PDV Omniscient
Les deux jeunes femmes enfin prêtes partirent en direction du restaurant préféré de Margaret, la (c/c) c'était décidée, elle devait faire en sorte que la soirée se passe au mieux pour faire oublier les tourments de son amie. Elles se racontèrent avec nostalgie leur enfance. Elles riaient et partaient leur bonheur comme avant, les 6 mois passés loin l'une de lautre les avaient finalement énormément rapprochées. Le repas touchait à sa fin, hélas, une nouvelle vînt perturber le bon déroulement de ce merveilleux moment
PDV Reader
Nous avions enfin pris du temps pour nous et le repas était comme toujours succulant. Margaret a vraiment un fin palais. N'ayant pas pris compte du temps que nous avions passé, je décidai de jeter un il à ma montre. Il était déjà plus de 22h ! J'avais loupé l'heure de prendre mon médicament.
« Bon, ce n'est pas très grave je l'ai déjà pris en retard ce n'est pas un souci » pensai-je. Je fouillai mon petit sac à main, mais je n'aperçus le petit flacon. « Oh, ce n'est pas bon ça, je l'ai laissé au Domaine de mon parrain ». Je commençai à m'inquiéter. Soudainement, je sentis une main sur mon bras, une douce voix vînt me sortir de mes pensées.
Margaret : - (t/p) ? Tu vas bien ? Tu es devenue toute pâle dun coup. M'interrogea-t-elle
(t/p) : - Euh Margaret, je ne voulais pas que tu le sachesJ'inspira longuement mais je suis maladeet. euh j'ai besoin d'un médicament à une heure bien précise et là, il s'avère que je lai oublié chez moi
Margaret : - Mais ce n'est pas grave si tu l'oublies une fois, non ?
(t/p) : - Je ne sais pas, mais si mon médecin ma dit de le prendre à telle heure. C'est que je dois vraiment en avoir besoin. Dis-je d'une voix basse et inquiète
Margaret : - Nous allons rentrer ! Je vais demander au médecin du domaine de t'ausculter.
Elle prit ma main et m'entraîna jusqu'à la voiture qui attendait devant létablissement. « Nous ne rentrerons pas avant minuit, le soir le chemin est dangereux pour les chevaux et même pour nous, les bandits attaquent plus souvent le soir, nous devons faire attention » Pensai-je. Margaret me fixait dun air inquiet, je ne voulais pas quelle lapprenne
Après quelques minutes à voir la route défiler sous un silence de mort. La voiture s'arrêta soudainement, un homme vînt frapper à la vitre, c'était le servant de Margaret.
Servant : - Je suis navré de vous annoncer cela mais nous devons faire une pause pour les chevaux ils sont assoiffés et affamés.
Margaret : - Ce n'est pas un souci, faites donc comme bon vous semble John.
(t/p) : - Je vais en profiter pour prendre un peu l'air, il commence à faire chaud à lintérieur. Dis-je en ouvrant la porte
Margaret : - Fais attention à toi, ne t'éloignes pas trop des chevaux. Dit-elle en me retenant par la main
Je lui souris en guise de réponse et sorti de la voiture. J'allai vers un arbre pour m'assoir contre lherbe, je m'en fichais pas mal de salir cette robe, de toute façon je n'étais jamais très à l'aise dedans.
Malgré l'air frais de la nuit je continuai de suer, ma respiration était bruyante et forte. Ma poitrine se serra à la moindre respiration. « Et moi qui avait cru quen prenant l'air frais ça allait s'arranger, mais oui, foutue crise » Pensai-je en fronçant les sourcils. « Déjà que le fait d'avoir oublié mon médicament m'avait stressée, mais il fallait qu'une crise apparaisse de nulle part, foutue maladie »
Je serrai les dents à la moindre inspiration, ma main serra le tissu qui se trouvait par-dessus ma poitrine, je priais pour que la crise passe avant quon reprenne le chemin.
J'inspirai longuement et fortement malgré la douleur et me levai pour rejoindre Margaret.
Je fis un pas, quun seul pas. Mais rien, mon corps refusait de répondre, rien, je sentis tout mon corps se crisper, mon cur se serra fortement. Si fortement, qu'aucun bruit sortit de ma bouche, je sentais mes muscles me lâcher un par un jusqu'au flou total.
Ma dernière sensation : le sol pavé, froid et humide contre ma peau et le gravier qui s'effritait entre mes doigts
PDV Margaret
Je n'arrêtai pas de penser à (t/p), cette nouvelle si soudainement
Un bruit me sortit de mes pensées, au début je pensais que cétait John qui était descendu brusquement de la voiture. Mais, je le vis affolé portant (t/p) dans ses bras.
Servant John : - Dame Margaret ! Votre amie, elle est tombée brusquement sans raison, elle est inconsciente !
(t/p) était là complètement inconsciente et en plus de cela elle saignait à la tête. Il fallait faire quelque chose, le domaine est encore loin et si on prend le risque d'y aller directement elle peut mourir en route. Nous devons trouver une maison, un manoir, quelqu'un ou un médecin au plus vite.
Margaret : - John, trouvez un domaine ou même un manoir. Nous ne pouvons pas prendre le risque de retourner au domaine. Il faut qu'on trouve un médecin ! Hurlai-je dun ton affolé.
John n'attendit pas et prit les rennes, les chevaux partirent à toute allure en direction d'un miracle.
Eclipse : quelques minutes plus tard
PDV Margaret
Les chevaux commençaient à ralentir, je me jetai sur la fenêtre la plus proche afin de voir le lieu où nous sommes arrivés. C'est un manoir, légèrement excentré vers une forêt, je vis quelques lumières d'allumées. « C'est parfait, ils pourront sûrement nous aider ! » pensai-je soulagée.
John : - Dame Margaret, nous sommes arrivés au domaine le plus proche. Dit-il en me sortant de la voiture et en allant chercher (t/p)
Margaret : - Parfait, allons leur demander de l'aide ! Dis-je en courant vers la porte du manoir.
Je toquai à la porte. Les pensées dans ma tête étaient brouillées, je ne pouvais pas réfléchir correctement, l'idée que (t/p) peut mourir me paniquait. Soudain, la porte souvrit sur un jeune homme blond en peignoir, une tasse à la main, il me regardait d'un air interrogé.
(???) : - Bonsoir mademoiselle, que faites-vous devant chez moi à cette heure-ci ?
Margaret : - Bonsoir, nous avons besoin daidedis-je dune voix paniquée. Mon amie est inconsciente et mon domaine est loin d'ici. C'est urgent ! M'exclamai-je en pointant du doigt (t/p) dans les bras de John.
Le jeune homme écarquilla les yeux et se dirigea vers (t/p), il la regarda un instant avant de nous faire signe de rentrer.
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Lien d'un Coeur
FanficMoriarty The Patriot : Louis James Moriarty x Reader t/p : Ton prénom t/n : Ton nom l/c: Longueur des cheveux c/c : Couleur de cheveux c/y : Couleur des yeux Tu es de la famille (t/n), tes parents avaient de revenus modestes. Ton père gérait une bou...