CHAPITRE 26: Un Espoir.

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Revenons en arrière.

PDV Louis James Moriarty

Nous étions arrivé au domaine de Ferdinand (t/n) et de sa femme. Je regardais le manoir, il était majestueux. Je n'arrivais pas à croire que sa famille était aussi riche et puissante. Hélas, (t/p), elle n'a pas pu profiter de ça, au du moins pas longtemps. "C'est donc ici que l'enfer a commencé" pensai-je en regardant les environs.
Quelques gardes surveillaient le domaine ainsi que la porte d'entrée. Vu d'ici, on pourrait croire que tout vas bien dans cette demeure.

William: - Louis, on y va ? Dit-il en me fixant.

Louis: - Hum oui, j'étais perdu dans mes pensées. Pardonnes-moi.

William: - Ne t'inquiètes pas nous la retrouverons, ne te tortures pas l'esprit. Rappelles-toi qui nous sommes. Dit-il en posant sa main sur mon épaule.

J'acquiesça, il n'avait pas tord jusque là nous avions réussi à retourner les situations à notre profit même dans les instants les plus délicats, je ne réfléchissa pas plus longtemps et parti avec lui vers l'entrée, déterminé à retrouver celle qui fait battre fortement mon coeur et qui m'a ouvert les yeux sur ma personne.
Nous étions prêts à nous battre pour que justice soit faite et que (t/p) soit enfin libre des chaînes qui l'a retienne à sa famille ainsi qu'à un passé tragique.
Bizarrement les gardes refusaient l'accès au domaine, je pouvais voir dans le regard de certains d'entre eux qu'ils savaient ce qu'il se passait dans ce manoir.
William me regarda, on devait attaquer et vite. Je lui finis signe que j'étais prêt et nous nous élançons sur les hommes.
J'étais plus que déterminé à les tuer, c'était comme si j'avais libéré une bête en ragée de sa cage. Je me sentais comme invisible quand il s'agissait de la protection de (t/p). William, lui avait profité du combat pour forcer la porte d'entrée.
Ma dague passait de corps en corps, elle était comme liée à mon corps. Je tuais sans m'arrêter.
Après de longue minutes à me battre avec William, les derniers gardes nous on laissé passer. Nous avons à peine eu le temps d'ouvrir qu'un homme se jeta sur nous, c'était le parrain de (t/p).

Ferdinand: - Par pitié, sauvez (t/p) de la folie meurtrière de Milena. Dit-il en nous suppliant.

William: - Où est-elle ?

L'homme nous amena vers une porte qui menait à sous sol. Cela n'annonçait rien de bon. Il sortit une clef de sa poche et tenta de déverrouiller d'une main tremblante la porte, je lui fis signe de reculer et força la porte d'un coup net et puissant.
De là où nous étions nous pouvions entendre une femme parler, je regarda William, il avait l'air d'avoir eu un déclic.

Louis: - William, tu vas bien ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Dis-je inquiet.

William: - Je crois avoir compris, je sais enfin ce que (t/p) à découvert en venant ici. Dit-il d'un ton froid.

Louis: - Ne perdons pas plus de temps ! Dis-je en partant en courant vers le sous sol.

Plus nous descendions, plus j'avais l'impression de descendre en enfer. L'atmosphère était lourde, l'air humide et froid, l'obscurité était de plus en plus présente. Seules quelques bougies éclairaient le passage.
Une fois en bas, une scène horrifiante s'offrit à nous. Le corps de la jeune (c/c) pendait sous les chaînes, scarifié par les atrocités de sa famille, je pouvais entendre un faible souffle résonner, j'étais tétanisé par cette vision. La femme qui était devant nous était Milena, elle ne se retourna pas et se jeta sur (t/p). William prit son couteau et rattrapa Milena de justesse, il la tua d'un coup de lame net et précis, son corps tomba au sol.

Louis: - (t/p) ! Hurlai-je.

William se jeta sur les chaînes pour détacher (t/p), son corps paraissait inerte et mort. Mon coeur se serra et mon esprit pria pour qu'elle n'ait pas succombée à ses blessures. Une fois libre de ses chaînes, ses jambes ne résistèrent point et elle tomba, je la rattrapa contre moi.
Ses yeux étaient fermés, laissant tomber quelques larmes sous un léger sourire.

William: - Elle, hum, elle est en vie ? Dit-il hésitant.

Louis: - Je je je ne sais pas, je n'arrive pas avoir un pouls. Dis-je la gorge nouée.

William: - On va l'emmener dans un centre médical et espérer qu'elle soit toujours parmi nous.

Je la pris dans mes bras, mon regard ne pouvait pas se détacher d'elle. Je voulais croire au fait qu'elle soit toujours en vie mais son corps lui nous prouvait le contraire. Mon coeur était si comprimé "(t/p) reviens à moi" pensai-je en marchant vers la sortie de la pièce.

Ferdinand: - (t/p) ! Cri a-t-il.

William: - Eloignez vous d'elle, désormais vous avez brisé tous les liens et tout ce qu'elle avait pour votre famille. Jusqu'au bout, elle aura eu la vie dure et tout cela par votre faute. Ne l'approchez plus et ce n'est pas un avertissement mais une menace. Vous avez préféré faire confiance à une meurtrière étrangère qu'au sang de votre propre famille. Dit-il froidement, prêt à dégainer son couteau.

L'homme ne répondit pas, je pris l'initiative de briser ce moment en quittant le domaine.
Je regarda le manoir une dernière fois, "(t/p) ne t'en fais plus, tu es libre de la tyrannie et de la trahison des (t/n)." pensai-je avant partir avec William vers le centre le plus proche afin de sauver (t/p).

Lien d'un CoeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant