Chapitre 31

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-Je pensais que tu m'aurais accueilli comme tu savais si bien le faire avant. 

   -Qu'est ce que tu fais là ? Lui demandais-je

-Comment t'es entré ?

-Ahah, ça, c'est mon secret.

-Sors d'ici, je pensais que ce qui t'était arrivé la dernière fois t'avait suffi, mais à ce que je vois non.

-Ma petite Ellie, si je suis la ce n'est pas pour tes beaux yeux quoique. Me dit-il en s'avançant vers moi.

-T'approches pas Julian. Lui dis-je

-Tu me manques bébé.

-Et toi tu me dégoûtes.

Il me gifla, m'empoigna le cou et me poussa vers la porte. Je m'écroulai par terre et Julian s'accroupit en face de moi et attrapa mon menton.

-Ellie, Ellie, je vois que tu as pris du galon depuis le temps mais n'oublie pas que je suis toujours au-dessus de toi.

-Lâches moi. Lui crachais-je en secouant ma tête pour qu'il enlève sa main de mon visage.

Il me sourit, d'un sourire tout sauf rassurant, il m'attrapa les bras et me releva d'un coup.

-Allons faire un petit tour, j'en connais un qui sera ravis de nous voir ensemble ;

-Et  tu crois toujours que je vais revenir vers toi alors que tu n'as pas  changé, me frapper pour aucune raison et après croire que je vais tout  te pardonner.

Il me poussa en dehors de ma maison, j'essayai de m'échapper, mais il me tenait fortement.

-Tu craqueras, je sais que tu m'aimes toujours. Insista-t-il.

-C'est dans tes rêves ça Julian, t'es plus rien pour moi et tu ne seras jamais quelque chose à mes yeux.

-Pourtant un premier amour ça ne s'oublie pas. Me dit-il en me poussant dans sa voiture.

Il s'installa à son tour dans sa voiture et verrouilla directement les portes.

-Qu'est ce que tu veux ? Lui demandais-je en ayant marre de son comportement.

-Me venger. Me dit-il sadiquement.

-Et moi dans tous ça, j'y suis pourquoi, je ne sais même pas ce que vous fabriquez et je suis dans vos putains d'histoires.

-Calme chérie...

-Je ne suis pas ta chérie. Répondis-je du tac au tac ne lui laissant pas le temps de finir sa phrase.

Il me lança un regard noir et sa main attrapa ma cuisse.

-Recoupe moi la parole encore une seule fois et je découpe ta cuisse en rondelle. Me menace-t-il en resserrant sa prise sur ma cuisse au point de me faire mal.

Je fis une grimace de douleur et lui rigola en me voyant faire.

-C'est que le début.

Je le regardais de travers encore plus qu'avant. Je remarquai qu'il prenait la route en direction de l'hôpital.

-On va faire une petite escale avant l'hôpital ma belle.

-Arr.....

Un chiffon m'arriva en pleine tête et une forte odeur m'enivra. Je me sentis partir dans les bras de morphée.

Je me réveillai dans une pièce grise, mes mains et pied accrochés à la chaise où je me trouvais assise.

-C'est pas trop tôt. Intervint une voix.

A coeur ouvert réécriture Où les histoires vivent. Découvrez maintenant