Chapitre 35.

484 28 3
                                    

34+35-Ariana Grande

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

34+35-Ariana Grande

PDV Ethan

Un feu ardent se propage dans mon corps tandis qu'une avalanche de frissons parcourt ma colonne vertébrale. J'encercle le visage de Victoire tandis qu'elle s'accroche à mon cou. Mes mains glissent dans son dos et l'attirent sur mes cuisses. La tension dans la pièce devient soudainement plus chaude ; et la chaleur que propage la cheminé n'y est pour rien.

Le corps de Victoire collé au mien, je ne peux m'empêcher de descendre mes mains dans le bas de son dos et de quitter ses lèvres pour son cou. Je mordille quelques endroits de son cou, qu'elle m'offre pleinement en jetant sa tête en arrière, arquant totalement son dos. Lorsque je la rapproche de moi, en raffermissant ma prise sur ses fesses, elle gémit et ce bruit devient mon préféré, juste après son rire.

Il serait peut-être temps que j'arrête de me cacher les choses...

-Ethan..., souffle Victoire en un soupir

Et je comprends immédiatement ce soupir.

-Moi aussi Victoire, moi aussi..., sifflais-je en me levant du canapé, Victoire toujours accrochée à moi

Sans quitter ses lèvres, je monte les escaliers et me dirige vers sa chambre, impatient. Je pose Victoire sur le lit et passe au-dessus d'elle. Mon sang afflue à toute vitesse dans mon organisme. Mes mains tremblantes parcourent son corps. Ses longues mains caressent mes cheveux, mon cou et passent dans mon dos, sous mon sweat, que Victoire ne met pas beaucoup de temps à faire voler.

Je brûle de désir pour cette fille...

Puis d'un coup, tout s'accélère.

Nos gestes deviennent plus brusques, plus rapides. Ses doigts fins dénouent le nœud formé par les ficelles de mon jogging et le fait glisser. D'un mouvement, j'ôte le sweat et le top qu'elle porte (ou qu'elle portait, pour le coup), me laissant l'agréable vision de sa poitrine nue. D'elle-même, elle retire son legging et pendant ce temps, je me relève le temps de retirer complétement les derniers bouts de tissus présents sur mon corps.

Puis j'accroche ma bouche à sa poitrine en faisant descendre sa culotte le long de ses jambes. Avant d'insinuer un premier doigt en elle, je relève le visage vers elle et souffle :

-Tu es sûre ?

-Oui, souffle Victoire, brulante de désir

Sa réponse est suivie par de profonds râles de plaisirs, de son côté comme du mien. Quand sa main empoigne mon érection, j'ajoute un second doigt et continu mes va-et-vient en elle. Nos lèvres ne se touchent plus, mais nos yeux ne se lâchent plus. Accrochés, l'un à l'autre, nos regards ne peuvent plus se séparer.

J'aime l'expression d'extase et de plénitude qu'elle aborde. Ses yeux couleur émeraude me regarde prendre mon pied et pourtant, je ne suis pas gêné. Je suis d'ordinaire vraiment mal à l'aise quand les filles avec qui je couche vois mon visage. Mais pas avec Victoire. C'était déjà le cas lorsque nous avons partagé nos premiers rapports charnels, chez Marvin. Victoire n'est définitivement pas comme les autres.

BROKENOù les histoires vivent. Découvrez maintenant