Chapitre 8 : Mise en garde Maternel.

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Chapitre 8 :

Un beau soleil hivernal sembla ce matin-là, tenter d'encourager Zoro à garder espoir en son futur rendez-vous. Espérant enfin décrocher un emploi qui le sortirait de la panade financière dans lequel il était dernièrement. Il avait eu malgré tout bien des difficultés à émerger de son sommeil. Cette nuit encore il avait fait cet affreux cauchemar, ou une voix sinistre et moqueuse, ne cessait de le harceler, en lui affirmant qu'il n'était pas " normal", ou bien pas dans la " norme "; et que comme il l'avait souhaité, il resterait seul à jamais. Avec une incroyable perfection, il se rappelait encore de la panique qui l'avais saisie, lorsque cette même voix lui avait dit...

" Mais il te ment, tu n'es qu'une curiosité pour lui rien de plus..." "Il te laissera.." " Tu n'es qu'un divertissement...une bêtes de foire."

Le visage grognons Zoro après une longue observation ennuyante de sa tasse , ou a peu de chose près il faillit se rendormir dans le creux de sa main, il but d'une traite le reste de son café à demi froid. Et qui pour une fois n'était pas aussi désagréable qu'à l'accoutumé. Un miracle conclu t-il rapidement en débarrassant la table du petit déjeuner. Avec résolution, Le jeune homme enfouit au plus profond de son cerveau, les sensations et souvenir plus que désagréable lié à son mauvais rêve, et qu'il tenta ainsi d'enfermer à double tour. Après s'être préparer et bien habillé, pour une tel rendez-vous, le jeune homme sortit de son petit appartement qu'il ferma à double tour, descendit les marches, puis alla dans le local à vélo, prendre son bien. Durant le chemin qu'il parcourut sur les routes encore un peu humide, Zoro essaya de garder en tête les bon conseils que lui avaient donné sa mère la veille au soir, afin de faire bonne impression sur son potentiel employeur.

Se tenir bien droit, avoir l'air sur de soit mais pas trop, pour pas paraitre arrogant, et bien d'autre suggestion dont liste était affreusement longue. Tout le long du chemin le soleil, malgré les températures encore assez froide l'accompagna, comme pour lui donner courage. Cependant quelques nuages blanc paresseux, commençaient à habiller le ciel. Mais de ce détail Zoro, n'en fit que peu de cas. Et après trois quart d'heure de vélo, il arriva sur le parking des thermes encore assez calme à cette heure-ci. Curieux, il jeta une fois de plus un regard circulaire sur ce panorama qu'il avait vu la veille. Sans doute tentait-il de déduire parmi tout ses nombreux bâtiments ou était, les cuisines et le restaurant dans lequel travaillait Sanji.

- Je me demande comment il est au travail , s'avoua mentalement le jeune homme. Chiant ? Ou Cool et détendu comme il peut l'air parfois ?

Ne sachant pas laquelle de ses nombreuses entrées il devait emprunté. Le jeune homme hésita durant cinq bonne minute pour se faire une idée, d'où pouvait être dans ce tas de bâtiment le bureau de Monsieur Hope. Jugeant que perdre son temps ainsi était contre productif, il décida tout bonnement d'aller en direction que lui indiqué un panneau et sur lequel était inscrit "l'accueil".

L'endroit était tout bonnement immense et large. Le plafond haut de plusieurs mètres, laissait à avoir les plusieurs étage, ou des allées bordées de rambarde noire et dorée, laissé se balader quelques clients matinaux. Un long bureau circulaire de bois blanc trônait au beau milieux de cet immense espace. Selon toute vraisemblance il y avait de la place pour une moins trois employées vue le nombre d'ordinateurs et de sièges présents. Autour d'eux se trouvait des petits coins de discussions, où de confortable fauteuils de couleurs violet foncé, se faisaient face. Des plantes vertes étaient astucieusement disposés un peu partout, et se faisait à cette heure-ci entretenir par un employé.

S'approchant du large bureau, Zoro fut accueilli par une jeune femme d'environ 25 ans, et dont les cheveux noir intense étaient attaché dans une longue queue de cheval bien net, et qui ne laissait à aucunes mèches de cheveux aussi infimes soient-elles le loisir de déborder. Elle était vêtue, d'un tailleurs assez strict, et sur son blazer blanc était visible un badge ou était inscrit, son nom, son prénom, ainsi que que sa fonction dans l'établissement. Laissant sa collègue gérer l'accueil toute seule, elle l'accompagna jusqu'au bureau du patron, ou dans un premier temps Zoro fut reçu par la secrétaire de ce dernier.

Un oméga insoupçonné. [terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant