Lien d'un Coeur

CHAPITRE 7: Famille.

Revenons un peu en arrière...

PDV Louis James Moriarty

Comme à mon habitude, je me trouvais face à la Bibliothèque de la ville. Je pouvais entamer mes recherches, je devais connaître le passé des (t/n). William m'a dit qu'elle était comme nous, mais en quoi ?
J'allais dans les archives à la recherche d'indice sur le nom de la jeune femme. Il y avait une tonne de document sur divers noms, je le savais, sa famille n'est pas si connue. "Cela me complique la tâche" pensai-je en perdant espoir.
Divers dossiers passèrent entre mes mains, cela faisait une bonne demi heure que je cherchais.
Je me mis à ranger les dossiers quand l'un tomba au sol, je le pris pour le remettre à sa place mais quand je le retourna je vis "Archive n°657: Dossier de la Famille des (t/n)".
Je me posa à une table avec l'énorme dossier, je l'ouvris et pu voir:

"Noms et Prénom des personnes de la famille:
Noblesse:
- Jack et Jane (t/n): 4 enfants (Martha, Marcia, Elisa et Christopher)
- Emilien et Martha WILSON: Aucun enfant.
- Victor et Marcia ROBERTS: 1 enfant (Eric).
- Mike et Elisa AARONS: Aucun enfant.
- Christopher.
- Ivan et Elisabeth (t/n): 4 enfants (Jean François, Victoria, Ferdinand et Marc).
- Jean François et Julia (t/n): 3 enfants (Mary, Simon et Sarah).
- Eugène et Victoria MILLER : 1 enfant (Judith).
- Ferdinand et Milena (t/n): Aucun enfant.

Classe Moyenne:
- Marc et Diane (t/n): 1 enfant ((t/p))

Décès:
- Jack (t/n): mort d'une crise cardiaque à 50 ans.
- Elisabeth (t/n): morte de la Tuberculose à 39 ans.
- Marc (t/n): mort assassiné à 42 ans.
- Diane (t/n) (nom de jeune fille: BOSWELLS): morte assassinée à 38 ans.
- Sarah (t/n): morte due à une insuffisance rénale à 1 an.
- Elisa AARONS (nom de jeune fille: (t/n)): morte dans un accident à 22ans.
- Christopher (t/n): mort dans un accident à 14ans.

Histoire de la famille:
Les (t/n) travaillent principalement dans le domaine du textile et de la bijouterie. Jack (t/n) possédait 18 enseignes de textile dans Londres, c'est Emilien WILSON qui a reprit les boutiques suite à la mort de Jack (t/n). Lui et sa femme Martha ont investis dans diverses entreprises.
Ivan (t/n) est connu pour sa bijouterie de qualité, la boutique où il travaille est au centre de Londres. Lui, Ferdinand et Jean François gèrent et approvisionnent 20 bijouteries dans les environs de Londres.
Marcia et Julia ce sont spécialisées dans la couture, elles créent essentiellement des vêtements sur mesure pour la Haute Noblesse.
Marc et Diane (t/n) avaient une petite boutique de textile et de vêtements dans un village près de Londres. Ils sont morts assassiné le soir des 17 ans de leur fille (t/p) (t/n), le coupable n'a pas été trouvé et l'enfant fut placé sous la garde de Ferdinand et Milena (t/n). La jeune fille fut mise dans une école où elle n'y resta que 6 mois, qualifiée de prodige, sa tutrice Milena décida mettre fin à ses études."

Je fus étonné par l'histoire de cette famille, mais cela ne m'aidais pas à comprendre pourquoi elle et ses parents étaient dans la classe moyenne. Je me mis à la recherche d'information sur l'assassinat de ses parents. Je regarda l'heure "il est déjà 15h, il faut que je me dépêche sur les recherches" pensai-je. Je pris quelques livres sous mon bras et sortis de la bibliothèque.

Revenons où nous étions..

PDV (t/p)

(???): - Je vois que je ne suis pas le seul à apprécier cet endroit.

"Cette voix chaleureuse, je la reconnais." Je me retourna et vis Louis, il avait un tas de livres dans les bras.

Louis: - Je me suis dis que je pouvais te ramener quelques livres de la Bibliothèque centrale.

(t/p): - Des..des livres ? Pour moi ? Merci c'est gentil. Dis-je gênée par cette petite surprise.

Louis: - Oui, quand je t'ai vu fouiller dans mon livre je me suis dis que tu aimais sûrement la lecture. Mais comme je ne connais pas tes goûts je me suis permis de prendre un peu de tout. Dit-il en se grattant la tête.

(t/p): - Merci ! D'ailleurs j'ai suivi ton conseil, je suis allée lire quelques livres sur les maladies. J'ai appris pleins de choses ! Dis-je enthousiaste.

Louis: - Alors cette journée en compagnie de mon frère comment c'était ? Dit-il en s'asseyant sur le fauteuil en face de moi.

(t/p): - Hum, si je devais choisir entre passer une journée avec toi à la bibliothèque et lui je te choisirai toi c'est sûr. Dis-je en souriant, les joues de Louis se misent à rougir. C'était long, mais bonne nouvelle, apparemment mon état s'améliore. Ton frère veut que je reste avec vous aussi.

Cette dernière nouvelle eu pour effet de surprendre Louis. "Je ne sais pour quelle raison il réagit ainsi mais c'est pas grave ça lui donne un certain charme" pensai-je. Je fus surprise par mes propres pensées et rougis "(t/p) qu'est-ce que tu racontes sérieux". Je décida de mettre fin à ce petit malaise que j'ai moi-même instauré.

(t/p): - Euh, ah oui, il faut que tu m'apprennes à faire ton thé il est vraiment trop bon, j'ai pas réussi à le reproduire juste en me souvenant du goût qu'il avait.

Louis: - Ah, je te montrerai ça sera plus simple pour le reproduire. Dit-il en rigolant.

(???): - Je gêne peut-être ?

Cette voix me donna la chair de poule, je me retourna et vis William qui me fixait de ses yeux rouges sanglants. Cet homme terrifiait, il avait le don de me mettre hors de moi.

William: - (t/p) j'aimerai vous parler, seuls, dans mon bureau. Dit-il sèchement avant d'accorder un regard sévère à Louis.

Je le suivis, arrivés à son bureau il ferma la porte et s'installa.

William: - As-tu prise ta décision ma chère ? Je me permets de te tutoyer, maintenant que nous passons du temps ensemble. Dit-il avec un souris narquois.

(t/p): - Je vais rester ! Dis-je sûre de moi.

William: - J'aime cet enthousiasme. Tu es donc la bienvenue chez les Moriarty. Nous apporterons la liberté à cette société, tu as désormais un rôle à jouer parmi nous. Tu nous aideras dans cet objectif et dans les missions données par les habitants de cette terre inégale que nous aurons. Dit-il en me fixant avec insistance.

"Son regard, c'est celui d'un homme prêt à prendre tous les risques pour accomplir son objectif. Son regard me terrifiait, il ne laissait passer aucune émotion, aucun sentiment On ne pouvait y voir que de la détermination et parfois du désir mais lequel ?" pensais-je horrifiée.