J’ignore toujours par ou sommes-nous passés ensuite pour atterrir au garage.
Mais à peine avions-nous franchit le seuil du garage, elle me teint par la ceinture qu’elle défit d’un geste rapide et subtile.
Et comme j’avais deviné qu’elle allait ensuite plonger ses mains douces dans mon pantalon, je retiens ses bras, les plaquas de manière entrecroisée sur le bas de son dos, juste en dessous de son joli cul bien ferme et en mordillant tendrement son oreille, je chuchotais :
Moi aussi mes doigts me démangent d’impatience d’être à l’intérieur de toi. Mais allons-y en douceur poupée, je veux que tu prennes du plaisir, lâches d’abord prise !Ensuite je la relâche juste l’instant qu’elle se défit de son foulard, avant de l’attirer de nouveau vers moi avec tendresse et fermeté, caressant son visage, alors que mon regard ne lâchait point ses yeux, en promenant un doigt sur sa bouche.
« Regarde-moi ! »
Elle lève d’un regard coquette ses paupières en me fixant. Dans la luxure de ses yeux nimbée de désirs, je vis que son envie s’intensifiait de plus en plus.
Et commençait alors ce moment crucial et délicieux où nos lèvres s’unirent, je déposais de tendres baisers muets sur ses paupières, ses oreilles, dans son cou, tout en effleurant sa nuque et ses cheveux.
Je plongeais de nouveau mes yeux dans son regard et je dis :
La luxure de tes yeux est tellement envoutante que je pourrais m’y perdre pour l’éternité.
J’ai juste envie que tu m’embrasses tout le corps, répliquait-elle, en laissant tomber sa robe.
Je venais alors déposer de baisers furtifs sur son visage, ses épaules, sur tout ce qui s'offrait à mon regard, ses clavicules, sa nuque, la paume de ses mains, ses poignets, je l’embrassais partout et par tout le corps en quittant sa nombril, semant de petits et discrets baisers en remontant le long de son plat ventre, tâtonnant ses seins pleines avec ma langue.Elle me serra tellement fort entre ses seins, que j’eus l’impression que j’allais m’étouffer.
Mais quand elle sentit ma main s’activer de plus en plus aux rebords de son entrejambe, elle serra furieusement les cuisses, d’un geste tellement sexy, comme si elle eut peur que le plaisir ne s’échappe de par ses cuisses sans pantalon.
Ensuite elle me prit les mains, les entrecroisa au-dessus de ma tête en les maintenant avec un bras. Elle laissa l’autre main glisser avec lenteur et douceur, en longeant le large de ma poitrine, de mes abdomens jusqu’à mon barquette.
Quand je sentis sa paume froide d’une sensualité doucereuse glisser dans mon pantalon, je reculais machinalement pour m’adosser quelque part, mais je trébuchais sur ma ceinture et tombais sur la voiture.
Ensuite l’alarme se déclencha automatiquement.
Pris par panique, nous nous revêtîmes aussitôt par de gestes rapides et précis avant de nous enfuir en des poufs de rire vers le balcon.
Elle m’accapara complètement pendant tout le reste de la soirée, m’entraîna dans la foule, me fit danser bon gré mal gré. Elle me fit sauter éperdument jusqu’à la limite de mon haleine.
Elle était d’une souplesse féline. Les gars ; ravis, le contemplaient d’un œil subjugué. Les filles voulaient toutes danser comme elle, en cherchant à l’imiter.
Elle se mit à bondir, à se déhanchée, à bouger sa silhouette d’une élégance aguichante, à s’éclater comme une possédée.
Elle s’appelait Zeyna. C’était vraiment une ravissante demoiselle, du type bien en forme, hardie et verbeuse ; mais vraiment superbe.
Sur le chemin du retour, nous l’avions d’abord raccompagné jusqu’à chez elle, Aïcha et moi, avant de rentrer.Ensuite tous les soirs, pendant neuf jours successifs, j’allais toquer à la fenêtre de sa chambre, où sur la grille, je la parlais d’amour en lui contant mes histoires à la con, juste pour qu’elle me file son numéro.
Chaque soir durant neuf nuits qui se suivaient mais sans jamais se ressembler, je venais d’un cœur gai la faire rire et chaque soir j’avais droit à seulement un chiffre de son numéro de téléphone.
Voilà comment j'ai connu Zeyna, de manière un peu ramassée mais c'est ça.
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Symptômes amoureux
RomanceRésumé Ils s'appellent Bachir et Sohna; et ils sont amoureux. L'un est infecté du COVID-19 et va mourir, l'autre est immunisé et va l'accompagné vers son lit de mort. Ils vont se mettre en quarantaine en se réfugiant dans une île, à l'abris de tou...