Chapitre 5

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Remise en question

Grace hurla de toute ses forces, cette jeune femme avait honte, sa vertue avait été bafoué par un sauvage, elle était dans un état de panique, elle criait si fort que tous les occupants du bateau avaient été réveillés par ses cris.

Alrik quant à lui regardait d’un air amusé la jeune anglaise, il décida de pousser la jeune femme à ses limites en se levant nus sans aucune pudeur pour la femme avec lequel il avait passé la nuit.

Grace avait encore plus hurlé en serrant la couverture contre elle tandis que le chef viking avait prit son temps pour se rhabiller. La jeune anglaise avait fermé les yeux en attendant que ce sauvage disparaisse de la pièce avant de chercher un accoutrement moins indécent.

Lorsqu’elle entendit la porte claqué, Grace ouvrit les yeux, regarda autour d’elle afin de vérifier si le chef viking avait quitté la pièce puis se leva à son tour afin de trouver de quoi se couvrir.

La fille de Sir Nicolas se leva du lit tout en cherchant de quoi bloquer la porte. Une chaise en bois qui se trouvait près d’une table sur laquelle était posé  des cartes maritimes ainsi qu’un compas .La jeune femme utilisa la chaise afin de bloquer la porte puis elle se mit à cogiter sur son passé.

-Pourquoi j’ai été si bête? j’aurai dû quant il était encore temps perdre cette vertue, chose affreuse que je n’aurai jamais pensé le dire un jour mais ici je ne suis même pas sur de la garder. Ils vont sans doute me donner à un bordel afin que je devienne une fille de joie, l’horreur, ces sauvages,  j’en n’ai des frissons. j’aurai du aller dans les bras du duc Straplocks quand j’ai eu cette opportunité, il est peut être âgé de la cinquantaine mais au moins donner ma fleur à un homme de mon rang et de mon royaume est pour moi moins honteux que de le faire avec ces animaux.
Si j’avais aussi plus profité de la vie, si j’avais été moins ronde à ce jour je suis sur que je me serai trouvé un époux bon et financièrement parlant très riche, j’aurai été chez moi lors de l’arrivé de ces sauvages au domaine de père. 
Mais bon il faut que j’essaie de me ressaisir  afin de faire face à cette réalité, je suis ronde, dans la société dans laquelle je suis issus, il ne suffit pas d’avoir un bon coeur et être intelligente afin d’attirer un homme d’une bonne castre social. Le physique mais aussi la richesse et réputation de la famille est  quelque chose de primordial.   Pensa Grace

La jeune anglaise s'apitoyait sur son sort alors que Alrik lui se dirigeait vers la cabine du capitaine du navire.  

Le viking avait une idée en tête et comptait bien la réaliser, Grace était pour lui une jeune femme intrigante et très singulière. Mise à part le peuple de petite taille, Alrik n’avait jamais vu une femme comme cette anglaise, elle était ronde, pas très haute et semblait peureuse mais pour son cheval il avait vu dans ses yeux du courage et beaucoup d’affection.

Cette jeune femme le craignait et pourtant pour son cheval elle était prête à lui faire face, elle était très pâle et bien entendu il avait pu remarquer cette poitrine aussi gros qu’un melon ce qu’il ne pouvait pas dire de son postérieur. En effet, lorsqu’il l’avait sauvé, le viking l’avait déshabiller afin qu’elle n’attarpe pas une pneumonie et avait pu admirer le corps de la jeune femme sous toute ses coutures. Il avait été étonné par cette poitrine pas si importante par rapport à ce postérieur rond, ses poignées d’amour et ce ventre rond, mais aussi par les grain de beauté situé un peu partout sur le corps de Grace.

La femme chez eux étaient comme lui et ses frères mais en version féminine. Haute, le corps musclé, de long cheveux brun, blond, ou roux, une couleur un peu mate, les yeux marrons foncé et pour ne pas oublier elles étaient plus libre  et autonome que ces anglaises.

-Chef, nous n’allons pas tarder à arriver au royaume! informa le capitaine du bateau à, Alrik.

Ce dernier sortit de ses pensées puis secoua la tête avant d’ordonner au capitaine du bateau les dernières recommandations.

Grace et le vikingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant