Chapitre 1 : Les joies d'une vie Simple.

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Avant-propos :

Cette histoire est un omégaverse Sanzo. Vous êtes prévenue, donc il est inutile de me faire le reproche justement sur le fait que ce soit un Sanzo ( et pas Zosan). Je me suis basé sur les règles provenant du site ci-dessous. Pour ceux qui suivent " Un monde qui change " l'histoire sera parfaitement différente, et suivra les règles ordinaire lié au genre Omegaverse.

http://lesangesdalodie.eklablog.com/le-genre-omegaverse-c-est-quoi-a142695820

Pour plus de tranquillité j'ai laissé à Zoro un sens de l'orientation normal.

Chapitre 1 :

Assis à la table du petit déjeuner, un jeune homme dont l'énergie n'allait pas bien loin , observait d'un oeil à demi éteint la télévision qu'il venait d'allumer. Le sons n'était pas bien fort et hors mis une passion soudaine pour les informations , l'idée de monter le volume ne traversa pas un instant le crâne à cheveux vert de l'individu. La tête appuyée dans le creux de sa main, sa joue semblait se déformer au fur et à mesure que son envie de dormir l'envahissait. Lentement ses yeux se refermèrent, tandis qu'un filet de salive menaçait de s'échapper de ses lèvres entrouvertes. Un bon pourtant le saisi lorsqu'un voisin un peu bruyant claqua la porte située à la droite de son petit studio. Aussitôt le jeune homme avait sursauté. Se redressant sur son siège , il était resté agar un cour instant avant de revenir à son objectif principal.

Terminer son petit déjeuner.

- Bon ça suffit, se gronda t-il en frappant de ses mains, ses joues qui prirent une couleur rouge qui n'avait rien à voir avec une quelconque timidité ou gêne.

D'un trait, il avala le café qui avait commencé à refroidir dans sa tasse. Une grimace de désagrément déforma son expression jusqu'ici emprunt de fatigue. Un jurons passa ses lèvres tandis que le jeune homme agacé de ne savoir faire un café comme il faut, se désola de son manque d'efficacité en matière de cuisine. Et de tout ce qui touchait de près ou de loin, cet endroit précis de son appartement.

D'ailleurs il habitait ce dernier depuis à présent quelques mois. L'endroit n'était pas bien grand, et la cuisine était à peine large pour un homme de sa taille. Si ils avaient été deux, à coup sûr ils se seraient bousculé sans cesse, ou même bloqué d'une quelconque manière. Mais fort heureusement pour lui, et son coté un peu loup solitaire, ce petit appartement n'était habité que de lui seul. La pièce principal , servait de salle à manger et de chambre. Le lit double qu'il avait déjà lorsqu'il vivait chez sa mère, était dans un état que certain aurait jugé d'inquiétant, pour pas dire mourant. De toute évidence la structure du lit n'était plus de première jeunesse, et pourtant cela n'empêchait pas le jeune homme d'y dormir comme un loir. Une table haute pas bien large était encadrée de deux chaises. Un meuble bas, doté de multiple tiroirs abritait quelques bricoles qui constituait sa vie. Des placards incrusté dans les murs voyaient quelques vêtements pendre ici et là. Des piles de t-shirt donnaient l'impression de formait à eux seul une sorte de tour de Pise. Une salle de douche un peu étroite était situé près de l'entrée. La télévision qui ruminait des informations à peine audible, était un cadeau de sa maman prénommée Yoko, qui vivait à présent seule avec sa petite sœur.

Son père était mort dans un accident de voiture deux ans auparavant. Il avait été le seul présent durant ce drame qui avait laissé sur son propre corps de bien triste souvenir. Un oeil aveugle balafré d'une fine coupure, et qu'il ne gardait ouvert qu'à de rare occasion. Ainsi qu'une longue cicatrice sur le torse. Le chauffard ivre qui avait été le grand acteur de leurs malheur, s'en était sorti avec ce qui lui et sa famille jugeaient comme l'équivalant d'une simple tape sur la main. Quelques années prisons avec sursis, et une mise à l'épreuve qui lui assurait une tranquillité de l'esprit que, les victimes condamné à la perte d'un être aimé avaient trouvée odieux.

Un oméga insoupçonné. [terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant