sur les bords pour pas marcher sur la tranche du pied et tout contourner.
Et je vous jure, pour l'avoir subit quelques fois, que c'est diablement efficace.
En gros : je ne peut pas marcher autrement qu'à quatre pattes... Donc, même si je trouvais le moyen de me libérer les mains, je devrais arracher ces chaussures petit à petit, vù qu'elle ont 3 lanière de fermeture cadenassé.
Tout le monde me regarde de travers, quelques-uns avec dégoût, mais étonnamment peut, la plupart en rigolant plus ou moin discrètement. Il y à même quelques personnes qui viennent parler à ma mère pour nous encourager.
Et heureusement, personnes n'avais l'air d'être dans mon lycée. Mais ça reste quand-même humiliant. Et personne n'à pris de photos, miraculeusement...
À part un petit imbécile qui riait plus fort que les autres, qui à dû prendre au mois 5 photos de moi sur chaque réseaux sociaux.
Il n'y a plus qu'à voir le centre commercial, comment ça se passera...
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Petite correction rapide avant dodo la suite devrait arriver demain j'ai juste une mise en pages et une correction a effectuerSur ce bonne nuit, bonne lecture et à demain pour la suite ^^
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Une enuretique qui part en sucette
FantasyUne histoire parlant d'une fille qui, au lieu d'avoir ses règles, se retrouve avec un gros problème sur le lit... C'est la 1ere histoire de Bastien5967. Il l'avait commencée au brevet des collèges pour l'épreuve de français (véridique). Je publierai...