Chapitre Six : For The Queen.

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( j'aimerais ouvrir une parenthèse avant de commencer, je vais à partir de ce chapitre, déjà améliorer mon écriture, mais aussi rendre plus intéressant les combats. Voilà, bonne lecture et merci de lire La Reine Pécheresse )

Une ombre planait sur Elisabeth. Sa taille était immense, au moins plus de deux mètres. Enfin, ce qui effrayait Elisabeth c'était surtout le fait qu'une silhouette soit assez grande pour cacher la lumière, en étant aussi proche.

Le marin, lui était à terre en train de poser la main sur sa joue. Mais il la retira aussitôt au moment ou il vit que ses dents lui coupait la main.
C'est grâce à celà qu'elle compris le fonctionnement du stand, enfin, qui ne l'aurait pas compris ?
Mais elle devait s'assurer d'une chose avant.
C'est alors qu'elle se leva, Elisabeth eu une étrange sensation : plus de peur, plus de remord, plus de doute. Elle avait vu quelque chose dans les yeux de l'homme, quelque chose qui l'intriguait.
Elle pointa son oeil avec son index et prit la parole :

«- Dites moi, dans vos yeux, il y a quelque chose de curieux.

- ...

- Vous êtes bien silencieux.

- De toute façon vous allez mourir alors, à quoi bon demander ? Vous Elisabeth, de votre nom complet, Elisabeth Victoria III, êtes un danger pour ma patrie.

Il l'avait dit avec un regard très sérieux, sa voix grave était rustre, il avait comme un accent nordique.

«- Et bien, vous êtes bien aimable quand vous voulez. »

Elisabeth semblait être différente, un côté beaucoup plus agressif et sarcastique. Non. Ce n'était plus Elisabeth, c'était une guerrière.

«- Vu votre gabarit et votre charisme, vous êtes entraîné. On dirait un chevalier, que dis-je, un gladiateur, une légende. Mais justement. Voici votre point faible. Je viens de remarquer une chose ; dit la reine en tapotant sa tempe avec son doigt; quand j'ai poussé la poignée, j'étais de face. Quand Johnny s'est appuyé sur le meuble, une robe est apparue comme par hasard pour le faire se retourner pile à ce moment.»

Elisabeth le pointa du doigt :

«- Vous avez un sens de l'honneur, vous êtes un fier combattant Rhapsodia !

- Comment venez vous de m'appeler ? Rhapsodia ? Comme le chant de légende. Me voilà fort flatté»

Elisabeth marmonna un "pff, blaireau" avant de donner un coup de poing dans la joue du marin. Ses dents volèrent au visage de Rhapsodia, le tranchant.

«- Urgh !

- Dans l'art de la stratégie la duperie fonctionne toujours. »

Le bandage d'Elisabeth fût détruit mais sa main demeura intacte. Elisabeth eut un sourire en coin.

« - J'ai compris ton stand : quand tu piège un objet, tu n'es pas immunisé par celui-ci. Et je peux voir à ma main intacte , enfin presque, que c'est la partie en contact qui est déchirée. Je l'ai vu pour Johnny également, sa botte c'est déchiré et non son pied. Et maintenant que je sais ça, ce sera un jeu d'enfant.

- Alors, en garde !»

Rhapsodia sortit son stand. Contrairement à son manieur, il n'était pas immense, et faisait même une demi-tête de moins qu'Elizabeth ( qui fait un mètre quatre-vingt je le précise ).
Il était vert, brillant comme de l'émeraude. Il portait une sorte d'armure ornée de pierres rose, comme ses yeux. Il portait une cape lourde tombant jusqu'à ses bottes.

«- Puisque vous avez trouvé l'abilité de mon stand, laissez moi vous présenter ce preux guerrier.»

Le stand tendit sa main ouverte vers le ciel, collé à sa tête, paume vers l'extérieur. Ensuite il laissa son bras gauche le long de son corps, en se courbant légèrement.

« - [ E m e r a l d S w o r d ] !»

Le stand resta calme, bien qu'imbibé d'une certaine prestance.

« - Et bien, qu'attendez vous pour me présenter le vôtre ma Reine ? Si vous pouvez voir Emerald Sword, c'est que vous avez un stand.

- Effectivement, j'ai un stand à ce qui paraît, stand, je t'invoque !»

Elle prit la même pose que le stand de Rhapsodia, qui le regarda, bizarrement.

«- Ore...? J'ai dit stand je t'invoque !»

Le sketch dura encore quelques secondes avant qu'un stand daigne apparaître.
Il ressemblait à un prisonnier, un prisonnier serti d'ancres. Un stand étant le reflet de l'âme, on pouvait facilement deviner qu'il représentait le sentiment d'insécurité d'Elisabeth. Ses péchés étaient sûrement les ancres. Elisabeth le scruta d'avantage. Elle vit "⚓een", gravé sur son torse.

« - Et bien Rhapsodia, voici mon stand, [W e e n] ! »

Les deux stands avancèrent l'un vers l'autre, la tension se faisait grande. On dit souvent que le premier coup apporte la victoire. Les deux guerriers se regardaient dans les yeux. Leur regard était tel qu'il donnèrent l'impression de geler la pièce, comme un vent nordique.

C'est alors Ween qui porta le premier coup, un coup de pied. Il était lancé avec une grande force, force qui créa un courant d'air. Emerald Sword para le coup en planta sa main dans Ween.
Les deux stand reculèrent :
le duel venait de commencer.

 Les deux stand reculèrent : le duel venait de commencer

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