Une enuretique qui part en sucette

Chapitre 12

Arrivée à la maison, j'en profite pour vérifier ma couche, et je la vois trempée. Et meeeerrr...Credi. Bon, bah c'est parti pour un change, alors... Comment je vais expliquer ça à maman, moi...

Bref, je me débarrasse de toutes mes affaires dans ma chambre, ne gardant que le nouveaux body, ma couche et ma tétine que j'avais gardée dans ma sacoche. J'en profite pour prendre mon doudou avec.

N'ayant pas fermé la porte de la salle de bain, c'est comme cela que maman me retrouve quand elle rentre, juste avant que je ne grimpe sur la table à langer :

[Je précise juste que ma tétine me fait un peu zézayer, mais pas plus (je cale le caoutchouc sous la langue).

- Bonsoir bébé.. Puis-je savoir ce que tu fais habillé comme cela ?
- ...
- Rhôôôh, aller, je n'ai pas envie de te tirer les vers du nez.
- Ss'est que ss'est long et que... Mais ty fait quoi ?
- Je te prépare au change, ça ne se voit pas ? (oui, elle s'est rapprochée) Tu avais oublié le talc et la pommade. Maintenant, explique-toi, mais sans ta tétine.
- Bein... (mode TGV activer)Pou' fai'e simp'e ya rent'ée'é demain et ze m'sis pe'du su'le 'tour et un'inconnu a ag'essé et ap'ès ma métamoffoze ze m'sis rendy compte que ma cuyotte étais mouyée et que...
- Holà Holà Holà, doucement, pas trop vite, on a pas de train à prendre. Et je comprend rien avec ta suce !
- Dézolé.
- Pourquoi tu ne m'en a pas parlé avant ? Et POURQUOI ta couche est MOUILLÉE, non de dieux !? (juste en me l'ouvrant) ET POURQUOI TU T'EST MÉTAMORPHOSÉE DEHORS !?!
- J'y viens... (j'ai retiré ma suce) Ce type voulait me faire des choses pas très catholique, à mon avis, alors j'ai riposté quand il à voulu m'attraper.

Je lui explique ensuite, sans aller trop vite, le reste de mes péripéties, de ma lecture de 4 H à maintenant, ainsi que tout ce qui c'est passé dans les magasins. Mes achats n'y coupent pas.

Pendant ce temps là, maman m'a changé en me mettant un insert dans ma couche, même si je ne savais pas le nom que ça portait. Ni même ce que c'était, à vrais dire...

- Et je viens donc juste de rentrer, moins de 10 minutes avant toi.
- Et c'est pour te faire pardonner de l'avoir agressé que tu leurs as acheté tous ces objets.
- ... (je blanchi) Seulement pour la, humm, Barboteuse et le bavoir. Le reste, je l'aurais achetée de toute façon.
- As-tu toujours le ticket de caisse ? Je te paye les habits.
- Dans ma sacoche.

Elle a refermé mon body et m'a mise par terre, d'où je vais chercher ma sacoche (debout, il ne faut pas exagérer).

Mais l'insert a assez augmenté l'épaisseur pour que j'ai une « démarche de Cow-Boy » comme on dit.

Ce qui fait que je suis à deux doigts de me casser la figure quand je reviens voir ma mère et qu'elle me met une petite claque aux fesses...

- Tsu me padonne ? (j'ai repris ma suce)
- Seulement si tu me retires ça pour me parler.
- Messi... ( je garde ma suce )

Et on se fait un gros câlin, jusqu'à ce que maman annonce qu'elle va faire à manger parce qu'elle à faim. Je file dans ma chambre, doudou serré dans mon bras gauche, et lis jusqu'au dîner.

45 minutes plus tard...

Maman m'appelle pour manger, Et je vien en courant, tétine en bouche et doudou en main parce que je les ai encore oubliés.

Le truc pas prévue, c'est qu'elle m'attend avec un bavoir dans les mains et un biberon sur la table. Ainsi qu'une chaise haute. Elle l'a sorti le de son chapeau ?

- Je suis aller dans le même magasin, en me présentant comme ta mère. J'ai eu donc accès à ta carte. Et j'en ai profité pour faire quelques achats. Comme ça, par exemple.

Elle me montre une assiette de bébé en plastique, avec une drôle de fourchettes, plutôt une cuillère avec 3 dents au bout. Tout en plastique pour faire bonne mesure.

Se fout-elle de moi ? Ce n'est pas parce que j'aime bien tout ces trucs de bébé que je ne sait plus manger, quand-même !

- Aller, viens, je vais te mettre dans ta nouvelle chaise.

Son ton n'accepterait aucune répartie sous peine de se prendre une baffe dont je me souviendrai longtemps.

Alors je m'exécute, elle me met dans la chaise haute. Elle en profite même pour me mettre le bavoir que j'avais acheter. Et si ce n'est pas suffisant, elle m'attache avec les sangles.

Et me donne le biberons d'eau pour couronner le tout.

Quand je vois ce qu'elle rapporte dans les assiettes, je manque de crier au scandale avant de me rappeler ma condition.

Et de me rendre compte que j'ai mouillée ma couche, comme si ça ne suffisait pas. J'espère au moin pouvoir manger toute seul...

- Bonne appétit bébé !
- Merci, à toi aussi...

Pour ceux qui ce demande pourquoi je n'ai rien dis, je vous le donne en mille :

J'aurais fait pire que mieux. Si j'aurais rouspetée, non seulement j'aurais quand même eu de la bouillie de jambons-patates-carottes, mais je met ma main à couper que maman me l'aurais donner à la petite cuillère...

Et aurais bien été capable d'utiliser sa breloque de paralysie de je sais plus quoi pour m'attacher les mains dans le dos ou à la chaise (elle a des sangles au niveau des pied, plus un bracelet dont je vous laisse deviner l'utilité)

Et vu que j'ai déjà lu beaucoup d'histoire de bondage et autre torture ABDL (oui, je sait ce que ça veux dire), je vous assure que j'ai aucune envie de subire ces trucs, encore moin par ma mère.

Même si j'avoue que j'aurais bien eu envie d'une part de tarte aux poireaux comme elles. LE PREMIER QUI SE MOQUE DE MES GOÛT ALIMENTAIRE SE PREND UN COUP DE GRIFFE !!

Et c'est ma tétine autour du cou, mon doudou sur le côté et le biberon en main que je termine de manger. Oui, j'ai un ruban pour attacher ma tétine.

Les autres attaches sont trop petits, ils ne tiennent pas et tire sur mon T-shir. Je n'ai plus qu'à regarder maman terminer elle aussi de manger.

- Merci de ne pas m'avoir nourri tout de même, maman.
- J'y avais pensée mais me suis dis que tu n'aimerais pas subire ça en plus du reste. Et comme tu détestais déjà être nourris par d'autre en étant bébé, je me suis dis que ça n'a pas dû beaucoup évolué.

Je prend ma suce et attend qu'elle ramène le dessert auquel je ne couperait pas. Soit 2 pot de petits suisses, alors que je n'aime pas les yaourts (je me rend alors compte qu'elle ne le sait peut-être pas).

J'évite toujours de me rebiffer, sous peine de voir mon état aggravé.

- Aller laisse-toi faire et ouvre quête la bouche quand je te le dis.
- Non !
- Pourquoi ça, non ? Tu aurais dû réfléchir avant de t'acheter ces trucs de bébé. Et effacer ton historique internet, aussi. Tu pense que je ne le savais pas ? Tu as déjà oublié plusieurs fois de fermer la page de ton site, ABK1GDOM (mal prononcé à la française). Je ne sais même pas comment le prononcer tellement c'est illisible ! Mais ce site est un ramassis de personnes extrèmement peut fréquentable, plus loufoque les unes que les autres pour la plupart.

Je manque de défaillire. Puis d'exploser de rire. Comment fait-elle pour ne pas voir sa propre ambiguïté ? Et là, je sent que je n'ai plus le contrôle de mes membres.

Elle à VRAIMENT utilisée sa breloque magique de paralysie ?! Et voilà qu'elle m'attache les mains dans ces bracelet de force.

Et comme ça n'avais pas l'air de suffir, elle me met des gros gant bizarres que je soupçonne d'être des mitaines de forces.

Avec en plus des attaches, comme pour l'escalade pour s'accrocher aux cordes. Je sent que je ne vais pas aimé ces trucs, moi...
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Voilà pour se chapitre j'espère que l'histoire continue de vous plaire de mon côté sorti de la dentiste et se coup-ci j'espère ne pas avoir besoin d'y retourner avant un an... En attendant je douille. Aller sur ce bonne journée et lecture ^^