Adieu.

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             Présent.                                     Mia.

Je suis partie. J'ai laissée derrière moi Layla. Evelyne. Des gens que j'appréciées.
Oui, je suis partie lâchement partie. Enfin lâchement, c'est ce qu'ils diraient tous je suppose.

Layla se douter qu'un jour je finirais par partir. J'avais pris ce soir la dans mon sac à dos tous les objets au quels je tenais avec quelques vêtements.

Cela fait maintenant 5 ans que j'était partie, pour ma liberté mentale.

J'ai vue ce que j'avais à voir, vécu ce que j'avais a vivre. Je suis tombée dans l'alcool, les drogues. Pensée à mes défaites, aux gens que j'ai déçus. Eux n'ont jamais cesser de me chercher.
Mais comment voulez vous vivre dans un endroit toute votre vie, sans savoir ce qu'il y a autour ou même vivre avec celle qui a pris les vies des gens que vous avez aimé ?
Ou un homme un qui me faisait perdre l'esprit dès que je le voyais ? 
Être un éternel poid pour les gens que vous aimez, ce n'était pas la vie que je voulais.

Mais aujourd'hui je devais rentrer, non pas que je le voulais mais je le devais.

Layla allez ce marier.

Surprise.

Je suis toujours restée plus ou moins en contact avec elle, elle est comme ma sœur mais si je lui disais où j'étais elle aurait envoyer me retrouver pour être a ses côtés.

Je me devais d'être la pour son mariage. C'était pour moi le grand jour. Le retour à la maison.

J'étais seul pour mon retour, j'avais rencontré un homme et il est décédé devant mes yeux. Jetait trop saoule pour me souvenir de tout, alors même si je voulais mourir car j'en avais marre d'avoir mal, j'ai tout arrêté.

J'ai essayé de me donner la mort et même ça je suis pas capable de le faire correctement.

Je suis sur le chemin pour arriver au bâtiment. Layla ce marie  et je ne connaît même pas le gars avec qui elle se marie, elle n'a rien voulu dire.
Je marche et prend le métro. Toujours un pure kiff de prendre ce métro a pleine allure.
Je vais arriver et à l'heure qu'il est tout le monde sera au bâtiment et personne ne s'y attend a vrai dire même pas Layla, je ne lui ai pas répondu car moi même je ne savais rien.

Je marche sur le chemin su bâtiment avec mon sac à dos.
Les gardes me demandent de m'arrêter.

- Qui êtes vous mademoiselle ?

- Mia.

- Je vous demandes pardon?

- J'ai dit que je m'appelai Mia.

- Mia ? Mais c'est impossible !

- Et bien pourtant on dirait bien que je suis ici, messieurs. Allez vous me laissez passer ou me laisser ici?

- Allez y entré Mia.

Je passe le premier portail et j'entends le garde avertir ma venue.

J'arrive devant le prochain portail pour entrer mais vérifications des objets sur moi, qu'elle sécurité...

Le portail s'ouvre enfin devant moi. Les gens arrivent en courant, la nouvelle est aller vite. Les dirigeants sont la aussi. Tous.

Je m'avance lentement et je dois dire que je suis assez émue en les voyants tous.

- Est ce que je peux te prendre dans mes bras ? Me demande Evelyne.

Je hoche de la tête et lui sourit. Elle m'as manquée malgré tout.

On se prend dans les bras et Layla arrive en courant et se joint à nous.
Qui l'aurait cru un jour.

Elle se détache de moi et Emori me porte et m'enlace comme si je pesait que 10kg.
Quatre lui s'en vas. Je le comprend.

Après cette longue journée je retourne a l'hôtel,

Une fois arriver, je constate que rien n'a changé j'ai toujours toutes mes affaires dans ma chambre, tout est comme avant que je m'en aille. Sauf quelques petites choses par ci par là,je ne sais pas si c'est moi avant de partir ou peut être Layla.

Je m'installe dans mon fauteuil et contemple cette chambre qui m'as quand même bien manquée.
Ça tape à la porte.

- C'est ouvert.

Quatre entre. Alors ça si je m'y attendais.

- Ouah ça alors si je m'y attendais pas.

- Ouais. Je viens dans ta chambre depuis 5ans casi tout les jours, j'y trouve un certain repos et j'essaie aussi de savoir, je cherche ce qui a pu te faire partir et j'avoue qu'après tout ce temps je comprend toujours pas.

- Je comprend ce que tu ressens mais tu sais l'accumulation de beaucoup de choses force un peu les gens à partir.

- Forcé ?  Il a un petit sourire. Pourquoi tu ne m'en a parlé ?

- Pourquoi ?  Tris étais revenu. Mes problèmes aussi. Je n'avais plus rien à faire ici.

Il secoue la tête et soupire.

- Tu aurais du me le dire.

Je m'avance et le regarde droit dans les yeux, nos visages se touches presque.

Je l'embrasse comme jamais je n'avais embrassé, il est réticent au début puis après il me rend mon baiser. Il grogne et je gémis. Il m'attrape et me porte je met mes jambes autour de sa taille.

-Mia...

- Quatre...

On s'embrasse encore et encore et il me pose sur le lit et il se met au dessus de moi il m'embrasse le cou puis me caresse partout pu il peux mettre ses mains sur moi, comme si sa vie en dépendait. Il enlève son tee shirt et commence a déboutonner son pantalon, mon dieu seigneur cet homme est beau comme un dieu et encore plus quand il me regarde avant de m'embrasser avidement. Il passe son énorme main si sexy son mon tee shirt, cela ma provoque des frissons de plaisirs... Mais c'est beaucoup trop pour moi, pour avoir ma vie d'aujourd'hui j'ai du d'abord affronter des choses qui laisse des cicatrices et je ne supporte moi meme les toucher. Il faut que je stoppe Quatre.

- Arrete Quatre, s'il te plait...

- Non Mia ne me fait pas ça... Dit il en continuant à m'embrasser delicieusement dans le cou.

Je le repousse. Il se releve, il est dans la totale incompréhension ce que je peux sa aussi comprendre.

Je me relève aussi totalement déboussoler par toutes sortes d'émotions, désir, nostalgie mai surtout effrayée de l'inconnue la tout de suite.

- Je devrait partir, Tris m'attend.

- Quoi?

- J'ai dit que Tris m'attendais.

- Elle t'attend? Pourquoi est-ce que tu est venu alors ? Tu comptais me baiser et partir ensuite rejoindre ta petite amie qui attend que tu tires ton coup? Je hurle à present.

- Arrete de hurler Mia! Je n'avais absolument pas prévu de faire quoi que se soit tu vois! Mais c'est ce qui arrive quand il y'a du désirs entre deux personnes !

- Sors d'ici. Tout de suite.


Il sort de ma chambre en claquant si fort la porte que les murs en tremblent, la veine dans son cou était si apparente qu'on aurait dit qu'elle allait eclater il débordait tellement de haine mais moi aussi j'étais en colère.

Divergente: Quatre et Mia. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant