Chapitre 23

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Je me réveil après un temps indéterminé dans une cage juste assez grande pour que j'y tienne en boule. Et je sens aussi que celle-ci est dans une voiture, ou un moyen de transport. Et ils ne le savent pas mais j'ai le mal des transports, quand je ne regarde pas la route.

Dans ce que je suppose être le coffre d'une fourgonnette, il y à aussi un peu de lumière, me permettant de voir la poussette dans un coin, et maman qui est attachée dedans. Même si elle ne rentre pas totalement, je vois bien qu'elle ne peut plus bouger. Et qu'elle est toujours assommée par les drogues des seringues.

J'essaye de couiner pour la réveiller, ou à défaut me faire entendre du pilote, Mais ils m'ont mis une muselière TRÈS serrée. Et je ne peux même pas ouvrir ma gueule. Sachant que me métamorphoser est impossible au vu de l'exiguité de l'espace, je sens que je vais adorer ce trajet.

Heureusement il prend vite fin, mais seulement le temps que quelqu'un rentre, inspecte le coffre, me voit réveiller et me pique à nouveau. Nouveau trou noir...

Cette fois-ci, quand je me réveille, c'est parce que je sens que je dois vraiment vomir. J'essaye malgré tout de couiner plus fort, mais c'est à peine si je m'entends par dessus les bruits de la route.

Mais ils s'arrêtent quand même, ouvrent à nouveau le coffre, mais cette fois-ci, ils sont tout les deux et j'essaye de bouger. Ils prennent peur et ne s'approchent pas.

Je m'arrête, et ils reviennent avec une autre seringue. Je bouge à nouveau, et par miracle leur envoie en pensé « je dois vomir ».

Oui, je sais, il y à mieux pour ouvrir un dialogue. Mais comme je ne maîtrise pas du tout ça, c'est le mieux que j'aurais pu espérer. L'un des deux sursaute, l'autre le regarde, ils sortent, reviennent peut après, me sortent de la cage en brandissant ce que je suppose être un tazer.

Ne préférant pas tester, je ne bouge pas pendant que l'autre m'attache un collier autour du coup. Et je sens que ce n'est pas celui que maman avait acheté, car celui-ci est trop petit.

Je sors malgré tout pour prendre l'air, et ne reconnaît pas l'endroit où nous nous trouvons. Le contraire m'aurait étonnée...

Le seul bémol, c'est qu'ils n'ont pas retirer la muselière, et qu'elle me fait mal aux babines. Je pense à me métamorphoser, mais je me doute ensuite que ça risquerait d'être dangereux, avant de me rappeler que la plupart des humains ne voient pas ma transformation.

Eh bah, comme dit mamie, quand 'faut y aller, 'faut y aller ! Je me métamorphose, faisant fit de la douleur dû à cette muselière, puis me redresse en retirant celle-ci de mon coup, ainsi que le collier qui m'étouffais. Puis je vérifie si ils acceptent les phénomène métaphysiques.

Et bah, non. On dirais bien que ce n'est pas le cas des deux lascars qui me gardaient, après tout. Je décide quand même d'essayer d'un peut me retransformer, et de rester en Furrie. Ce qu'ils n'apprécient pas DU TOUT.

L'un des deux bug entièrement, ne faisant plus un mouvement, tandis que l'autre s'en remet après quelques secondes, et braque son arme sur moi en bredouillant des paroles incompréhensibles.

Petit rappel : j'ai 15 ans et la même taille qu'une fillette de 12. Cocasse, non ? Ils ont peur d'une gamine même pas propre. Parce que oui, j'ai récupéré mes habits, et me rend compte que ma couche est à deux doigts de fuir.

J'essaye de lui demander pour que je me change, mais il n'a pas l'air très chaud. Il préfèrerais que je retourne dans la cage, et ceux malgré mon mal des transports. Et je finis par accepter tant que je n'ai pas de muselière.

On repart donc vers une destination qui m'est toujours inconnue. Je finit par m'endormir, n'ayant pas grand chose d'autre à faire, mais je suis fréquemment réveiller par la nausée. Heureusement, j'arrive à passer le trajet sans vomir partout.

Justement, parlons-en de l'arrêt... Ils ouvrent sur une zone presque désertique, avec juste un hangars protéger de fils barbelés et de grillages. Les seuls chose que je vois à ma métamorphose sont cette base militaire, des dunes et de la végétation aux abonnés absents. Et aucun ne supporte ma transformation.

Maman se réveille juste à ce moment là, sans paniquer d'être attachée dans la poussette. Elle se sort je ne sais trop comment de celle-ci, puis viens se placée devant l'un des gardes. Je me rends ensuite compte qu'elle à les clés dans la main.

Les deux affreux qui nous ont emmenés ne comprennent pas non plus comment elle s'est libérée.
Mais un gradé arrive juste après, Les bottes claquant sur le sol désertique.

- Bonjour madame, bonjour à toi. Êtes-vous bien la mère de cette métamorphe ?
- Bonjour, merci de la politesse, et ce n'est pas un pokemon mais une Kitsune.
- Et comment pourriez-vous me le prouver ?
- Saviez-vous que j'étais capable de parler ?
- Et là politesse, jeune fille ? (ma mère)
- Oui, bon, bonjour, mais je réitère ma question...
- Oui, mais ce n'est pas à toi que je parlais. Mais si tu sais parler, alors explique-moi comment tu te métamorphose.
- Comme ça...

Et comme par hasard, il ne fait pas partie des personnes capables d'assimiler les actes métaphysiques.

- Oui, c'est bien, il y à un renard maintenant. Mais je ne vous aient pas amenées pour des tours de magie. TU PEUX SORTIR DE TA CACHETTE MAINTENANT !

Il crie fort le bougre... Je me retransforme sous ses yeux, en essayant cette fois-ci de m'arrête à la moitié, mais je rate.

Lui est encore en train de s'en remettre que je métamorphose à nouveau, aider par maman cette fois-ci. Quand il s'est remis, et que je suis en forme furrie, il interpelle maman :

- Bon, c'est bien, elle à enfiler un consume de renard, mais ça ne me dis toujours pas comment elle se transforme.
- Si vous voulez, je peux la prendre en vidéo pendant sa métamorphose.

Ce qu'elle fait. Mais ça ne fonctionne juste pas. Il nous hurle dessus en prétextant qu'on se moque de sa gueule, puis il repart vers le camp en insultant ses supérieur.

Et là, un des dits supérieur arrive, et ne m'est pas étranger...
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Voilà pour la suite étant parti pour une insomnie je suis gentil je vous poste la suite pour le reste faudra être patient je m'excuse mais je suis assez occupée avec le confinement ^^"

Bon courage à celles et ceux qui continue encore à bosser

Sûr ce bonne lecture ^^

Une enuretique qui part en sucetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant