Kuroko No Basketx Reader

Sakurai Ryo- Ca va aller #2

Alors.... Bonjour.... Je suis de retour.... Enfin après une looongue absence. Je vais essayer de poster plus souvent mais entre les cours et le taff je n'ai plus spécialement  envie d ecrire.

Pourtant ce matin, je suis retombée sur des chansons d'un vieil album de Keen'V et l'inspiration est arrivée.

Je vous conseille d'écouter la musique en meme temps et surtout de prevoir  beauuuucoup de mouchoirs .

C est assez court mais j'espère  que cela vous plaira!
Bonne lecture!

Si besoin : https://youtu.be/--tfyM4YAxg

Elle était mon rayon de soleil et d'aussi loin que je me souviennes elle avait toujours été à mes côtés  de la creche jusqu'à recemment.

Amis de crèche, confident au collège et au lycee nous nous étions rendus compte qu'être ensemble étaient une evidence.

J'ai souvent entendu des gens dire qu'une fille aussi quelconque ne devrait pas parler autant. D'un caractere bien moins reservé que moi, elle était toujours là pour renvoyer dans leurs chaussures ceux qui m'auraient critiqués injustement.

D'ailleurs au lycée nous avions eu une dispute assez violente dont je n'arrivais à présent a me rappeller la cause exacte. A cela elle avait complètement arrêté de me parler et au bout d'une semaine, j'avais fini par aller la voir. Je l'avais trouvé en larme et ce jour la, je m'etais promis que plus personne ne lui ferait de mal avant de lui avouer mes sentiments.

Après le lycée,  nous avions emménagé ensemble a coté de la Fac que nous avions choisis.

J'avais fini par la demander au mariage a la fin de nos etudes et quelques mois plus tard, nous nous étions mariés.

Ca avait été  a notre image  simple mais avec tous ceux que nous aimions. Le tout c'etait déroulé sur un long week end bien animé par nos amis du basket.

A l'issus de ce merveilleux week end nous nous étions envolés pour la France. Elle revait de visité Paris et les plages du Sud dans ses parents lui avaient tant parler enfant.

Je voyais encore son visage qui s'extasier sur leurs spécialités, sur les bâtiments, et presque tout a vrai dire.

Nous étions ensuite descendus dans le Sud où nous avions lézardés sur les plages ensoleillés.

A notre retour, nous avions acheté une maison assez grande pour pouvoir fondé une famille. Famille dont nous avions passés des nuits a imaginer. Nous avions déjà choisis les prénoms.

Mais le bonheur n'est jamais eternel.

Aujourd'hui je me retrouvais seul a essayer de vivre sans elle. Sans ma [T/p].

Mon coeur était en miette et tous mes amis passaient me voir. Ils me répétais que ca irait mieux.

"Ca va aller. Il faut seulement laisser le temps faire."

Que je laisse le temps reparait quoi? Mon coeur ? Elle était partie avec.

Mon conscience? C'était elle.

Partout dans la maison je la revoyais.
En train de cuisiner, avant qu'excedée par son echec elle attrape une boule de pate avant de me la lancer dessus, un grand sourire aux levres.