CHAPITRE 26 Que le rêve continue et parte en sucette ! (d'où le titre)

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- EEH CHEF !
- Gggrrrhah... Oui, quoi ?
- Désolé de vous déranger, mais - gloups - on à trouvée ça, qui essayait de rentrer en fraude.
- Humm ? Ah oui, merci. On ira dans mon bureau pour voir, après les matchs. En attendant, ligotez-la, bâillonnez-là, et foutez-là moi dans un coin près de mon bureau.

Je ne peut même pas lui dire que c'est déjà fait, pour le bâillon. Ni pour les mains dans le dos. Mais ce tigre gros plein d'soupe et de fric n'a même pas tournée la tête vers moi.

Mais de quel matchs il parle ? Peut-être de ceux que j'avais entendu avant de me faire assommer.

Assommer sacrément fort, en plus ! Je ne vois plus rien de l'œil droit, mon bras du même côté fait un drôle d'angle au niveau de l'épaule et ils m'ont fait me tordre le pied assez violement pour me faire une entorse.
Mais je suis toujours en vie, et c'est le principal.

Bon, par contre, pour s'en sortir, c'est une autre histoire.

Ils m'ont balancée dans un cagibi assez restreint, où je ne pourrai pas écarter les bras, même s'ils n'étaient pas attachés ensemble. Ils ont aussi sortis une muselière du fond d'un de leur tiroir, mais pour ça, je peut toujours me métamorphoser.

Pour les bras, je ne peut pas tirer dessus, je vais juste me faire mal, et je suppose qu'ils savent faire des nœuds. Alors y a plus qu'à les dénouer ! Après une métamorphose, et avec des doigts, c'est quand-même plus facile... même si ça fait super mal.

Je sort, en laissant tout leurs Bronx derrière moi mais en prenant un balai, pour en retrouver un juste devant la porte du bureau de leur chef. Sauf qu'il est tout seul, qu'il bug en me voyant humaine, et que je peut l'assommer avec le vieux balai.

Je retourne chercher la corde, lui attache les mains dans le dos, prend du scotch dans le bureau et renforce tout les liens, en n'oubliant pas de lui scotcher la gueule (c'est le gorille).

Ma jambe me fait moin souffrir en humaine, sûrement une simple foulure. Par contre, mon bras droit ne veux plus bouger au dessus de l'épaule sans me retenir de hurler de douleur.

Et m'a couche qui n'est plus adapté à ma morphologie et qui se met à fuir sur mes jambes, ça non plus c'est pas cool.

Bon. Je peut me consoler en me disant que la sortie n'est pas trop loin... Peut-être... Éventuellement... PARCE QUE C'EST UN LABYRINTHE CE TRUC !! Je me retrouve, après beaucoup de chemin (Et une métamorphose complète en animale pour la couche) dans un couloir ou j'entends une clameur au bout. Je ne m'y précipite pas, me disant que ça doit être l'entrée du stade que j'entendais de dehors, mais...

- Ah, merci de prendre ma place, toi ! J'ai trop la trouille...

C'était une furrie de taureau, habiller de la même manière qu'un boxeur mais sans les gants. Et par dessus la clameur, une voie emplifiée par beaucoup de haut parleur hurle :

- Ah, notre concurrent à laisser sa place à un invité surprise, pour défier le champion. Avais-t-il la trouille ? Et notre nouveau chalengeur se sentira-t-il à la hauteur ?

Non... Mais une grille s'est refermée derrière moi, coupant ma dernière voie de retraite. Bon bah quand faut y aller, faut y aller !

En passant, je crois que mon épaule démise s'est remise, après ces métamorphose. Pratique. Surtout sachant que je vais devoir faire un match d'un sport inconnu.

Je me fait éblouir par les projecteurs et assourdir par la foule. Je manque de m'évanouir. Quand soudain je n'entend plus rien, et que la lumière se tamise, je respire à nouveau. Sauf que les spots sont toujours allumé, et les spectateurs s'égosillent toujours.
Bon, je cherche plus à comprendre mes pouvoirs, je vais avoir la migraine.

- EEEEH !! Venez choisir votre arme pour ce duel.
- O-OK...

Une loutre se tien derrière une table ou trône un nombre incalculable d'armes différentes. Il y à de tout, de l'épée à deux mains gigantesques qui ne doit pas être maniable pour deux clou aux dagues de moin de 10 cm de long en passant par des point américain et des kunaï attacher à une chaîne. Il n'y à pas d'armes de jet, par contre.

Mon choix se pose sur la sortie, mais celle-ci est toujours bloqué. Alors je regarde mon adversaire, qui à choisi un marteau dont sa tête est plus gros que mon torse. Puis je regarde l'arène, ou plutôt la cage qui en fera office.
Ne sachant pas si il y à une limite, je ne prend que 2 sabre relativement cour et un des Kunaï-chaîne (voir Yu-Gi-Oh pour la réf). Même si ce n'est pas une excuse, je lis beaucoup, livres comme manga, et j'ai aussi regarder quelques vidéos sur les armes (« 6 mensonges sur les épées » de Trash, et la suite).

Ça ne fait pas de moi une bonne manieuse d'arme, mais solitaire comme je suis, je parle toute seul en m'imaginant être intégrée dans les histoires que j'ai lu. Ce qui fait que je sais que même un ours ne peut pas être rapide avec un marteau de cette taille.

- Vous savez que vous pouvez prendre jusqu'à 1200 ?
- 1200 ? Mais 1200 quoi ?
- Points, bien sûr ! C'est noté juste à côté de la place qu'occupais l'arme. Là vous êtes à même pas 600.
- Vous verrez bien comment je vais m'en sortir.

Je vérifie les « prix » des armes, me rend compte que les sabrer que j'ai pris sont à 130 chacun, et que je pourrais si je veux me prendre asser d'arme pour mener une guerre.
Je ne prend rien de plus, préférant tabler sur la vitesse.

- ATTENTION, LA CHALLENGEUSE SE LIMITE À 510 POINTS !! EST-ELLE FOLLE, PRÉTENTIEUSE OU JUSTE INCONTIENTE ?!

Non, c'est un semblant de stratégie. Je rentre sur le ring, les sabres dans leurs fourreaux à ma ceinture (un de chaque côté) et le Kunaï-chaîne dans la main.

DRRRRIIIIIIIIIIING !!!!!

- ET C'EST PARTI !
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Voilà pour cette suite désolé j'ai posté avec un peu de retard sur mes prévisions mais voilà quand-même la suite ^^

Si je trouve le temps demain je posterai un chapitre de louis on verra. Sinon les corrections pour les anciens chapitre de je suis un bébé 2 avance a bon rythme.

Sûr ce bonne nuit et bonne lecture

Une enuretique qui part en sucetteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant