Chapitre 13 : Présentation à la famille.

1.3K 95 74
                                    

Chapitre 13 :

Sortant de sa journée de travail, où en dépit de son envie de discrétion, il avait été contraint de mettre légèrement les choses au clair avec Maël. Zoro, jugea malgré cela, cette première semaine de boulot de façon assez positive. Bien sûr il avait encore pas mal de progrès à faire, et bien des choses à retenir, mais sa volonté d'apprendre était tellement encré en lui, qu'il ne voyait plus, aucun stresse pour les semaines à venir.  Et puis un fait qui l'amusait un peu, était que sa force physique qui à la base était parfaitement surprenant pour un oméga, était un vrai atout pour ses collègues de travail, qui souvent avaient de grosses difficultés lorsqu'ils étaient contraint de pousser certain bac de linge sale surchargé.  Quand deux se mettaient à pousser l'un de ces lourds baque, lui y arrivait seul,  sans la moindre difficulté.

Mais pour le moment, peut lui importait les point positif, ou négatif de son travail. Là tout de suite, débutait son week-end en amoureux. Et l'idée d'à nouveau passer deux longues journées entière près de son amant, dans son vaste loft lui donnait un sourire dès plus agréable à observer. Durant la semaine le blondinet s'était plain de le voir vivre " si " loin de lui. Et même si de son côté, il avait admis que c'était pas là, la chose la plus agréable à vivre. Il avait justifié ce choix par une nécessité, toute simple et qui était de pouvoir aller au travail en étant assez reposé.  Argument que Sanji s'était amusé fortement à trouver idiot, mais qu'il savait parfaitement justifier, car son coté Alpha amoureux, et bourré de désire avait bien des envies de procurer un maximum de bien, à celui qu'il voyait comment étant son oméga.

Lorsque  Zoro arriva près de la place de parking où était garé Sanji, ce dernier se tenait légèrement appuyé contre le coffre de la voiture. Son sourire séduisant et plein de charme, était de toute évidence parti en vacance, au vue de l'expression colérique, qui déformait ses traits. Avec agacement il semblait taper un message sur son portable, tandis qu'entre ses lèvres il marmonnait dieu sait quoi, mais qui n'avait visiblement rien de polie.

La neige qui s'était faite discrète ces dernières jours, et avait même commencé à fondre un peu, décida en cet après-midi, de revenir mettre une petite couche sur la ville balnéaire. Clignant de l'oeil Zoro chassa, un flocon qui était directement venu se poser sur ses cils, avant de faire une toux peu discrète pour indiquer sa présence près de Sanji. Ce dernier en l'entendant releva aussitôt le visage, puis fourra encore une fois son portable dans la poche interne de son manteau. A une place plus éloigné d'eux, Maël entrait dans sa voiture en claquant avec  une sacrée violence sa portière.

- Ça ne va pas ? Questionna Zoro en frottant entre elles ses mains un peu frigorifiées.

- J'ai une belle tuile qui me tombe sur le coin du nez là ! Expliqua évasivement Sanji, en bipant sur le boitier de ses clés de voiture, afin de déverrouiller les portières.

N'attendant pas une seconde de plus, ils rentrèrent tout les deux se mettre à l'abri. Le vent toujours aussi désagréable et frai, leurs faisaient chèrement regretté d'être ainsi exposé aux éléments. Immédiatement le jeune homme aux cheveux blond, démarra la voiture. Au même instant, le regard plein d'interrogation du vert se fixait sur son visage, dans l'attente évidente d'une explication qui tardait à venir.  La main sur le volant, l'autre calait une cigarette entre ses lèvres. Mentalement Sanji essayait de trouver un moyen d'éviter à Zoro de rencontrer sa famille.

Les raisons à se manque de motivation, était diverse. La première étant que, ses frères étaient des alphas et que même si ils leurs arrivaient de bien s'entendre, leurs nature profondes les poussaient régulièrement à s'opposer.  Et puis aucun d'eux n'avaient la langue dans sa poche, et si quelques choses ne leurs plaisaient pas chez celui qu'ils verraient comme un oméga géant, ils ne se gêneraient pas pour le lui dire. Mais à l'inverse si par une désagréable coïncidence, il venait à leurs plaire. Là, non plus ils ne se gêneraient pas pour lui dire.   En plus de ses trois énergumènes, il y avait " pire ".  C'est à dire son propre père, qui d'ailleurs il n'appelait plus " papa " depuis longtemps, mais " Judge" depuis quelques années. Ce dernier ne s'était d'ailleurs jamais offusqué de ce changement.  Tout juste s'était il contenté un jour, de lui lancer  à la tête..

Un oméga insoupçonné. [terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant