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Aujourd'hui, mon oncle m'a donné pour mission de m'occuper des chevaux et de l'extérieur de la propriété. J'étais donc sur le chemin menant aux écuries, un panier rempli de pommes et de carottes dans une main et dans l'autre j'avais un petit sac où il y avait les brosses des chevaux.
Je m'approchai de Lionel, un grand cheval noir à la soyeuse crinière couleur ténèbres, je commençai à caresser son doux poil. J'étais dans mes pensées, j'adorais m'occuper des chevaux.
(t/p) : - Aaah Lionel, toujours aussi doux, je ne sais pas comment tu fais ! Je n'ai même pas besoin de te brosser ! Je te donne 3 carottes aujourd'hui, les récoltes ce sont amincies à cause de l'hiver, désolé tu devras manger plus de foin. Dis-moi où est ton frère, maintenant ! Dis-je à voix haute comme s'il me comprenait.
Suite à mes paroles, un cheval blanc à la crinière couleur crème apparu. Il se nomme Artémis, un grand timide mais tout aussi calme et gentil que son frère. Ses deux chevaux sont de couleurs complètement différentes mais sont adorables.
(t/p) : - Te voilà enfin Artémis ! Dis-je en riant et en caressant le timide.
(???) : - Cela est bien beau de parler au chevaux, mais les fleurs ne vont pas attendre la pluie pour tes beaux yeux ma chère.
« Je reconnais cette voixcette voix froide et hautaine Milena. »
(t/p) : - Oui, je finissais juste de les brosser, excusez-moiDis-je dune voix basse.
Milena : - Je l'espère bien ! Nous avons des invités dans 1h et il est hors de question que tu restes au domaine. Dit-elle en partant.
Comme d'habitude, je ne dois pas voir les invités et eux non plus. Aux yeux de cette femme, je dois disparaître ou plutôt je dois faire comme si je n'ai jamais existé. Je suis réduite à une sorte de servante qui a quelques privilèges, enfin j'avais des privilèges. Maintenant, je dors plus au Manoir, car soi-disant ma présence empêche Milena de dormir par peur que « je l'assassine cruellement comme mes pauvres parents ». J'en ai marre de cette vie, on me pourrit mes journées, heureusement que j'ai une amie qui elle ne m'a jamais lâchée, Margareth. Au moins, quand je vais chez elle, j'existe et je suis moi, elle est mon seul vrai refuge.
Eclipse de 2h
Je sonnai chez Margaret, j'étais vraiment pressée de la revoir ça faisait si longtemps qu'on ne s'était pas vues. La porte s'ouvrit sous le regard émerveillé de la petite rousse aux yeux cyan qui n'hésita pas à s'avancer vers moi pour me prendre dans ses bras.
Margaret : - (t/p) ! Enfin ! Cela fait si longtemps. Dit-elle en me serrant contre elle.
(t/p) : - Haha oui je sais. Dis-je en souriant.
Elle m'entraîna avec elle dans son manoir et m'emmena près dune cheminée dans son petit salon.
Margaret : - Installes-toi, n'aies craintes je suis seule chez moi, mes parents sont partis en expédition. Dit-elle en me servant un thé.
(t/p) : - Merci, je ne saurai quoi faire sans toi. On m'a encore mise à la porte à cause des invitésje vais finir par croire qu'on me prépare à finir à la rue. Dis-je en marmonnant.
Margaret : - Cette Milena manipule bien ton parrain lui qui t'aimait tant auparavant. Mais, tu le sais, ma porte restera toujours ouverte pour toi. Enfin, ma future porteelle ne pût finir sa phrase que je linterrompu.
(t/p) : Oh ! Christopher t'a enfin demandé en mariage ! Mexclamai-je.
Margaret : - Non, tu te trompes (t/p), ce n'est pas à Christopher Astrélis que je suis promise elle soupira Mais à un comte Français.
(t/p) : - Pourquoi ?! Il me semblait que tes parents étaient d'accord pour que vous vous mariez. Dis-je déçue.
Margaret : - Avant oui, mais depuis qu'ils ont reçu la lettre de ce comte qui apparemment possède une fortune extravagante. Ils ont changé davis et je n'y peux rien malheureusement. Dit-elle dans un profond soupir.
(t/p) : - Mais, tes parents sont prêts à t'envoyer en France juste pour valoriser la famille ?! Tu ne peux pas le laisser, il le sait au moins ?
Margaret : - Ma chère (t/p) elle inspira fortement nous les femmes nous sommes destinées à donner plus de valeur à nos familles par nos atouts et nos charmes, destinées à donner un héritier à nos maris. Nous sommes nées les poings et les pieds liés, tu le sais très bien, la société et la noblesse le demandent. Je ne veux pas salir mon nom, ni finir à la rue en tant qu'esclave sexuelle ou je ne sais quoi. Dit-elle dun ton lourd et grave dun regard figé sur le sol.
Je fus bouche bée cela faisait au moins 6 mois que je ne l'avais pas vu, la Margaret d'il y a 6 mois voulait se battre pour sa liberté. Qu'est-ce que ses parents ont bien pu faire, pour lui donner des idées pareilles ?
Je m'en veux de lui avoir fait sortir cette mauvaise nouvelle il faut que je lui change les idées.
(t/p) : - Bon passons ! Ce soir, nous allons au restaurant et j'insiste davance je t'y invite ! Dis-je en lui prenant la main et en lui relevant délicatement la tête.
Eclipse jusqu'au soir
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Lien d'un Coeur
FanfictionMoriarty The Patriot : Louis James Moriarty x Reader t/p : Ton prénom t/n : Ton nom l/c: Longueur des cheveux c/c : Couleur de cheveux c/y : Couleur des yeux Tu es de la famille (t/n), tes parents avaient de revenus modestes. Ton père gérait une bou...